Narcissique
Narcissique
Dans le monde des affaires, les relations avec les supérieurs ne sont pas toujours roses. Parfois, nous tombons sur un patron pervers, la tendance narcissique, voire sadique! Comment faire face? L’avis de Jean-Paul Guedj, formateur en entreprise et auteur de ‘La perversité au travail’ à Cambridge.
HONTE ET NARCISSISME: En France : analité et moi idéal
Grunberger (1979) a discuté la relation d’objet anal en terme d’humiliation, de honte, et de contrôle de l’autre. La honte serait liée à l’échec de la confirmation narcissique.
HONTE ET NARCISSISME
La honte est le plus souvent envisagée dans la littérature psychanalytique sous le jour du narcissisme, dont elle a pu être désignée comme « le compagnon voilé » (Wurmser, 1987).
LES INVESTISSEMENTS DE LA HONTE
La libido narcissique intervient dans l’importance du rôle que joue l’adéquation du moi aux exigences du moi idéal et de l’idéal du moi, ainsi que dans les conflits entre idéaux. Nous avons vu que c’était celle qui avait été privilégiée par Freud dans son approche de la honte.
Le Rire : Aspects psychanalytiques , Quelques réflexions d’ordre synthétique
Parvenus au terme de notre exploration non exhaustive de la littérature psychanalytique sur le rire et le risible, il semble que nous puissions établir un certain nombre de relations entre ces deux entités, risible et rire, et des termes bien spécifiques.
Distinctions entre deuil normal et deuil pathologique
Avec le xxe siècle vient le temps des interrogations sur cet état émotionnel et son rôle dans la psychologie humaine. Karl Abraham, qui avait développé, lors d’une communication sur la mélancolie, le modèle du deuil (1912), stimule Freud sur ce sujet.
Les éléments du fonctionnement psychique:L’idéal du Moi et le Moi idéal
Au côté du Surmoi se trouve l’idéal du Moi. Il est composé d’idéaux auxquels aspire le sujet, idéaux formés à partir des idéaux parentaux. L’idéal du Moi correspond à ce que doit être le sujet pour satisfaire les exigences du Surmoi : il pousse le sujet vers l’avant.
Le Rire : Le XVIIIe siècle avec Voltaire et Kan
- Il associe le rire à la joie « gaie » et en fait, comme la plupart des auteurs, l’expression facio-vocale de cetteémotion agréable. Il dénie toute agressivité ainsi que le triomphe narcissique sous-jacents chez le rieur et s’en tiendra à une conception partielle et positive rejoignant celle des humanistes de la Renaissance.