Troubles anxiété
L’anxiété est caractérisée par des sentiments d’appréhension, de tension, l’inquiétude, la terreur face à un risque de nature indéterminée. Il est souvent exprimé par le patient en termes de nervosité ou d’inquiétude. L’anxiété doit être distinguée de la peur de répondre à une situation menaçante réelle.
Les troubles anxieux
L’anxiété est en effet une expérience banale. Qu’ils s’agissent de l’inquiétude éprouvée pour la santé d’un proche, de la peur ressenti avant de s’exposer à une situation difficile, ou au « trac » précédant une épreuve, cette émotion, faite d’anticipation déplaisante, associée à des idées péjoratives et pessimistes, est un phénomène général. Chacun a ressenti, un jour, l’expression somatique : tachycardie, bouche sèche, boule dans la gorge, inconfort gastrique ou intestinal.
Anxiété enfant
Au lieu de frustrer l’enfant et augmenter son stress, les parents doivent plutôt l’encourager à exprimer sa consternation, tout en conservant leur sérénité. Le calme est aussi contagieux que le stress et favorise la concentration. Tout comme l’activité physique. « Le jeu après les devoirs’’: ce principe, universellement partagées. Après une journée de classe, où il était assis pendant des heures, l’enfant a besoin de dépenser pour évacuer son surplus d’énergie. Ainsi sa capacité d’attention ne peut être qu’améliorée. Enfin, si un enfant se montre agité en permanence et il peine à se concentrer et que ce comportement se poursuit, il vaut mieux consulter un pédiatre pour détecter un éventuel trouble d’hyperactivité.
Anxiété, agoraphobie et panique
L’anxiété est un phénomène dont tout un chacun a fait l’expérience dans la vie quotidienne et qui accompagne également de multiple façon beaucoup de troubles psychiques. En psychopathologie, Janet et Freud ont déjà étudié de plus près ce phénomène à la fin du siècle dernier. Depuis le milieu des années 60, il occupe à nouveau la recherche. Cela a conduit à une classification nouvelle et au développement de nouvelles méthodes de traitement du point de vue de l’indication différentielle envisagée dans la perspective du patient.
Le modèle biologique de l’agoraphobie et du trouble panique
C’est au cours d’études commencées en 1959, portant sur l’antidépresseur imipramine pas encore commercialisé à cette époque, que Donald Klein (1962) faisait une observation surprenante : ce médicament ne donnait pas seulement de bons résultats dans le traitement des dépressions graves, mais également lors de la thérapie de troubles anxieux qui ne pouvaient être améliorés ni par des psychothérapies intensives en milieu hospitalier, ni par des traitements sédatifs.
Les troubles bipolaires
Le trouble bipolaire concerne habituellement 1 à 2 % de la population générale. De récentes publications portant sur l’épidémiologie des troubles bipolaires incluant les formes atténuées évaluent de 3,4% à 6,4% leur prévalence sur la vie entière.
Les troubles psychomoteurs
Les troubles psychomoteurs sont des troubles neuro développementaux, qui affectent l’adaptation du sujet dans sa dimension perceptivo motrice.
Les étiologies des troubles psychomoteurs, associent des facteurs génétiques, neurobiologiques et psychosociaux.
Ces troubles, tels qu’ils apparaissent chez l’enfant sont souvent discrets et nécessitent une connaissance approfondies du développement normal, des investigations spécifiques et le recours à l’examen psychomoteur.
Violence morale
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