Violence police
Violence police
L’épilepsie est une maladie chronique, récurrente, définie par la récurrence de crises spontanées paroxystique d’origine cérébrale chez le même patient.
Ces crises sont liées à une décharge de régénération d’une population de neurones hyperexcitable ‘indépendamment des symptômes cliniques et de laboratoire peuvent être impliqués.’ (OMS)
La répartition par âge est unique à deux pics aux deux extrêmes de la vie: un chez les jeunes enfants 1 an avant et un après 75 ans.
Le cerveau se compose d’un grand nombre de neurones qui sont doués d’une activité électrique des cellules nerveuses, l’influx nerveux peut être comparé à un courant électrique se propage le long du nerf aux muscles pour les activer.
En termes imagés, l’épilepsie est causée par une décharge électrique excessive, anormale, synchrone à un certain nombre de neurones. Cette décharge électrique provoque une onde électrique qui se propage à toutes les cellules nerveuses, étape par étape et déclenche les crises.
Dans les cas plus rares, l’épilepsie peut refléter l’existence de maladies organiques du cerveau ou un trouble métabolique. Ces causes peuvent agir comme un indicateur de l’épilepsie sous-jacente ou être à l’origine:
La crise tonico-clonique débute par une perte de pleurer et parfois de la conscience est immédiate et totale.spasme tonique de 10 à 20 secondes marque le début. Tous les muscles sont contractés, la respiration est bloquée, le patient est cyanosé. Les globes oculaires sont annulées. La tête est rejetée en arrière, la constriction des mâchoires peut entraîner morsure de la langue. La transpiration, tachycardie, hypertension, hypersalivation phénomènes autonomes sont plus souvent associés.
Cette phase tonique, suivie d’une phase clonique, parfois annoncée par un léger tremblement des membres. Elle est caractérisée par des tremblements (convulsions) membres et le visage d’amplitude plus ou moins, qui peu à peu s’estomper. Cette phase dure de 30 secondes à 3 minutes. La perte d’urine est fréquente.
À la fin de la phase clonique, le patient est dans une hypotonie complète. coma post-critique avec respiration sifflante marque la fin de la crise et le sujet se réveille peu à peu en gardant un état de confusion de quelques heures.
Parfois, il ya une aura qui empêche le patient de la prochaine occurrence d’une crise est souvent un sentiment de malaise, étourdissements mal défini ou d’anxiété. Cette aura peut être un emplacement de valeur.
La fréquence des attaques varie d’un patient à l’autre saisies, plusieurs fois par jour à une crise tous les trois ans … Certains facteurs semblent en leur faveur:le manque de sommeil, les émotions, hyperpnée, le bruit, intermittent stimuli visuels (télévision, etc stroboscopique.)
Et la douceur de l’épilepsie rolandique ou centro-temporales a été établi, permettant l’arrêt du traitement après la puberté.
De même, l’épilepsie myoclonique juvénile répond bien au traitement, principalement par le valproate, bien que les rechutes sont fréquentes lors de la tentative d’arrêter le traitement.
Dans le domaine de l’épilepsie-absences (par exemple «petit mal»), le pronostic est excellent chez les enfants avant 8 / 10 ans, et un peu moins chez les adolescents, avec évolution possible vers des crises généralisées.
Ils sont très variés. Certaines crises partielles secondairement généralisées peuvent devenir, et le médecin doit reconnaître le localisées initial, car il peut souvent évoquer une lésion organique à l’origine de la crise.
Dans les crises partielles moteur Bravais-jacksonienne, muscles touchés sont généralement ceux de la main, la langue, le visage et les pieds. La crise a commencé par exemple à moteur central à portée de main, et s’étend à d’autres régions du corps sur le même côté d’une table, toujours identiques. Le sujet ne perd pas conscience et témoin impuissant de sa crise.
Cela peut être l’apparition de complexes phénomènes sensoriels (hallucinations, auditives, visuelles, olfactives ou gustatives). D’autres fois, ils sont l’accès végétative: pâleur, sensation de barre sur la poitrine, anxiety.Disorders de la conscience (états de rêve, une obnubilation de profondeur), des problèmes de mémoire (déjà vu, en revivant des scènes passées), des troubles du langage sont possibles. Il existe également des activités psychomotrices très variables que le patient n’a pas de mémoire: brève suspension de l’activité, de mâcher de la crise de transition, les activités complexes, fugues, etc … Le patient peut tout simplement prendre le train et réveille automatiquement quelques heures plus tard dans un endroit éloigné.
