Bien dormir
Bien dormir
Elles sont diverses et tendent principalement à retarder l’heure du coucher, en imposant des heures très régulières et ne pas permettre la reprise de la dette de sommeil que pendant les heures habituelles de sommeil. Apprendre au patient à éliminer tous les stimuli opposés pour le sommeil, la relaxation dans la journée par les méthodes de Jacobson, training autogène Schultz, les méthodes de biofeedback (biofeedback).
La phase de sommeil plus directement concerne l’art de bien dormir: c’est un état intermédiaire entre la veille et le sommeil. Il s’agit d’une zone de transition qui permet d’observer des phénomènes psychologiques propres au sommeil et la fragilité de cette fonction.
Pour être remplies, la baisse est endormi souvent entouré d’un rituel des habitudes personnelles, familiales ou communautaires telles que la lecture de quelques pages d’un livre … La séquence des événements qui composent cette phase cruciale est difficile de vous analyser, car dans ce cas, il modifie le cours. Les études dans les laboratoires du sommeil ont contribué à clarifier les phénomènes.
Autour de 22 ou 23 heures, le sujet commence à se détendre. Sa température corporelle diminue, ses yeux se ferment et il est immobile. Le rythme rapide et régulier de son électro-encéphalogramme, auparavant de 25 c / s cédé la place à un rythme plus lent d’août à Décembre cycles par seconde.Le sujet est dans un état de vide calme et de bien-être, de la pensée active. Dans la conscience, que quelques images vagues et incertaines continuer à flotter. Il perd la notion du temps tandis que leurs ondes électro-encéphalogramme continuer à ralentir.
Tôt le matin, l’insomnie, la difficulté à s’endormir, réveils fréquents … Les échecs de sommeil finit par devenir une obsession. En dehors des somnifères, il y a des façons d’apprendre à dormir.
Selon un sondage Louis Harris (2000), un Français sur cinq – soit près de 20% de la population – souffrent de troubles du sommeil. Et 70% des gens ne savent pas comment se rendre à l’observation bout.Premier: troubles du sommeil sont exclusives aux humains – les animaux ne sont pas en difficulté – et ils sont principalement de nature biologique! Notre cerveau contient des zones qui peuvent retarder le sommeil et à nous garder actifs. Cette capacité, très utiles dans une tâche d’urgence ou d’urgence, se transforme parfois contre nous qui nous empêche de tomber dans les bras de Morphée en l’absence de nécessité. Environnement trop stressant ou, au contraire, la perspective d’une journée trop mouvementée suffisante pour provoquer le sommeil involontaire!
En outre, notre sommeil est régulé par une horloge biologique qui régit l’alternance entre la veille et le sommeil. Et, comme tout spectacle, elle ‘pourrait sortir de synchronisation, de retard, de« marquer »20 h 30 dans le cerveau, alors qu’en réalité il est minuit», explique, «Avoir un bon sommeil’ (Odile Jacob, 2001), William Dement, professeur à l’Université de Stanford (Californie) et une autorité mondiale sur les troubles du sommeil. Les conséquences de ce changement: la difficulté à s’endormir. Pour certains, cela peut prendre une telle mesure où ils ne peuvent pas s’endormir à un moment où d’autres sonnent leur réveil au travail. Dans de tels cas, il vaut mieux être avec une âme et des désirs de la vie nocturne …
Une difficulté supplémentaire: le sommeil de plus normal est ponctuée micro-réveils. Et notre cerveau qui lui, ne dort jamais, nous fait parfois, sans que nous comprenions pourquoi, considérons plus ils sont. Ainsi le matin douloureuses quand nous nous réveillons épuisés, se sentant imparfaite, mais néanmoins douloureuse, ne pas avoir dormi. Près de ces malaises physiologiques, nous devons compter avec les pannes psychologiques: les nuits sans sommeil, les heures d’insomnie quand, en situation de stress, nous n’avons jamais nous arrêter dans notre lit trembler. Qui peut se vanter: ‘Insomnia Ne sait pas?’ Personne, malheureusement.L’universalité du problème ne permet pas facilement compréhensible. Les spécialistes – psychiatres, médecins – l’admettre: l’insomnie sont si différents les uns des autres qu’il est impossible de les expliquer toutes les … Maintenant, ils n’ont pas de définition scientifique de ce qui n’est pas considérée comme une maladie mais un trouble intime que seule la personne plaignante peut évaluer. L’insomnie est surtout un sentiment: que notre sommeil n’est pas assez bon et pas suffisamment réparatrice.
L’étude de 1997 par le Dr Maurice Ohayon, un psychiatre au Centre de recherches pour Philippe-Pinel de Montréal sur les 12 000 traverses en France, la Grande-Bretagne et du Québec dans cette direction. Cela prouve qu’une personne peut être parfaitement satisfait de son sommeil et en bonne santé pendant la journée alors qu’elle ne dort que cinq heures par nuit et se réveille souvent. C’est ce qu’on appelle cas de «petits dormeurs».
La répartition par pays de sommeil, le pluriel est obligatoire: l’insomnie et les insomniaques. Patrick Levy, président de l’Institut du sommeil et la vigilance, souligne cette difficulté: l’insomnie est toujours une affaire personnelle ‘Chaque personne fait son vivant et dormant dans sa propre histoire.’ Il est encore possible d’envisager trois grandes catégories de défaillances:. Initiale l’insomnie, tôt le matin et que les réveils trop fréquents.