Violence femmes
Combattre la violence domestique
Il faut distinguer entre les actions à court terme en période de conflit aigu et la prévention de la substance. Prévention de la substance recommandons la gamme des approches de bon sens ou ajusté par la psychologie qui contribue à la santé relationnelle du couple. Faut-il rappeler que la colère, la violence ou la passivité sont deux façons de signifier l’incapacité de fonctionner? Précautions en cas de stress entre les partenaires suggère notamment la médiation, le retrait temporaire des partenaires, la résolution d’autres aspects aiguë dans la vie des individus ou des couples. La thérapie de couple peut aider à identifier les causes de la relation emballement qui conduit à la violence psychologique ou physique. Les approches sont multiples: l’analyse transactionnelle, communication non-violente, approche comportementale, etc.
Les homicides entre conjoints
Les homicides entre conjoints représentent environ 20% des homicides au Canada, les trois quarts des victimes étant des femmes (12% des homicides). Une étude aux États-Unis a montré que dans les homicides entre conjoints, il y avait autant de victimes de sexe masculin (maricide) que les femmes ( uxoricide), et seulement 60% des décès chez les hommes, la femme se défendait de son mari violent.
En France a été publié en 2006 par l’Observatoire national de la délinquance, une étude sur ‘les éléments de mesures de la violence domestique.’ Il a été calculé pour l’année 2004, 25 hommes et 162 femmes tuées par un conjoint ou le concubin. [3].
Une étude menée par la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur en 2008 et rendu public par le secrétaire d’Etat à la Solidarité, les chiffres pour l’année 2007, que 192 homicides ont été commis au sein du couple, dont 86% des victimes étaient des femmes. Cette étude a mis en évidence que: – la majorité des homicides sont survenus dans les couples dont l’état matrimonial est établi. – La séparation est le principal motif d’acting out (35%). – Cette violence dans la famille conduit à une garantie damage.Thus un jeune enfant a été tué par son père avec sa mère. – Bien que la violence affecte toutes les classes sociales, les faits ont été commis le plus souvent dans les couples où un des deux partenaires ne travaillent pas ou plus. [4].
Numéros général
Centre antipoison: En cas d’intoxication des médecins sont en ligne 24/24: 0825812 liste 822Trouvezla des centres anti-poison le plus proche de votre domicile.
La violence domestique contre les hommes
En 1977, le sociologue américain Suzanne Steinmetz crée le concept de «mari battu», plus tard remplacé par un «homme battu». Dans une étude 1980 (Behind Closed Doors – Violence dans la famille américaine), y compris une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Selon eux, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes qui utilisent des armes à feu peuvent causer des blessures graves. Suzanne Steinmetz a écrit: «Le crime le plus sous-estimé n’est pas une femme battue, mais le mari battu.’
Dans le monde francophone, plusieurs enquêtes sur la victimisation sont compatibles avec l’équivalence quantitative de la violence domestique. Pour le Canada, c’est le cas de l’ESG, menée en 1999 et 2004. En Suisse, où une enquête auprès des enseignants de l’Institut de Fribourg famille Bodenmann Guy et Barbara Gabriel, 2002. Ils conduisent à des évaluations similaires: 1 à 2% des victimes pour chaque sexe dans l’année précédant l’enquête.
Une série de témoignages sont disponibles dans la thèse d’une travailleuse sociale suisse, Sophie Torrent, intitulée L’Homme battu, [2], et la cause de l’humanité Patrick Guillot.
En France, les Français sondage BVA / L’Express en Juin 2005, demandant aux hommes les mêmes questions sur la violence psychologique que celles posées aux femmes interrogées ENVEFF, les mêmes résultats.
La première enquête de qualité de la vie et la sécurité de l’OND, couvrant les années 2005-2006 et publié en 2007, estimée à 0,7% la proportion des hommes victimes de violence, soit l’équivalent de la population à 120.000. La même enquête pour 2007-2008, le estimée 110.000 ou 0,4%. Et, pour 2009 (un an), de nouveau à 0,4% ou 78 000.
Pour 2007, la gendarmerie de 2317 reconnaît les faits établis de la violence domestique contre les hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, parce que la police ne sont malheureusement pas en mesure de fournir le nombre de ses propres. Ce chiffre est bien inférieur au montant réel de la violence, parce que la plupart de ces hommes n’osent pas se plaindre, pour plusieurs raisons: les services de soutien, telles que 3919, ont été officiellement présentés comme réservés aux femmes, ils ont peur ne pas être cru ou d’être ridicule, ils craignent d’être soumis à une contre-plainte de leur conjointe, qui sera donné de la crédibilité beaucoup plus grande; ils ont peur de provoquer des conflits de séparation, qui entraînerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d’obtenir la résidence permanente.
Malheureusement, un certain nombre d’actes de violence graves commis par les pères contre les mères dans les couples qui vivent un divorce ne sont pas comptés comme «violence conjugale». Il s’agit notamment de fausses accusations de violence physique ou sexuelle contre les enfants, le crime de non-représentation d’enfants très peu sanctionnée en France quand le fait d’un parent, d’aliénation parentale des enfants, rendant le déménagement de visite difficile à longue distance du père.
D’autres cas de violence fait aux hommes fréquentes sont représentées par de fausses accusations de viol ou d’agression sexuelle à des fins de vengeance ou causés par la culpabilité d’avoir cédé à une sollicitation sexuelle.
Aide aux victimes de violence conjugale: Modification
Mais malgré ces efforts de pionniers, la réalité de cette violence n’est pas mieux prolifération received.The des centres d’écoute ou d’accueil spécialisé aura lieu à l’octroi de subventions du gouvernement (à continuer, au mieux, pour mener à bien leurs activités d’assistance et de prévention) , à la fin des années 1980.