Crises sensorielles (pariétale) se manifestent par des sentiments de picotements sur la peau (paresthésies) au début localisée s’étendant à tout ou partie d’une moitié du corps. Ces sensations peuvent rester isolées ou accompagnées d’une conduite de crise. C’est parfois l’illusion de poids ou de déplacement d’un segment du corps.
Entre les crises il est parfois normal. D’autres fois, le neurologue a noté bilatéraux rejets intermittents des pointes ou des pointes-ondes. Lorsque ces signes se trouvent, qu’ils soupçonnent une saisies à partir lesion.In point focal, l’EEG peut être normal entre les crises ou afficher un objet de lent ou un foyer épileptique évoquant une lésion.
Le fond d’œil (FO), radiographie du crâne, TDM et l’IRM sont les autres les plus demandés des tests supplémentaires. Un bilan biologique est utile.
Dans un proche avenir, de nouveaux tests permettront de mieux comprendre la maladie et son traitement: surveillance, vidéo-EEG, imagerie fonctionnelle par résonance magnétique, tomographie par émission de positons et la magnéto-encéphalographie.
Les troubles mentaux entre les crises sont possibles: troubles du caractère, explosions de violence, la lenteur de la pensée, des problèmes de mémoire, confusion.
La plupart des produits classiques utilisés sont les benzodiazépines et les barbituriques qui sont des produits supplémentaires, principalement utilisé au cours de l’urgence.
Le vigabatrin (Sabril) – Le felbamate (TALOXA) – La gabapentine (Neurontin) – La lamotrigine (Lamictal) – Tiagabine (GABITRIL) – Topiramate (EPITOMAX) – fosphénytoïne (injection PRODILATIN).
Les règles régissant le choix d’un médicament antiépileptique est théoriquement simple: le médecin choisit le traitement qui est moins toxiques et plus efficaces en fonction du syndrome épileptique atteint. La pratique est des cas plus complexes et difficiles doivent être discutés avec le spécialiste épileptologue. La monothérapie est recommandée, la combinaison de deux médicaments, cependant, est parfois nécessaire après l’échec d’une, deux ou plusieurs tentatives à une monothérapie.
Quel que soit le médicament choisi, le traitement doit être commencé progressivement à donner au patient le temps de s’habituer (3-4 semaines) aux effets sédatifs des médicaments.
Le traitement chirurgical de l’épilepsie est devenue un outil puissant dont l’extraordinaire profits sont encore limitées par l’exploration lourds pré-opératoire (actuellement 300 patients opérés chaque année en France)
De la chirurgie palliative (hémisphérectomie ou callosotomie chez les enfants) sont rarement proposés dans l’épilepsie très active et intraitable.
La première phase est basée sur l’enregistrement des saisies, 24 heures sur vingt-quatre pour la surveillance-vidéo-EEG, éventuellement associée à une étude SPECT, la critique et la critique internationale.
Un examen d’imagerie par résonance magnétique sera adapté au type d’épilepsie ou de lésions enquête (dysplasie, sclérose hippocampique …).
Une évaluation neuropsychologique sera réalisée et sera complétée par d’autres examens, y compris dans certains cas, l’implantation d’électrodes intracérébrales (stéréo-EEG) en contact avec des générateurs de même.
Les résultats de cette chirurgie sont excellents pour 60-80% de l’épilepsie du lobe temporal et de 40 à 50% d’autres types d’épilepsies lobaires.
Il est important de libérer de l’espace autour du patient afin qu’il ne blesse pas la parole pendant ses mouvements cloniques. Un mouchoir peut être appliquée dans la bouche pour éviter de mordre la langue.
Nous devons désamorcer l’épilepsie: d’abord parce que la grande majorité des épilepsies sont bénignes et non associée à des lésions cérébrales; Ensuite, parce que la moitié des épileptiques guérissent spontanément en quelques années.
Le manque de sommeil peut faciliter la survenue des crises. Toutefois, il est injuste d’imposer horaire de sommeil trop stricte, il vous suffit de s’assurer que les besoins de sommeil sont couverts.
