Troubles personnalité
En France, nous décrivons les personnalités pathologiques en fonction de la maladie à laquelle ils ressemblent, ils imitent dans un mineur ou qu’elles sont implicitement appui sur le terrain. Ces classifications utilisent différents jeux de caractères qui cherchent à définir un groupe particulier d’individus dont la personnalité profil est observée avec une fréquence élevée.
Psychologie troubles de la personnalité
- Cluster A : Les personnalités excentriques et bizarres
- Cluster B : personnalités dramatiques et émotionnelles
- Cluster C : personnalités anxieuses et peureuses
La double personnalité
Le terme de schizophrénie ou la double personnalité regroupe de manière générique un ensemble d’affections psycho-cérébrales présentant un noyau commun, mais dite différentes quant à leur présentation et leur évolution. On utilise le pluriel pour désigner ces schizophrénies.
Personnalité sensitive
La personnalité terme peut être défini comme la synthèse des éléments qui constituent la santé psychologique et mentale d’un individu. Cet ensemble d’éléments contribue à l’organisation, la conformation d’une personne handicapée mentale de donner une expression particulière, la physionomie.
Trouble de l’identité et confusion des images personnelles: la personnalité borderline
La personnalité peut se définir comme un ensemble d’actions et de réactions à l’environnement qui sont guidées par un système personnel de croyances concernant soi-même, le monde et l’avenir. C’est notre personnalité qui nous garantit notre identité, qui nous vaut le « ça, c’est bien vous » saluant une phrase familière, un geste mille fois répété ou une action que chacun attendait.
Les troubles de la personnalité
Les troubles de personnalité sont des types de comportements persistants et inadaptés, se manifestant dans les contextes sociaux, professionnels et personnels. Classiquement, on distinguait les personnalités psychotiques,personnalités névrotiques et borderline.
Les personnalités pathologiques
Il est accompagné d’une vision pessimiste du monde et de soi, manque d’intérêt. La dévaluation est commun: le patient se plaint de ne pas avoir assez de volonté, tandis que le second est précisément inhibée par sa maladie. Le dépressif se sent coupable et inutile, et a souvent du mal à prendre des décisions.