Le pouvoir
Le pouvoir est la possibilité dont une personne ou plusieurs ou groupe disposent pour appliquer, faire accepter et imposer même par la force toute décision de n’importe quel ordre que ce soit moral, physique, psychologique ou intellectuel et cela dans tous les domaines possibles. En politique, le jeu du pouvoir, les dessous du pouvoir, l’abus du pouvoir, les avantages du pouvoir et le profit tiré du pouvoir sont les formes de pouvoir qui comptent à risque élevé car subis par des peuples.
Le mot pouvoir compte plus de 20 synonymes dont aptitude, autorité, capacité, commandement, compétence, délégation, domination, droit, empire, force, gouvernement, puissance, règne, etc…
Ces citations peuvent en dire long : « Beauté : pouvoir qui permet à la femme de charmer un amoureux et de terrifier un mari – Ambrose Bierce», « Car il n’y a pas le pouvoir, il y a l’abus du pouvoir, rien d’autre – Henry de Montherlant » et « Le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument – Emerich Acton ».
Le pouvoir fait qu’il y a des dominants et des dominés.
Rare sont ceux qui ne profitent pas du pouvoir qu’ils détiennent tels les parents ou les pères, certains chefs hiérarchiques voués à leur travail et quelques hommes politiques dont les plus connus sont Mao Tse Toung, Mahatma Gandhi ou Nelson Mandela.
Laisser le pouvoir à un individu comme Hitler ne peut qu’être destructif.
Il y a aussi le pouvoir qu’offre les fortunes, le riche peut tout avoir, acheter et posséder aussi bien par plaisir que sur coup de tête et cela va d’un domaine ou îlot à un être humain.
Il y a aussi le pouvoir qu’exerce un individu sur un ou plusieurs individus mais le plus répugnant reste celui qu’exerce certains hommes sur des femmes, l’inverse est aussi vrai. Ce genre de pouvoir démontre une face de la nature humaine qui met en relief esclavagisme et possession. Quoi qu’on pense et de nos jours, certaines personnes agissent envers d’autres comme s’ils sont leurs choses.
Toutes les révoltes faites par l’homme afin de limiter l’ampleur des pouvoirs n’ont jamais pu arrêter ce fléau qui en fin de compte reste inné.
Révoltes populaires, coups d’états, divorces, fugues et toutes réactions humaines déclenchés pour faire changer cette mentalité de puissance et bénéficier d’une certaine liberté n’ont fait que reporter les échéances.
Comme si l’homme n’est né que pour gouverné ou être gouverné.