Certains médicaments peuvent augmenter le risque de crises: les neuroleptiques, les antidépresseurs, la méfloquine (Lariam), la phénylpropanolamine (décongestionnaux nasale: Dénoral, Rinutan, Triaminic stéroïdes …), …
l’exercice des sports et physique régulière améliore l’épilepsie et sont donc recommandés. Cependant, certains patients sensibles à l’hyperventilation, des efforts devraient éviter aiguë et préfèrent les activités moins violentes (marche, golf …)
La nage dans la piscine doit être effectué sous la surveillance étroite. Les cas de noyade sont trop fréquents. Certains autres sports ne sont pas recommandés: l’alpinisme, la boxe …
Certaines professions sont exclues pour des raisons de sécurité (équipages de l’aviation, les plongeurs…) Ou par la tradition (armée, police, clergé). L’éventail des possibilités est encore très large.
Pour la conduite, il n’existe aucune législation. Il est reconnu qu’un sujet souffrant d’épilepsie peut conduire s’il a plus d’attaques pendant 2 ans (avec ou sans traitement). Cette période peut être discuté que si les crises sont nocturnes.
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André Comte-Sponville
Philosophe André Comte-Sponville publications comprennent Le Bonheur, désespérément (Spotlight) amour, la solitude (Albin Michel) et Petit traité des grandes vertus (paperback).
Les adolescents condamnés pour assassiner, des étudiants de racket par leurs camarades de classe, les attaques contre les trains, les métros, bus … La violence, même dans notre seul pays, ne laisse pas beaucoup d’oublier. Et que dire des massacres en Algérie ou au Kosovo?
L’horreur est toujours possible. Paix, sécurité, toujours vulnérables. La douceur, toujours peu probable. L’homme est un loup pour l’homme, par laquelle il est pire que les loups. Aucun animal aime tuer ses camarades de guerre men.The est unique à l’homme. Pourquoi? Parce que les hommes sont violents. Parce qu’ils sont rivaux. Parce qu’ils sont vains.
Quelle violence? Il s’agit de la surexploitation de la force. Modération, comme toute vertu, est acquis. La violence est une:c’est la force native, la force brute et brutale. Il est toujours déjà là, est ce qu’il ya derrière la faiblesse du nouveau-né. Mais regardez sa colère, ses cris, ses poings se crispent peu … laisser se développer sans aucun amour, aucune éducation, vous aurez un monstre parfait: la violence contre l’homme, l’homme laissé à sa propre violence.
Pourquoi les hommes sont violents? Parce qu’ils sont des animaux, et les animaux, presque tous sont violents. Parce qu’ils sont des hommes, et les mâles de notre espèce comme dans beaucoup d’autres, sont plus violents que les femmes. Pensez-vous que ce jeu soit taureaux castrés? Je suis conscient que plusieurs des nouvelles récentes ont impliqué des jeunes filles … Mais je vois une exception, souvent pathologiques, plus qu’une règle. Une femme pouvait être violent, c’est évident. Mais un homme ne peut pas être, c’est plutôt une surprise ou un mystère. Le grognement plus petite voiture en dit long sur la masculinité, comme n’importe quel groupe de fans … J’ai eu tort? Très bon. Retirez la police dans les stades et voir …
Mais les hommes ne sont pas seulement les animaux, ni de sexe masculin. Ils sont aussi des concurrents, et leurs désirs objet le plus proche. Ils veulent tous les mêmes choses, ils ne peuvent pas tous posséder, et ils veulent plus que d’autres veulent aussi en profiter ou non …Comment pourraient-ils pas jaloux de ce qu’ils n’ont pas, ou peur de ce qu’ils ont? Que les jeunes de nos villes ont la haine quand ils viennent sur les Champs-Elysées, ce qui est plus compréhensible? Tel luxe, si beaucoup de tentations, tant d’injustices … et d’autres craignent pour leurs biens, ce qui pourrait être plus humain? races Hate peur qui engendre la haine. Je me trompe? Très bon. Retirez la police dans les rues et voir …
Les hommes sont aussi vain. Cela signifie qu’ils veulent être reconnus, valorisés, admiré, et surtout ils ne prennent pas en charge ou le mépris ou la honte. Ils vivent dans les yeux des autres, et pour ce regard. Comment tuer si ils pouvaient en toute sécurité d’une blessure en soi? Je me trompe? Très bon. Retirez la police, tribunaux, prisons et de voir …
La violence n’est ni un accident ni une dégénérescence. Il est constitutive de l’animalité, l’humanité, la sociabilité … Aucune société sans force et sans la balance du pouvoir, pas de société sans désirs, sans rivalité, sans vanité: pas de société sans violence.
