Test toc
Trouble obsessionnel-compulsif
Il est parfois difficile de différencier un petit penchant ou une petite exagération sur un aspect particulier de la vie quotidienne et un véritable trouble obsessionnel compulsif. Pour savoir si vous souffrez de trouble obsessionnel-compulsif, lisez tout simplement la suite
Définition des troubles obsessionnels compulsifs (TOC):
Perturbation de la personnalité par des idées obsessionnelles habituellement associées à la contrainte qui pousse à effectuer des actions condamnées par la conscience, le trouble de la psyché se reflète dans la production de pensées récurrentes et les représentations qui ont frappé la conscience impuissant à l’arrêter, exemple: l’obsession de la propreté ou le stockage, la peur excessive de la contamination, l’incapacité de disposer des objets, etc…, installé en permanence et pesant sérieusement le comportement le trouble obsessionnel-compulsif entre dans le champ de la névrose obsessionnelle.
Le TOC est un trouble anxieux ,ce trouble touche 3 à 4% de la population.
L’apparition de la maladie est généralement à l’adolescence ou à l’âge adulte (60% avant 25 ans), plus rarement dans l’enfance (1%)
Critères pour diagnostic
Existence de l’une des obsessions ou de l’une des compulsions:
Les obsessions se définissent par:
Des pensées, impulsions ou images récurrentes et persistantes dans certains moments de l’affection, sont ressenties comme intrusives et inappropriées et qui causent de l’anxiété ou de la détresse.
Des pensées, impulsions ou images qui ne sont pas simplement des préoccupations excessives sur les problèmes de la vie réelle et quotidienne.
Le sujet fait des efforts pour ignorer ou réprimer ces pensées, impulsions ou images ou de les neutraliser par d’autres pensées ou actions.
Le sujet reconnaît que les pensées, impulsions ou images proviennent de sa propre activité mentale obsessionnelle (ils ne sont pas imposées de l’extérieur comme dans le cas de l’insertion de la pensée).
Les compulsions se définissent par:
Des comportements répétitifs (par exemple, se laver les mains, la commande, vérifier) ou actes mentaux (par exemple, prier, compter, répéter des mots silencieusement) que la personne se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles à appliquer inflexible.
Des comportements ou actes mentaux qui sont destinés à neutraliser ou à réduire la détresse ou de prévenir un événement redouté, ces comportements ou actes mentaux sont soit pas réaliste par rapport à ce qu’ils proposent de neutraliser ou de prévenir ou manifestement excessifs.
À un moment donné au cours de la maladie, le sujet a reconnu que les obsessions ou les compulsions sont excessives ou irrationnelles (ceci ne s’applique pas aux enfants).
Les obsessions ou les compulsions provoquent un sentiment de détresse et causent la perte de temps (en prenant plus d’une heure par jour) ou interfèrent de façon significative avec les activités habituelles du sujet, tel que son fonctionnement professionnel ou scolaire) ou interfèrent avec les activités sociales habituelles ou de relations.
Le thème des obsessions ou des compulsions n’est pas limité à ces derniers (par exemple, la préoccupation avec la nourriture quand il s’agit d’un trouble des conduites alimentaires; comportement de tirer les cheveux dans les cas trichotillomanie, préoccupé par l’apparition dans le cas du trouble dysmorphie corporelle, les préoccupations au sujet des drogues quand il s’agit d’un trouble associé à l’utilisation d’une substance, la peur d’avoir une maladie sévère en cas d’hypocondrie; préoccupation impulsive par des besoins et des fantasmes sexuels en cas de paraphilie, ou ruminations de culpabilité quand il s’agit de dépression majeure).
La perturbation ne résulte pas d’effets physiologiques directs d’une substance ou une affection médicale générale. Ce trouble se produit parfois dans l’enfance, mais le plus souvent à l’adolescence ou l’âge adulte. Elle commence à être très progressive ou comme une réponse rapide à un traumatisme ou un stress aigu. Lorsque les craintes associées au trouble obsessionnel-compulsif sont contraignantes (par exemple la peur de la contamination, s’attaquer à son enfant avec un couteau) conduisent à l’évitement (par exemple, ne pas utiliser un couteau à la présence d’un enfant) ou à des rituels, des compulsions à savoir (par exemple, se laver les mains), ces comportements réduisent l’anxiété. Le soulagement apporté aide ainsi à renforcer et à maintenir la maladie.
Les deux techniques sont efficaces dans le traitement du trouble obsessionnel-compulsif: une exposition à des situations qui provoquent l’anxiété obsessions liées et ne répondent pas à ces obsessions par la contrainte. Par exemple, une personne ayant peur de la contamination en touchant des objets, il va progressivement s’habituer à toucher les choses sans se laver les mains. L’exposition permet accoutumance qui conduit à une diminution de l’anxiété. L’approche cognitive stricte, c’est-à-dire sans changer les croyances inappropriées, s’avère infructueuse.
Clarification des termes:
Une obsession est une pensée automatique. Elle est nécessaire pour l’esprit, contraire à la volonté du sujet, plutôt que des actions comme pour se souvenir, penser ou de faire une variété du travail intellectuel, où ils sont décidés. La nature particulière de l’obsession est d’être conscient, mais involontaire.
Exemples d’obsessions: la saleté , les germes (bactéries, virus, champignons, parasites) , peur de la contamination , la peur d’avoir des pensées odieuses sur la religion ou la sexualité , la peur de l’acte ou ses impulsions violentes ,la crainte d’une agression ou d’agression (crush de quelqu’un avec sa voiture) , le besoin de symétrie (mettre les articles en ligne ou dans un certain ordre etc) , le besoin d’ordre , la peur de ne peut pas se débarrasser des choses inutiles.
Compulsion (rituel): comportement répétitif ou acte mental que la personne se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession ou selon certaines règles appliquées. Ce comportement est destiné à neutraliser ou à réduire la détresse ou de prévenir un événement redouté
Le rituel est dépendant d’un sous-jacent avant obsession. Le rituel peut être absurde, mais aussi il peut être le résultat d’un raisonnement logique. La contrainte permet de bien-être à court terme, bien que relative ,le sujet est conscient de l’énormité de la contrainte, ou de son caractère illogique.
Exemples de contraintes: l’abus de toilette ,la crainte injustifiée de la souffrance des maladies graves, le cancer (hypocondrie) ,les fréquents et répétitifs contrôle des actions accomplies (une porte fermée vérifiée et revérifiée…, une alimentation en gaz fermée vérifiée et revérifiée…) , calculs mentaux , formules de prestidigitation , achats incontrôlés et excessifs , un nettoyage excessif , toucher répétitif des objets , arrachement des touffes de cheveux (trichotillomanie) , se gratter inutilement , se ronger les ongles (onychophagie) ,troubles alimentaires (anorexie, boulimie) , envie de voler (kleptomanie) .