Les harcèlements au travail
Introduction
Il y a principalement deux types d’harcèlement au travail, le moral et le sexuel. C’est les formes les plus connues des violences exercées au sein d’une entreprise quelconque. Les cibles sont d’une manière générale les femmes et les employés dont l’entreprise cherche à s’en débarrasser.
L’harcèlement moral
L’harceleur se fait un plaisir de détruire moralement un salarié en le rabaissant, en l’injuriant, en lui confiant les tâches les plus ingrates, en l’intimidant et en le poussant toujours à l’erreur dans le but que l’harcelé finit par réagir négativement et c’est une raison valable pour un licenciement en bonne et due forme.
Il y a l’harcèlement moral dont l’harceleur vise à tirer profit. Il est exercé par un chef hiérarchique de bas d’échelle ou par un employé ayant plus d’ancienneté. L’harcelé se retrouve en esclave, fait le travail pour deux en se sous-estimant, en croyant ne jamais bien faire et vit dans la crainte d’être mis à la porte car il croit que l’harceleur a un pouvoir décisionnel au sein de l’entreprise.
Il se laisse faire par peur de se retrouver au chômage, l’angoisse perpétuelle des petits salariés.
L’harcèlement sexuel
La première cible reste la femme, moins d’hommes sont harcelés par leurs patronnes ou par des homos. Les harceleurs sexuels sont classés comme frustrés, incapables de nouer de liaison sans un certain pouvoir, insatisfaits dans leurs vie sexuelle et la plus part du temps loin d’être canon ou d’un âge avancé. Leurs cibles souffrent généralement d’une personnalité fragile et craintive. Certaines femmes croient que pour intégrer une entreprise doivent se faire belle et s’habiller chic ce qui enclenche le processus d’harcèlement. Ces femmes deviennent la cible des éventuels harceleurs, la chasse démarre et rapidement le plus coriace arrive à ses fins. On retrouve l’harcèlement sexuel dans n’importe quel environnement professionnel, administratif, industriel, service et même dans des entreprises n’employant que des compétences. Ouvrières ou expertes doctorantes ça reste une proie dans cette forêt sauvage peuplés de tordus.
Les victimes se laissent faire par crainte de licenciement. L’harcèlement débute par de simples attouchements anodins mais qui finissent par choquer au début puis créent un certain blocage chez la victime qui ne sait quoi faire. Face à un haut responsable, exigeant, craint par tous, connu pour son peu de scrupule, quel est le poids d’une secrétaire, d’une femme de ménage ou d’une nouvelle issue d’une grande école ?
Les raisons de se laisser faire
Les contraintes de la vie que se sont imposées les êtres humains, salaire, stabilité, confort, objectif matériel font que les plus faibles se font intimider facilement. La peur du chômage, l’instabilité due à une recherche d’emploi dans une autre ville qui implique recherche de logement, frais supplémentaires, déménagement et le risque majeure de se retrouver sans domicile fixe « SDF » sont les arguments majeures des harceleurs.
Dans les plus hautes sphères du pouvoir ou dans les foyers « humanitaires », le détenteur d’un pouvoir même minime se sent dans ses droits d’exercer ce genre d’harcèlement.
Certes le plaisir n’est jamais partagé mais l’harceleur arrive à ses fins et peu importe s’il aboutit à ses fins en commettant son viol dans les toilettes ou le local à ordure. Quel romantisme !
Les conséquences de l’harcèlement
Les victimes subissent moralement et physiquement. Ils font carrière avec un fort sentiment de frustration qui se répercute sur leurs vies personnelles. Leurs personnalités se fragilisent au fil des ans et finissent par se convaincre que ces leurs destinées surtout s’ils sont les proies de plusieurs harceleurs moraux ou sexuels.
Les harceleurs pensent être au dessus des lois mais de temps à autres, certains font l’objet d’enquêtes, de jugements et de peines de prisons car la loi l’interdit, protége les harcelés et est intransigeante envers ces individus peu scrupuleux. Rares sont ceux qui se font attrapés car les victimes comme celles des viols se renferment généralement.
Les profiteurs, ceux qui donnent l’impression d’être des victimes harcelées mais qui intelligemment renversent la situation en leurs faveurs en exerçant à leur tour une pression sur leurs harceleurs qui deviennent « victimes » à leur tour mais c’est pas grave car quant on joue avec le feu, on finit par se brûler.
Moralité de l’histoire
Les êtres humains évoluent, progressent, trouvent des solutions, découvrent, créent, innovent, recherchent mais certains continuent de perpétuer l’instinct animalier qui reste cacher en chacun de nous mais tant mieux que la majorité le renie.