Plutôt que d’être surpris que la violence existe, elle devrait plutôt être surpris qu’il cède la place, parfois, souvent, dans l’ordre, la paix, la tranquillité, l’harmonie de tous ces …les gens dans le métro secouer pour vous laisser entrer, qui s’excusent quand ils vous dérangent, vous informer quand vous êtes perdu … La peur est l’exception. La haine est l’exception. Parce que l’amour l’emporte? Ne rêvez pas. Parce que la prudence domine. Parce que l’intelligence domine. Parce que la violence est contrôlé, maîtrisé, à surmonter. Comment? Par signes, qui est la politesse. Par des menaces, ce qui est de la police. Par un équilibre des forces et des intérêts, ce qui est politique. Enfin, en certaines valeurs, certains tabous, quelques exemples, ce qui est moral.
‘L’Etat, Max Weber, le monopole de la violence légitime.’ Et l’individu, je pourrais ajouter, que la douceur nécessaire. C’est pourquoi nous avons besoin de la police, et c’est pourquoi la police ne suffit pas.
La violence policière aux États-Unis
États-Unis, les cas présentés comme des cas de violences policières sont souvent utilisées en relation avec les problèmes de discrimination contre les communautés. Toutefois, il est imprudent de généraliser ces cas, étant donné la multiplicité des forces de police des États-Unis.
Histoire
La loi autorise la police à utiliser la force dans certaines situations (arrestations, évasions, crime flagrant, etc.).La «brutalité policière» est cependant utilisé par la plupart des médias pour décrire la violence nommaient «illégitimes», c’est-à-dire ne relevant pas de l’emploi de la force légale. Ils sont semblables, de sorte que le concept de ‘bavure policière’. Toutefois, ce dernier terme souligne que le caractère illégitime de la violence ne vient pas d’un ordre de la hiérarchie, mais l’action sur le terrain, la «brutalité policière» Prejudice terme à moins qu’un tel manque de commandes, applicable à des événements comme le massacre de 17 Octobre 1961, qui participent directement au préfet de police, Maurice Papon.
En outre, la question de la définition de ce qui constitue ou non un ‘violences policières’ peut conduire certains à croire que certains usages légaux de la force sont en effet la violence de la police (si caricatural serait où les forces de l’ordre du jour matée dans le sang une manifestation, être légalement autorisé à faire autrement par une dictature autoritaire), tandis que d’autres défendent la légalité et sa légitimité prétendue règle de cette qualification et il demande que «d’utilisation légitime de la force.En bref, la barrière entre ce qui constitue un usage légitime de la violence, qui a fait un monopole est une définition essentielle de l’Etat selon Max Weber et son utilisation abusive, reste toujours une question de conflit d’interprétation, quelle que soit le régime (démocratique ou dictatorial) .
La protestation des Black Panthers aux États-Unis dans les années 1970 contre les violences policières jugée légale par les tribunaux constitue un exemple de conflit potentiel autour de la notion. Dans un autre ordre d’idées, on peut également citer le cas de Leon c. Wainwright, les États-Unis Cour d’appel du onzième circuit, en Juin 1984 par l’avocat Alan Dershowitz modérée, il est en effet un cas de brutalité policière, la qualifiant même de «torture». Toutefois, il a été légitimé par la Cour, qui aura lieu dans le cadre d’une affaire d’enlèvement, la Cour a rejeté l’utilisation de la torture et même la violence de la police, mais a défendu les actions de la police, citant ‘le besoin immédiat de trouver la victime et lui sauver la vie . ‘
La relation avec l’activité policière, si causalité ou circonstancielle, est également important dans la définition ordinaire de ‘violences policières’:la violence perpétrée par un policier en dehors du service et sans l’utilisation d’armes ou que son emploi n’est pas considéré comme prérogatives en vertu de la violence policière.
En outre, la violence policière n’est pas la seule forme de violence d’Etat qui est raisonnable: il ya abus de droit par le gouvernement, les abus dans les services secrets, etc. Quels sont d’une violence même nature et recours à des voies similaires.
La citoyenneté d’entreprise
Les associations ont fixé comme objectif de travailler à changer le comportement des policiers. Ces groupes opèrent le plus souvent en mettant le doigt sur les actions de la police par le biais de tableaux de bord établi de façon indépendante et d’autres méthodes statistiques. Copwatch regroupe des associations et des militants après le tournage de l’action des forces de l’ordre pour prévenir le phénomène de la brutalité policière. Les logements collectifs tels que Octobre 22nd Coalition pour mettre fin à la brutalité policière, la répression,