Troubles psychotiques
L’anxiété est caractérisée par des sentiments d’appréhension, de tension, l’inquiétude, la terreur face à un risque de nature indéterminée. Il est souvent exprimé par le patient en termes de nervosité ou d’inquiétude. L’anxiété doit être distinguée de la peur de répondre à une situation menaçante réelle.
Nous faisons la différence du trouble panique (correspondant à des crises d’angoisse aiguë se produisent périodiquement) et la constante angoisse (trouble d’anxiété généralisée ou névrose d’angoisse), qui affecte les individus de façon durable.
Cette distinction est importante parce que les traitements sont différents. Le trouble panique est un traitement préventif de la survenue de crises par les antidépresseurs tout GAD est disponible sur tranquillisants classiques.
Les troubles anxieux sont fréquents, ils affectent chaque année environ 2-8% de la population adulte et sont plus fréquentes chez les femmes. L’âge moyen d’apparition des symptômes est compris entre 20 et 30.
L’anxiété peut être normale, même nécessaire à la vie par sa fonction adaptative, ou inversement, une maladie débilitante. Les limites entre la réaction d’anxiété normale qui consiste à ce sujet pour faire face à une situation difficile et l’anxiété pathologique n’est pas claire.
Il est généralement considéré que l’anxiété est normal quand il est bien toléré par le sujet, il peut le contrôler, il ne perçoit pas comme une contrainte déraisonnable, elle n’a aucune incidence sur sa vie quotidienne et il est peu probable somatisée. L’anxiété est une expérience normale que chacun de nous a connu la peur avant un examen, le souci de la santé d’un parent, réactions hâte dans des accidents, les catastrophes … L’anxiété est une émotion si utile. C’est une réaction psychologique au stress. C’est un état qui fait partie de nos réponses adaptatives à des stimuli externes en nous permettant de retenir notre attention, d’élever notre vigilance dans les situations de nouveauté, de choix, de crise ou de conflit.
En plus de troubles névrotiques (anxiété généralisée et le trouble panique) dont la réelle cause est inconnue et fait l’objet de diverses théories, il ya des causes facilement identifiables.
Dans la névrose hystérique, l’angoisse est convertie en symptômes physiques sans support organique. Mais cette conversion est souvent incomplète et une certaine inquiétude persiste en général.
Définition des enfants psychotiques: L’enfant souffre d’une psychose qui se traduisent par des troubles du comportement, retard de développement mental
C’est autour de l’âge de 3 ans, l’enfant commence à présenter des troubles psychotiques: l’impulsivité, l’agressivité sont les principaux symptômes. L’enfant est en retard sur le plan mental, et n’arrive pas à s’adapter dans un environnement social. La psychose qui touche les enfants entrave le développement normal et de l’apprentissage. Si les troubles psychotiques sont souvent dominées par l’autisme infantile, la schizophrénie, la paranoïa sont également inclus.
Encadrés par un éducateur, les enfants psychotiques reçoivent des soins à un niveau d’enseignement (autonomie de l’enfant), mais aussi éducatif (développement intellectuel) et thérapeutiques (développement relationnel).
Qu’est-ce que la psychose?
Le terme psychose a été introduite au XIXe siècle, relevait de la folie et l’aliénation. Il est un terme général qui se réfère à la plupart des troubles mentaux graves caractérisées par une altération de la personnalité globale.
Le terme est souvent utilisé avec un adjectif qui indique la nature, l’étiologie et la pathologie du caractère dominant. Selon le système actuel de la psychiatrie et la psychopathologie à laquelle il se réfère, le mot peut prendre plusieurs directions: nous parlons de structure psychotique, un pôle d’organisation de la personnalité psychotique, etc. DSM IV psychose se caractérise par des troubles, transitoires ou permanentes, des troubles de la personnalité liés à du sens ‘de la réalité et de l’auto, et comprend des symptômes positifs (délires, hallucinations), négative (l’apathie, aboulie, expression des émotions …) et dysexécutif ( attention, la mémoire de travail …). Selon les tenants de cette approche, les psychoses comprennent deux grands groupes: la schizophrénie et la psychose delusions.In la crise, la psychose est la schizophrénie.
