Troubles urinaires
troubles urinaires
Schématiquement, on peut distinguer trois grands types d’incontinence urinaire: l’incontinence d’effort, l’incontinence par impériosité (forces extérieures) et l’incontinence après chirurgie (complication de la chirurgie).
La continence urinaire (capacité à retenir son urine) est assurée par un sphincter situé sous le col de la vessie, autour de l’urètre. Le sphincter a deux composantes qui ont un autre contrôle nerveux. L’une des deux composantes obéissent à la volonté tandis que l’autre est autonome.
L’incontinence urinaire est le résultat d’un dysfonctionnement musculaire (lésion du sphincter et / ou d’autres muscles du plancher pelvien) ou d’une anomalie neurologique affectant le sphincter et / ou de la vessie.
une incontinence urinaire d’effort La, la plus fréquente, touche principalement les femmes après 50 ans. Les facteurs de risque sont traumatisme de la naissance (accouchement, surtout si elle est traumatique: gros bébé, l’épisiotomie, forceps …) et le vieillissement.
L’incontinence par impériosité est le plus souvent associée à une anomalie neurologique (malformation congénitale, vessie hyperactive, traumatisme de la moelle épinière …) ou une irritation de la vessie (infection, tumeur, calcul, corps étranger …).
Perspectives thérapeutiques
Thérapie génique
Cette technique consiste à injecter dans certains domaines du système nerveux central des vecteurs viraux porteurs des gènes. Ces gènes seront intégrés dans le génome des cellules hôtes et sécrètent des substances neuroprotectrices ou des enzymes impliquées dans la synthèse des neurotransmetteurs. Des études préliminaires ont montré les premiers résultats positifs en ce qui concerne la tolérance chez l’homme, mais l’efficacité clinique reste à démontrer.
Cellules souches
Il s’agit d’une approche thérapeutique majeure qui consiste à transplanter des cellules souches dans le système nerveux. Ces cellules sont totipotentes et peut théoriquement être transformé en cells.There neurones sont encore de nombreux obstacles, notamment liés au risque de cancer, avant d’envisager un usage thérapeutique chez l’homme. Les résultats restent incompatibles, avec une plus grande amélioration observée chez les patients jeunes.
Autres
Le traitement par stimulation électrique de la moelle épinière est également visé par l’enquête et a donné (Mars 2009) des résultats très prometteurs dans les premiers tests sur des souris et des rats.
Impact sur l’environnement du patient
En France, le conjoint d’une personne malade de Parkinson consacre en moyenne 8 heures par jour. 52% des conjoints de personnes souffrant de la maladie de Parkinson version limitée de la maison sans que le patient.47% des conjoints avec la maladie de Parkinson sont dans des chambres séparées ou une utilisation des lits jumeaux, 46% utilisent l’aide à domicile.
Epidémiologie
Sa prévalence augmente dans les pays occidentaux avec l’âge. Elle est de 1 à 2 pour 1000 dans la population générale. Il est rare avant 40 ans. L’âge habituel de début est autour de 60 years.She dit plus souvent chez les hommes plus de 40 ans. Il est plus important chez les personnes âgées, de plus de 4% chez les personnes de plus de 85 ans. Cependant, des études épidémiologiques dans ce groupe d’âge ne fait pas de distinction entre la maladie de Parkinson et des syndromes parkinsoniens. Les hommes sont plus souvent touchés que les femmes, mais les études ne sont pas unanimes.C est une cause majeure de handicap moteur chez les patients âgés ayant subi un AVC.
Histoire
James Parkinson a fait la première description clinique de regarder le monde passer de son balcon en 1817. Tretiakov en 1919 a découvert une lésion dans la substantia nigra des patients devient blanche par une dépigmentation. En 1960, nous découvrons que la maladie est due à un manque de dopamine sécrétée par le locus Niger. En 1970, le premier traitement est prescrit aux patients. Il s’agit de la L-Dopa, qui s’avère efficace.