Violence sur les femmes
violence sur les femmes
Habituel festive et conviviale, l’alcool a souvent une image positive. Pourtant, pas moins de cinq millions de Français sont les agresseurs. Outre les dangers à long terme (cancer, cirrhose, etc.) Intoxication encourage un comportement agressif et irresponsable des risques prenant.
Depuis le milieu des années 60, la consommation annuelle d’alcool par habitant diminue en France. Toutefois, l’âge du premier verre d’alcool progresse. La découverte de l’alcool qui s’est tenue à 13 ans pour les garçons et 14 filles dans le cadre du rapport biennal de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) 2002. Dans les deux ans après leur expérience de leur première «cuite». A 17 ans, deux tiers des garçons et deux filles déclarent avoir été ivres au cours de leur vie, une proportion qui affecte près des trois quarts des adultes au cours des douze derniers mois.
Alcool = Violence
La multiplicité de facteurs (hérédité, familiaux, socio-économiques, psychologiques …) ne pas isoler un lien de causalité unique entre l’abus d’alcool et les incidents de violences. Il n’y a cependant aucun doute que l’alcool facilite les passages à l’acte dans les cas de crimes sexuels et la violence physique en supprimant les inhibitions.
Une étude 1 a révélé que près de 50% des violeurs ont agi sous l’influence de l’alcool.Plus surprenant, le taux d’alcool de 60 à 70% des personnes agressées lui-même était positive. Une étude comparative avec des adolescents à l’encadrement pédagogique d’accueil étaient près de 79% de l’abus d’alcool contre 23% dans une population témoin d’adolescents scolarisés2.
Toujours selon un sondage du Centre national d’information sur les droits de la femme (CNIDF) en Mars 2000, 54,3% des femmes battues blâmer l’agressivité de l’alcool de leur conjoint.
Il serait erroné de réduire la violence à blows.Expressed par négligence, le silence, l’absence ou le désir, il reste, selon Philippe Brenot, l’extrême dans les relations entre les hommes et les femmes. ‘Je dénonce la violence ordinaire, banal, quotidien, la violence sourde et aveugle de l’existence féminine, héritière triste de la domination masculine que beaucoup pensent est manquant, mais les graines de la discorde conjugale», écrit-il. Le thérapeute psychiatre et couples nous amène à admettre la vérité et de découvrir ses origines: les gens, la société, de nos histoires personnelles, et parfois les femmes, coupables de ‘violence insidieuse, moins affichée, discrète et difficile à débusquer’ ceux qui attise leur compagnon . Philippe Brenot nous donne ensuite dix recommandations pour une meilleure communication: dire non, discuter, expliquer, accompagnée …Et enfin sortir de la lutte quotidienne des sexes.
La violence domestique est la violence au sein du couple. C’est un processus évolutif au cours duquel un partenaire exerce, dans le cadre d’une relation privilégiée, de domination s’exprime par l’agression physique, psychologique, sexuelle, économique ou spirituelle. La violence domestique a des conséquences graves pour les victimes et pour leurs enfants.
Combattre la violence domestique
Il faut distinguer entre les actions à court terme en période de conflit aigu et la prévention de la substance. Prévention de la substance recommandons la gamme des approches de bon sens ou ajusté par la psychologie qui contribue à la santé relationnelle du couple. Faut-il rappeler que la colère, la violence ou la passivité sont deux façons de signifier l’incapacité de fonctionner?Précautions en cas de stress entre les partenaires suggère notamment la médiation, le retrait temporaire des partenaires, la résolution d’autres aspects aiguë dans la vie des individus ou des couples. La thérapie de couple peut aider à identifier les causes de la relation emballement qui conduit à la violence psychologique ou physique. Les approches sont multiples: l’analyse transactionnelle, communication non-violente, approche comportementale, etc.
Les homicides entre conjoints
Les homicides entre conjoints représentent environ 20% des homicides au Canada, les trois quarts des victimes étant des femmes (12% des homicides). Une étude aux États-Unis a montré que dans les homicides entre conjoints, il y avait autant de victimes de sexe masculin (maricide) que de femmes (uxoricide), et seulement 60% des décès chez les hommes, la femme se défendait de son mari violent.
En France a été publié en 2006 par l’Observatoire national de la délinquance, une étude sur ‘les éléments de mesures de la violence domestique.’ Il a été calculé pour l’année 2004, 25 hommes et 162 femmes tuées par un conjoint ou le concubin. [3].
Une étude menée par la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur en 2008 et rendu public par le secrétaire d’Etat à la Solidarité, les chiffres pour l’année 2007, que 192 homicides ont été commis au sein du couple, dont 86% des victimes étaient des femmes. Cette étude a mis en évidence que: – la majorité des homicides sont survenus dans les couples dont l’état matrimonial est établi. – La séparation est le principal motif d’acting out (35%). – Cette violence dans la famille conduit à des dommages collatéraux. Ainsi, un jeune enfant a été tué par son père avec sa mère. – Bien que la violence affecte toutes les classes sociales, les faits ont été commis le plus souvent dans les couples où un des deux partenaires ne travaillent pas ou plus. [4].
Sortir couvert!
Au cours de soirées ‘arrosées’, les gens commencent à parler, le rire est plus facile, le sentiment de gagner de la richesse conduit certains à finir leur soirée avec ‘pilote automatique’. Ils laissent parfois accompagnés de leur conquête d’un evening.And l’horloge est parfois difficile de traiter avec un partenaire dont j’ai oublié le nom …
L’anxiété est à son comble lorsque le trou noir empêche le Don Juan pour une nuit à se rappeler si un préservatif était muni au moment opportun …Vous devrez attendre 3 mois après un risque relatif pour un test VIH.
Aide aux victimes de violence conjugale: Modification
Mais malgré ces efforts de pionniers, la réalité de cette violence n’est pas mieux reçu. La prolifération des centres d’écoute ou d’accueil spécialisé aura lieu à l’octroi de subventions du gouvernement (à continuer, au mieux, pour mener à bien leurs activités d’assistance et de prévention), à la fin des années 1980.