Psychologie psychopathologie
Psychologie et Psychopathologie:
Psychologie est un mot composé du psukhê (grec) qui est l’âme et du logos (grec) qui est la parole. La psychologie est l’étude scientifique des phénomènes psychiques et la connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements d’autrui et de sa famille, tous les moyens de penser, de sentir et d’agir qui caractérisent une personne, des animaux, groupement d’individus en interactions.
La psychologie est divisée en plusieurs branches d’études, les disciplines de la psychologie approchent sur le terrain sur les deux aspects d’application théoriques et pratiques avec des produits thérapeutiques, sociales et parfois politiques ou théologiques. La psychologie vise à étudier la psyché en termes de structure et de fonctionnement. Elle cherche donc à décrire, évaluer et expliquer les processus mentaux dans l’ ensemble en tenant compte des expressions de la subjectivité.
Cette étude se concentre sur les fonctions végétatives (psychophysiologie), de la fonction de sensation (perception, motivation, motricité), de la fonction l’intellect ou de la pensée (psychologie cognitive). Mais la psychologie n’est pas seulement une étude des fonctions de l’esprit, c’est aussi une approche de la subjectivité, une enquête d’une vérité dans l’individualité et la personnalité d’un sujet. L’esprit n’est pas seulement un lieu de combinaison ou en association, il nous est définit comme étant capable de penser de lui-même devant le monde et ce grâce à l’abstraction (c’est bien là que réside la différence avec l’animal).
Et les approches de cette question extrêmement complexe, sont traditionnellement partagées entre ceux qui considèrent que l’objet de la psychologie est le comportement et sa genèse avec les processus de pensée, les émotions et le caractère ou ceux considérant que l’objet de la psychologie est plutôt la personnalité de l’Homme et ses relations, etc.
Les diverses branches de la psychologie se distinguent soit par la méthode utilisée (clinique ou expérimentale) ou par les activités humaines considérée (travail, mémoire, perception, l’apprentissage, les soins, le comportement du groupe, etc.) Ou par le principal domaine d’enquête (psychologie cognitive, la psychopathologie, la psychologie sociale, psychologie de l’enfant et le développement, psychophysiologie, psychologie animale). Certaines disciplines de la psychologie sont combinées avec d’autres, ou dans des domaines connexes ou sous-domaines d’un grand domaine d’études. Ils sont souvent soumis à d’énormes problèmes épistémologiques, telles que la psychologie, la psychologie du développement et de la psychopathologie, etc. En effet, il est difficile de dire par exemple ce qui est ou n’est pas de la maladie en général et donc encore plus difficile d’identifier la pathologie de l’esprit, le disfonctionnement de la personnalité …
Psychopathologie
La psychopathologie est l’étude rationnelle des troubles mentaux ou psychologiques. Ce mot est aussi dérivé de la racine grecque signifiant âme (psukhê) et sens de la maladie (pathos). La psychopathologie est l’objet d’étude de la psychologie clinique et de la psychiatrie, elle est enseignée dans les universités et les cliniques. En France, la vision structurelle (structure psychopathologie) développée par le courant du psychanalyste Jean Bergeret a influencé et influence encore cette discipline, surtout dans les facultés de psychologie.
La question de la normale et / ou du pathologique
La conduite d’un juge en termes de normalité ou d’anomalie doit se référer à un jugement normatif. Toutefois, la notion de norme renvoie à la moyenne. Toutefois, celui-ci est discutable. Georges Canguilhem propose de substituer la notion de normativité de la norme et la notion d’ordre par la notion de valeur. Car, il est avant tout de la vie qui est en fait un concept de valeur. Nous ne pouvons pas soulever la question de la normalité ou d’anomalie (anormalité) indépendamment des normes sociales ou individuelles. La psychopathologie identifie trois types de normalité: la normalité comme norme sociale, la normalité comme idéal, la normalité comme absence de maladie.
La propre de la psychopathologie est l’étude de ces manifestations du comportement qui sont marquées comme des anomalies, d’en identifier l’origine, en préciser la fonction et d’en clarifier les mécanismes.
La définition suivante permet de résoudre le dilemme de la question sans fin de la relativité des normes: «La psychopathologie peut être définie comme une approche raisonnée pour la compréhension de la souffrance mentale. » (René Roussillon et al Dans le Guide, 2007.).
Les thérapies comportementales
Elles appliquent les données de la psychologie expérimentale, en particulier les théories de l’apprentissage en psychothérapie. L’idée principale qui sous-tend la thérapie comportementale c’est que les comportements psychopathologiques sont acquis sur la base des interactions entre l’individu et son environnement. Ainsi, l’analyse des méthodes d’acquisition et de maintenance de ces comportements peut proposer des méthodes thérapeutiques pour restaurer une relation positive entre l’individu et son environnement.
Les applications principales sont le traitement des phobies, des obsessions-compulsions, la dysfonction sexuelle (thérapie sexuelle), de la dépression. La médecine comportementale a permis de définir le cadre de biofeedback (ou biofeedback) qui permet une auto progressive rétablissement des fonctions physiologiques perturbées.
Psychologie – Médecine psychosomatique
La psychiatrie est la branche de la médecine qui décrit et traite les maladies mentales. Psychologie médicale, elle tente de comprendre la psyché humaine de la maladie. Le champ de cette discipline est donc plus large et différent à la fois. La psychopathologie est l’étude du comportement anormal de l’esprit humain. En tant que tel, elle est une partie de la psychologie médicale et une partie de la psychiatrie.
La médecine psychosomatique
L’accord est loin d’être réalisé sur la définition de la médecine psychosomatique. Dans son sens le plus strict, c’est l’étude des processus psychologiques qui commence à se rendre au somatiques, autrement quand l’organe concernés ne présente aucune anomalie organique, cependant son fonctionnement ou plutôt sa fonction est atteinte. D’une certaine manière, les maladies psychosomatiques sont organiques dont l’origine est psychologique. Les maladies psychosomatiques et les plaintes somatiques sont que le début et de la progression qui peut être attribuée en partie à l’inconscient et de troubles mentaux. Il s’agit principalement de l’asthme, l’eczéma, la rectocolite hémorragique, certains d’hypertension artérielle. Les causes de ces maladies sont variées, mais à chaque fois, un facteur psychologique, entre autres, peut être incriminé.