Enfant maltraités
Enfant maltraités
Les questions de la maltraitance des enfants
En France, en 1995, la justice a reçu 35 000 cas de maltraitance d’enfants et en 2002 ce chiffre est passé à 49 000. Dans 90% des cas, il est venu de la famille immédiate (père dans 46% des cas, la mère dans 26% des cas). Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la maltraitance des enfants est un problème majeur de santé publique à travers le monde, avec près de 40 millions d’enfants impliqués. ‘Les enfants victimes d’abus ont une gamme de physique, émotionnel et de développement qui peut les empêcher de mener une vie saine et productive. Outre les problèmes de santé, les enfants maltraités ont des difficultés d’apprentissage, des problèmes de drogue et de démêlés avec la justice. Il s’agit d’un problème de santé publique d’une importance capitale pour l’OMS et un défi pour le prochain millénaire », explique le Dr Nelly Thylefors, Directeur de l’OMS sur la prévention des incapacités et des traumatismes et la réadaptation. Dans l’ensemble, cette page n’est pas neutre, car elle ne couvre pas la violence institutionnelle que l’enfant peut souffrir si un frère et une famille. Dans divers pays de la violence institutionnelle semble être un sujet tabou mais il est largement documenté dans le domaine de l’action sociale et même connu du secteur de la justice et des parlementaires. En France, l’occasion de la sensibilité des intervenants et de leurs ressources, il s’ensuit que des tragédies parfois réelle dans les familles en raison de l’inaction des services concernés. Elle peut aussi résulter d’une action tout à fait inapproprié en tant que mesure de placer un enfant en vertu du principe de précaution.
Pour se comporter
Même aujourd’hui, un comportement fréquent chez certaines personnes, c’est-à-dire: «Ne vous mêlez pas des affaires des autres!’. Ainsi, les cas graves de maltraitance d’enfants, plus ou moins connues ou suspectées par l’environnement immédiat sont détectés trop tard. Le traitement est très difficile car il n’est pas tellement «punir» les parents qui les aident à surmonter leurs problèmes afin qu’ils puissent donner à l’enfant un environnement familial favorable à leur développement. Les parents sont responsables d’abus peuvent être condamnés par la Cour pénale ou la cour d’assises et condamné à une amende ou d’emprisonnement, avec ou sans suspended.Deprivation de l’autorité parentale, la tutelle, les allocations familiales associées à des mesures d’assistance éducative sont d’autres solutions possibles. parents intenter des poursuites devant le juge ne résout pas leurs problèmes, pas plus que l’enfant maltraité. Retirez l’enfant de la famille sans fournir un soutien aux parents est d’inviter les abus par un autre. Les parents doivent être protégés contre eux-mêmes et la plupart des experts, le comportement agressif de ces parents est un cri d’alarme, un signe de détresse, dont la société doit répondre. L’aide doit être personnalisée, durable, positive, ferme mais sans porter de jugement, plus éducative que répressive. Les juges pour enfants ont de grandes difficultés à la maltraitance des enfants. Ils peuvent avoir besoin de prendre des décisions urgentes sans avoir eu le temps de rassembler toutes les informations. Ils doivent répondre à de multiples pressions des voisins, le directeur de l’école, les autorités municipales, la presse etc … qui ne voient aucune alternative au retrait immédiat de la child.They doit aussi apprendre à contrôler leurs propres réactions et leur désir d’être rassuré par un investissement sûr. La prévention repose sur l’amélioration des conditions de logement, la lutte contre l’alcoolisme, la contraception empêche les grossesses non désirées, l’avortement, l’amélioration des structures de soutien social.