Troubles des conduites alimentaires
En France, nous décrivons les personnalités pathologiques en fonction de la maladie à laquelle ils ressemblent, ils imitent dans un mineur ou qu’elles sont implicitement appui sur le terrain.
Ces classifications utiliser différents jeux de caractères qui cherchent à définir un groupe particulier d’individus dont la personnalité profil est observée avec une fréquence élevée.
C’est une personnalité qui se distingue de la paranoïa pathologique. La paranoïa n’est pas systématisé déficit délires chroniques dans le mécanisme d’interprétation, il appartient à la sphère de la psychose, ce qui n’est pas le cas de la personnalité paranoïaque.
Le plus paranoïaque et délirant jamais les individus deviennent par leurs difficultés sociales et relationnelles sans aller voir le médecin tout simplement intimider leurs obligations familiales et professionnelles.
Pour de nombreux psychiatres, la pathologie de la personnalité schizoïde montre un graphique et une prédisposition à la psychose schizophrénique. Pour d’autres, il est déjà une forme mineure de la psychose.
personnalité schizoïde combine la froideur et la pauvreté affective, l’évitement des relations sociales et les contacts avec l’environnement extérieur, l’isolement, une nonchalance, un en-tête
– Le cabotinage et théâtralité: la femme hystérique cherche à attirer l’attention sur elle.expressions émotionnelles sont dramatisés. L’excitation, l’intensité des réactions émotionnelles sont constantes. La pensée est un rôle imaginaire. La dépendance affective, la puérile, troubles de la sexualité font partie de la table.
personnalité phobique se caractérise par une hyperactivité, l’évitement des situations interpersonnelles (timidité, inhibition, trac), vol vers l’avant et l’hyperactivité.
Il est un moraliste scrupuleux proie à des crises de conscience et la culpabilité. Il est fatigué le matin. Traits anal (Freud) sont à l’ordre, la parcimonie et de l’obstination.
Ils s’élèvent à l’existence de l’instabilité, l’impulsivité et trouble des conduites sans que ces traits sont liés à une structure psychotique ou névrotique de la personnalité ou une maladie mentale.
La cause de trouble mental est inconnue. Les facteurs génétiques et de la famille impliqués ainsi que les facteurs environnementaux (famille séparée, répétées investissement dans les enfants, la famille d’alcoolisme chronique …). Les difficultés de l’adaptation des déséquilibrés et souvent commencer très tôt dans l’enfance, l’entourage a remarqué une instabilité motrice, l’agressivité envers les pairs, les crises, les bagarres, les fugues.
Les troubles émotionnels, couplé avec des défauts de l’attention, rapidement conduire à des problèmes de l’éducation spéciale tandis que l’intelligence est normale.
Le déséquilibre est évident à l’adolescence: fugues, vagabondage, abus de toxiques activité sexuelle anarchique, la délinquance mineure répétitive.
Le (combats vol, la fraude, …) médico-légales sont répétées impulsif, téméraire, indépendamment de l’expérience précédente.
Ce concept se réfère à des patients qui oscillent constamment avec les limites de la névrose et la psychose sans symptômes de névrose être durable et sans décompensation délirante.
Les symptômes sont très variés. La tendance générale à l’impulsivité, l’instabilité, la dépendance, les troubles sexuels et le comportement alimentaire, le comportement de dépendance vis-à-vis le comportement antisocial toxiques sont des constantes. Anxiété, dépression sont fréquents.
Forum Santé Forum Psychologie Nutrition
2) Comment mettre fin à la boulimie liés à la haine de soi?
L’association, une altération de l’estime de soi et les troubles alimentaires est très commun. Mais la conscience de ses problèmes n’est qu’une étape, la première. Il n’est pas toujours suffisante.
Le but de toute psychothérapie est d’apporter des changements dans les attitudes et modes de vie, si elles causent la douleur. Peut-être qu’il devrait aller dans une approche plus ciblée de cette phase: il est à prendre ce qui semble peut-être même que les risques (parler de soi, aller vers les autres, de révéler …).Et peu à peu apprendre à tenir compte de l’affection et l’estime des autres, au lieu de compter uniquement sur ses propres yeux, très auto-critique.
3) Peut-on vaincre son trac?
Le trac est ce qu’on appelle une ‘anxiété de performance’: la personne est à l’aise, sauf quand le public observe pour l’évaluer. Le trac est associé à très inquiétantes manifestations physiques (frapper le cœur, tremblements, etc …) et une diminution de la capacité de se concentrer et à s’exprimer. Pour le vaincre: un peu de détente, un peu de travail psychologique et beaucoup de pratique (oui développement personnel il ya de nombreuses occasions de parler devant le groupe).
4) Pourquoi est parfois honte de lui-même dans l’amour?
La honte est une émotion dans les relations destructrices. Un conseil: ne vous de juger s’il vous plaît, mais pour les autres. L’erreur que nous faisons souvent en réponse à nos propres questions (‘Est-ce que je s’il vous plaît?’) Est de nous rendre les réponses (‘non, sûrement pas!’).
C’est une façon terrible de ne jamais changer, parce que nous ne tiennent pas compte l’opinion des autres, et des expériences, nous sommes enfermés dans nos propres esprits. Pour un changement, il prend un risque qui peut sembler intimidante:à sauter dans l’eau et laisser les autres nous voient à leur façon!
La psychopathologie de formes diverses et variées est présent chez les nourrissons, les adolescents, surtout les filles mais aussi garçons, adultes et personnes âgées. Il peut être connecté à un autre trouble psychiatrique comme la dépression, la psychose (délire d’empoisonnement) ou reflète un fonctionnement limite et / ou de dépendance.
Le traitement de ces troubles sont menées en collaboration entre pédiatre, par exemple, pédopsychiatre ou psychologue pour enfants. Ils comprennent généralement les aspects de la médecine psychothérapeutique, l’éducation (comportements), alimentaires et. Les traitements aussi souvent de mobiliser autour d’eux, famille, conjoint, etc.
Origine
Les troubles de l’alimentation sont une conséquence de divers troubles psychiatriques, souvent inconsciente. Ils se produisent par exemple par une préoccupation tyrannique du poids, ou plutôt une négligence complète du corps ou des attitudes qui ressemblent à des auto-mutilation.They comprennent parfois dimension suicidaire à laquelle le consultant spécialiste doit prendre un soin particulier. Les problèmes psychologiques de ces symptômes doit être évalué et traité en fonction de la victime et de son histoire, son environnement, y compris l’environnement de la petite enfance et les événements déclencheurs des symptômes. La simple présence – ou l’absence – d’un symptôme ou d’une autre ne suffit pas à établir un diagnostic différentiel.