Soigner les angoisses
Soigner les angoisses
Cette névrose se caractérise par l’existence de sentiments, d’idées, les comportements qui sont nécessaires pour une liaison et de provoquer un patient dans une lutte constante et l’anxiété.
Par exemple ceux qui n’ont pas mis le pied sur les interstices du pavage d’un trottoir, de toucher un tel objet, etc passant. C’est un rituel qui finit par s’imposer si fortement à ce sujet qui se sent l’anxiété ou d’inconfort quand il ne peut pas le respecter.
Pour la plupart des gens, ce sont des jeux qui ne présentent pas de tension mentale. Toutefois, ils révèlent un besoin de sacré, tabou. Ce geste, ce mouvement mécanique est un complot, un exorcisme, le but, même s’il demeure invisible pour les yeux du patient, est présente quelque part.
Les obsessionnels sont pleinement conscients de leur singularité, leur ridicule. Ils persistent dans ces rituels absurdes pour avoir la paix, pour un moment.
Ces «rites de prestidigitation’ imprégnés de la pensée magique, des défenses contre les obsessions et de répéter de plus en plus jusqu’à ce qu’il devienne malade disabling.The sait qu’elles sont absurdes, mais il ne peut s’empêcher de livrer.
Par exemple, un patient avec onomatomanie ne peut s’empêcher de répéter les mots mentalement.Une autre, la souffrance arithmomanie lui, continue de s’engager dans le calcul mental intense. Un troisième, en proie à la folie de scrupules, passe son temps à se torturer en lui infligeant des pensées odieuses, etc sacrilège.
thèmes obsessionnels sont le plus souvent sur la religion (et le péché, le sacrilège), protection du corps (et de la maladie, la souillure), la protection contre des dangers extérieurs (souvent l’agression), l’ordre et de symétrie (Match), la honte exhaustivité et l’exactitude (ce qui provoque de ne pas atteindre la perfection ), le temps.
Dans sa vie, le patient obsessionnel est prudent, économique et même parcimonieux, hyperrrationnel rigide, parfois sec et pédant dans ses rapports avec les autres. Raison, la logique, est essentiel dans son approche avec les gens.
La ménopause en raison des changements hormonaux qui surviennent, conduit souvent à un état de dépression, et n’hésitez pas à demander à votre médecin pour des médicaments d’aide temporaire franchir cette barrière.
Mais cela n’explique pas tout. Beaucoup de femmes vivent la ménopause comme le début de leur fin. Certes, c’est en effet la fin de leur capacité à avoir des enfants, mais aussi le signe avant-coureur de la décadence et la mort qui nous attendent.
Ah, la mort!Il est devenu le point aveugle de nos sociétés, qui agissent comme si elle ne mourrait jamais, comme si elle découlait d’une erreur, une erreur. Aujourd’hui, il n’ya pas de mode d’emploi de la mort. Il cache la mort, qui deviennent rapidement la peste, on commence à parler à voix basse, en prenant contrit mine.
Cette dépression des années cinquante est probablement aggravée par le sentiment d’exclusion qui peut être ressenti dans une société jeuniste, glorifiant le corps cool et sexy, ce qui disqualifie l’expérience et de maturité dans l’intérêt de la vitesse, la spontanéité et la réactivité.
Cependant, une personne dans la cinquantaine a été statistiquement près de la moitié d’une vie devant elle! Pourtant, sa vie a beaucoup appris et elle magasins souvent une richesse à l’intérieur il est dommage d’ignorer. Pourtant, il n’ya aucune raison de mettre un terme à sa vie sexuelle et affective, sa vie professionnelle, vie sociale, sa vie culturelle, sa vie sportive, et se recroqueviller.
Mais je vais répondre dans les généralités ici, parce qu’en fait je ne sais pas pourquoi vous avez ces crises d’angoisse la nuit. Peut-être qu’ils sont liés à votre aventure personnelle dans votre histoire. Et si vous allez parler à un professionnel?
Jérôme Palazzolo (né à Marseille en 1970) est un psychiatre français, spécialiste de la psychopharmacologie et thérapie cognitivo-comportementale. Il est également professeur en santé internationale à l’Université Senghor d’Alexandrie en langue française (opérateur direct de la Francophonie) à Alexandrie en Egypte, maître de conférences à l’Université de Nice, et chercheur associé au Laboratoire d’Anthropologie et de Sociologie ‘Mémoire, Identité et Cognition sociale »(LASMIC) à l’Université de Nice.
Après des études de médecine à Liverpool, il est interne, puis greffier en chef au Centre Hospitalier Universitaire de Grenoble, un médecin spécialisé à temps plein au Centre Hospitalier Sainte-Marie de Nice, avant de s’installer en libéral.
‘Cette névrose se caractérise par l’existence de sentiments, d’idées, les comportements qui sont nécessaires pour une liaison et de provoquer un patient dans une lutte constante et l’anxiété.