Respecter l'éthique et l'élégance : Attention au look !
Le savoir-vivre demande une adaptation vestimentaire car votre look est associé de façon inconsciente au comportement professionnel que l’on vous prête. Le monde du travail demande, tout spécialement pour les femmes, naturel et simplicité.
oui !
Aux cheveux propres et à l’haleine fraîche ! Rasé de près, l’after-shave discret mais présent, c’est avant tout le « propre » et le « net » qui vous définiront.
Les chaussures classiques, solides, à semelles épaisses.
Aux chaussettes à côtes, en pur coton ou en pure laine, surtout bien tendues et montant assez haut pour cacher la peau.
Au pli du pantalon impeccable et un costume repassé de près.
Au souci de l’élégance : un léger retour au dandysme ne nous promet-il pas implicitement la réhabilitation d’un certain savoir-vivre ?
A la bonne éducation qui consiste à savoir adopter la tenue de votre milieu professionnel. Il existe des codes vestimentaires qui vous situent favorablement.
Au Friday wear, c’est-à-dire la mode consistant à adopter une tenue de week-end dès le vendredi.
A la qualité des tissus qui fait l’élégance non seulement du vêtement mais aussi de celui qui le porte.
Non !
- À l’odeur de tabac accrochée à la vieille veste, aux poignets de chemise douteux, à la cravate épisodique.
- Aux chaussures à semelles fines comme une crêpe… à la fantaisie et aux «dock side » en costume.
- Aux chaussettes tire-bouchonnées, trop basses, trop fines dans la journée, trop épaisses le soir.
- Aux poignets mousquetaire qui dépassent de la veste (de plus d’un centimètre).
- Au col ouvert, à la cravate desserrée, à la veste sur l’épaule, aux baskets au bureau et au look mal rasé du type : « J’ai trop de boulot, et j’ai travaillé très tard. »
- A la recherche de l’originalité par rapport à votre milieu professionnel. Dans la pub, pourquoi porter un costume trois pièces ? Et inversement, ne croyez pas rajeunir l’image de la banque dans laquelle vous travaillez en ne portant que des jeans.
- Aux chemises à manches courtes (surtout avec cravate).
- Aux chemises en polyester (qui retiennent les odeurs corporelles).
Les détails qui tuent
- Arriver à un rendez-vous, son autoradio antivol à la main.
- Porter une sacoche en bandoulière lorsqu’on est un homme.
- Utiliser des cure-dents en public.
- Garder l’oreillette de son portable.
- Avoir son portable accroché à sa ceinture (exception faite pour les plombiers et les gardiens d’immeubles).
- Fermer les portes à clef derrière soi, au bureau.
- Les pellicules sur un veston.
- Fumer : le tabagisme est devenu du dernier mauvais goût.
- Se vautrer dans un fauteuil, cou rentré dans les épaules.
- La gourmette épaisse, la chevalière voyante ou la lourde chaîne autour du cou.
- Les chaussures pas cirées (elles peuvent être « fatiguées » mais rutilantes).
- Rouler en plein hiver en chemise au volant de sa voiture, veston suspendu à un cintre le long de la vitre du passager arrière.
- Percings, tatouages…
- La cravate « humoristique » ou trop voyante.
Et spécialement les femmes
- Le sexy : stretch, moulant, taille basse, etc.
- Le collant filé.
- Les talons aiguilles qui claquent bruyamment.
- Le rouge à lèvres qui déborde, ou qui laisse des traces sur les dents.
- Les auréoles sous les bras.
- Les parfums entêtants.
- Le vernis à ongles écaillé.
- Les chaussures éculées.
- Le « trop habillé » ou le « pas assez habillé » sont plus flagrants chez une femme.
- Les cheveux oranges ou roses (I).
- La mèche punk (ou crêpée).
- Les racines noires qui se prolongent en blond.
- Trop de bijoux.