Le trafic humain et sexuel
Le trafic humain équivaut à l’esclavage aboli depuis des siècles et à l’apartheid aboli en fin du siècle dernier.
Ce trafic consiste à enlever, capturer ou acheter des gens en profitant de la pauvreté et la misère des autres. En Europe de l’est un autre système est appliqué, celui de recruter de jeunes filles et peut-être même garçons à travers des castings ou sociétés d’embauche sous prétexte que les chanceux découvriront le monde merveilleux et magnifique des stars hollywoodiennes. En Asie, les pédophiles vont pour adopter des enfants, acte humanitaire et noble, pour en faire leurs esclaves sexuels.
Quel plaisir peut-on avoir en ayant des relations avec des êtres non consentants, drogués, contraints, forcés et avec des garçonnets ou fillettes ayant moins de 10 ans ?
Quel plaisir peut-on avoir en couchant avec des prostitués mâles ou femelles contre une somme d’argent ?
Le plaisir non partagé vaut-il le vrai plaisir ? Pour les tordus peut-être !
Ce trafic humain et sexuel se prolifère à la vitesse grand « V » car lucratif comme le trafic de drogue ou le trafic d’armes, et là où le gain facile est les vautours y sont.
Certaines organisations non gouvernementales « ONG » tentent de lutter contre ce phénomène au risque de leurs vies car les trafiquants ne peuvent être scrupuleux.
Mais quel rôle joue les gouvernements pour anéantir ce trafic répugnant?
Généralement, les personnes enlevées par la force sont contraintes de se prostituer par peur pour leurs vies ou celles des leurs. Les polices et brigades des mœurs ne peuvent tout démanteler, les arrêtés aujourd’hui pour racolage sont remplacés par plus le lendemain. Humainement, même les forces de l’ordre à travers le monde laisse faire car après tout c’est un choix délibéré, celui de se prostituer et de faire appel aux prostitués.
Les déclarations des ONG, les enquêtes, les documentaires, les livres et les films qui parlent de ce trafic humain, à priori, n’affectent que les gens qui n’ont à rien à voir avec ce secteur. La pression faite par les ONG ou enquêteurs ou reporters ou journalistes sur l’organisation des nations unis « ONU » ne sert à rien car celle-ci n’a pas autorité pour lutter contre ce genre de trafic vu qu’il n’y a à priori aucune résolution.
Et les gouvernements ?
On a l’impression que le trafic humain n’est pas une priorité, les guerres, les crises économiques, les cours de devises, la vente d’armes, le prix du pétrole, le prix de l’or les faillites et les bilans positifs restent les principaux titres des journaux télévisés. L’être humain qu’il soit pauvre, miséreux, séquestré ou exploité de quelque manière que ce soit n’intéresse plus qu’une minorité se voulant humanitaire. Les défendeurs de l’environnement « les verts », les défendeurs d’animaux, les défendeurs des faibles, des pauvres et des sans-abris sont considérés comme emmerdeurs par les « affairistes visionnaires » qui ne prennent en compte que les retombées financières. Ces mêmes « génies » prennent du bon temps avec des call-girls ou play-boys pour décompresser et ces derniers peuvent être issus de ce même trafic humain et sexuel.