L’enfant psychotique arrive dans une famille où l’environnement psycho-affectif offert par les figures parentales est fondamentalement une lacune importante, si importante: il s’ensuit que échappe à cette insupportable, où il est possible, c’est à dire dans l’imaginaire, où il peut heureusement construire et générer un mot, il transporteur tour un mot, le contenu du discours, de se tenir dans l’environnement social (et de l’éligibilité est de nouveau le désir manifeste, et la construction). En somme, l’intégration sociale sont à un âge précoce, et bien sûr fondamentalement impliqués dans la construction de l’individu ainsi que tout autre enfant. Il n’est pas particulièrement, comme certains voudraient nous faire croire, de l’acte: parce que le bâtiment est l’utilisation de la plupart imaginaires, et c’est là que la liberté de prendre son premier corps est également à noter que l’utilisation de l’imagination n’est pas riche ou probablement plus dense que l’autre enfant, ce qui prouverait un mythe-une croyance-: simplement il est le refuge de la survie de son intégrité et de construire sa (): structure … heureusement avec structurellement parlant, et puis la structuration. (): Montage de la partie-en-exo-genèse dans le milieu initial. Comme tout autre, l’enfant acquiert sa structure psychotique, au profit de réciprocité et de l’inclusion sociale, mais la principale façon dont cela devient (source:site psyresp lacanienne.) … Comme l’imagination objectif principal fait qu’il est structurellement différents psychotiques ou psychose.
Lorsque la psychose est généré à partir d’autisme, qui se trouve être un monde de possibilités, l’enfant reçoit dans le déliement de l’absence de discours sur (enfin) dans le (dés) la nomination par l’autre, il est alors, l’un des autres (et autre que l’autre), sous réserve … Bénin, au risque de disparité … d’être et d’agir.
Il existe des formes de psychose plus ou moins sévères. Les psychoses sont souvent liées à des perturbations de masse dans l’enfance, tels que la négligence affective, la violence psychologique chronique, les conflits parentaux, les relations émotionnelles d’inceste, de la guerre. La psychose est une structure.It est possible de gérer avec une psychose de l’auto-apprentissage de la maladie, tout en assurant une surveillance continue pour surmonter la crise. Le mode de vie est primordiale, et les relations sociales (amitié, famille, travail). Les activités culturelles et sportives sont fortement recommandées. En termes de réglementation, les neuroleptiques sont efficaces. Associé à un traitement médicamenteux, et le long d’un chemin d’accès de la psychanalyse, une prise en charge psychothérapeutique (ateliers, groupes de travail …) ouvre la voie pour un meilleur développement du sujet.Un psychotique, s’il sait sa maladie (après un traitement de long), peut se débrouiller avec un suivi régulier. Néanmoins, les psychoses associées à des crimes graves devraient être augmentés de surveillance et de soin, et ne pas actuellement soumis à advances.It importante semble être acceptée par tous les praticiens de cette thérapie efficace est étroitement liée à sa pleine acceptation par le patient et son implication personnelle et active dans le processus de guérison, le concept est que la psychose est moins une maladie traiter un individu, une personne à part entière pour aider à résoudre ses graves difficultés.
La psychose comme une entité et / ou de la structure
Le terme «psychose» a été utilisé d’abord par un médecin autrichien, le baron von Ernst Feuchtersleben en 1845 comme une alternative à la folie termes et de manie. Elle découle de la psyché grecque (l’esprit) et osis (état pathologique ou anormale). C’est le psychiatre allemand Emil Kraepelin qui ont jeté les bases d’une séparation claire entre les troubles psychotiques et disorders.Later neuropathique, Sigmund Freud a repris la séparation entre la psychose et la névrose dans son système de psychopathologie.Eugène Minkowski a parlé de psychose à un angle phénoménologique Ey sous celui de organodynamisme, etc. Jean Bergeret a été l’un des ceux qui ont défini la psychose comme une structure (voir la structure en psychopathologie) regroupant notamment la schizophrénie, paranoïa, psychose maniaco-dépressive, etc. Dans une approche structurée à la psychopathologie.
Psychanalyse et psychose (brièvement) … Psychanalytique de traitement: Est-ce la psychose d’une série de lacunes à la place de l’endroit (s) de l’autre (s). … Manquant de l’intégration symbolique. Cette plainte, qui se lit dans le même corps, le cœur du problème … et le psychisme de la psychanalyse est de résoudre cette lecture à elle dans une lente (pour permettre le sujet) d’établir, restaurer, faire la navette. Et aussi est une réappropriation du «je», non loin de l’interaction de la langue.
Classifications
La classification du DSM-4-TR comprend psychoses sous la rubrique «schizophrénie et autres troubles psychotiques‘ et dans ‘l’humeur’.Il comprend la ‘schizophrénie’ et ‘trouble schizophréniforme», le «trouble bipolaire», le «trouble délirant» (anciennement délire paranoïde chronique), le «trouble psychotique bref’ (anciennement considéré comme la douleur délire sans progression vers une maladie chronique), le ‘ troubles psychotiques secondaires »(toxiques, affection médicale générale) et enfin« trouble psychotique non spécifié ‘, dans lequel on retrouve notamment certaines formes de psychose puerpérale.