Psychologie horloge biologique
Habituellement, nous sommes rythmés par le jour ou l’absence de lumière a nuit (rythme nycthéméral). Néanmoins, les décalages horaires lors de longs voyages en avion montrent que nous possédons aussi une régulation interne, montrée de façon encore plus spectaculaire par l’isolation dans une grotte pendant de longs mois (rythme circadien). Les recherches neurobiologiques (Denis, 1992 ; Jouvet ; Valatx, 1998) identifient cette horloge dans l’hypothalamus, au niveau d’un petit noyau (= groupements de neurones) appelé « supra chiasmatique » (prononcez « suprakiasmarque »). Ce noyau reçoit des informations lumineuses de la rétine par nille axones des cellules multipolaires (un pour mille). Les neurones agissent par des neurotransmetteurs, l’arginine pour l’éveil et le VIP (vasoactive intestinal peptide) pour l’endormissement.