Peurs
Peurs
phobies Attention! Méfiez-vous des maladies d’été phobies en psychologie
Phobie (du grec «phobos», la peur) est une crainte angoissante déclenchée par un objet ou une situation pas en soi une objectivement dangereux, l’anxiété disparaît en l’absence de l’objet ou la situation.
Une phobie est essentiellement un système de défense de sélection: l’adversité est enfermé dans un seul objet, même si, en vertu de la loi naturelle, elle s’accumule jusqu’à ce qu’elle devienne explosive.
Dans les phobies, la potentialité d’être maudit atteint parfois des paroxysmes: serpents, souris, araignées, les guêpes peuvent déclencher chez ceux qui ont été «élus» les peurs qui les conduirait à se jeter dans le vide.
Ils doivent leur force chez les adultes, leur maison d’enfance. Les êtres humains passent leur vie à mettre à jour leurs vieilles peurs. Il est rare qu’il a conjuré tous.
Pour les psychanalystes, la phobie représente un conflit inconscient afin d’éviter l’anxiété liée à la maison pulsion sexuelle, le conflit s’est déplacé à une source extérieure sans rapport avec lui et les phobies sont étroitement liés aux inhibitions sexuelles.
Phobies que les symptômes sont très fréquents et peuvent être vus dans de nombreux troubles psychiatriques comme transitoire. Certaines phobies sont également considérées comme normales (vertiges, nervosité …).
Certains définissent une phobie comme une peur sans objet. Cependant il est parfois difficile de tracer la ligne entre l’anxiété «normale» dans une situation phobique et une crainte pathologique dans la même situation. Tous les niveaux entre celui qui va dominer son arrestation et celle qui devra changer ou adapter leur vie pour éviter une telle situation.
l’agoraphobie (peur des espaces vides et expansés ou non de la foule), la claustrophobie (peur des espaces clos et étroit), les phobies des moyens de transport, les phobies d’impulsion (peur contre sa volonté d’accomplir des actes agressifs ou dangereux peur de le jeter par la fenêtre («j’ai peur d’avoir envie de sauter dans le vide’), la phobie des instruments tranchants, les armes …
L’essence de l’agoraphobie est la peur d’être seul ou dans un lieu où le sujet ne pouvait pas échapper ou être secourus sans difficulté s’il venait à ressentir une incapacité soudaine. Ce n’est pas la peur spécifique de certains lieux ou situations. Les activités normales sont progressivement réduites alors que la peur de la peur et les comportements d’évitement qui en résultent dominent la vie de l’individu.
Souvent, les sujets (les jeunes femmes dans les deux tiers des cas) exiger d’être accompagné au moment de quitter leur foyer ou leur demander d’appliquer ces systèmes de se rassurer quand ils sont obligés d’affronter des situations redoutées.
Parmi eux, le plus souvent d’éviter les foules, les rues ou les magasins fréquentés, les transports publics, tunnels, ponts, ascenseurs …
Ces situations phobiques sont généralement nombreuses et ont souvent tendance à se multiplier en vue de conduire à la nécessité de confinement ou de dépendance extrême vis-à-vis de l’environnement immédiat.
Cette méthode d’installation des symptômes est variable et peut être d’apparition soudaine et rapide aggravation dans le sillage des attaques de panique en succession rapide conduisant à la formation d’un comportement d’évitement.
L’agoraphobie est souvent associée à un trouble panique (trouble panique ‘avec ou sans agoraphobie) ou isolés sans aucun antécédent de trouble panique.
Ils sont opposés à l’agoraphobie. Il s’agit d’une peur spécifique, l’isolement, irrationnel, combiné avec le désir d’éviter la situation ou l’objet causant la peur. Objets ‘phobie’ sont souvent des animaux ou des objets de situations potentiellement dangereuses sont souvent phobiques hauts lieux ou fermé.
Ils sont constitués par l’existence d’une peur persistante et irrationnelle d’un désir d’éviter les situations dans lesquelles la personne peut être exposée à l’observation des autres. À associés que cette crainte de se comporter d’une manière humiliante ou embarrassante.
anxiété d’anticipation se produit si l’individu est confronté à la nécessité d’affronter une telle situation, il voudrait éviter.
Relativement fréquente dans une forme mineure, ils sont parfois débilitantes socialement et professionnellement. Le début est généralement progressive et sans précipitation cause de l’évolution est marquée par l’accent mis progressivement après la puberté, une sensibilité sociale. Il décrit les différents types de phobie sociale: peur de parler en public (le trac), de manger ou de boire en public, écrit en face des autres, peur de rougir en public (éreuthophobie) …
Lorsque la phobie n’est pas très intense, et que le comportement d’évitement peut être utilisée sans trop d’ingérence de la vie quotidienne, il est probablement préférable de ne pas: cela dépend de la souffrance du sujet et de son application.
Lorsque la phobie envahit la vie quotidienne, et empêche le patient dans sa vie quotidienne ou la vie sociale, alors il est préférable de traiter.Les médicaments qui sont recommandés des anxiolytiques et des antidépresseurs (agoraphobie), mais les traitements non médicamenteux sont importantes: la psychothérapie ou la psychanalyse, thérapie comportementale ou cognitive, la relaxation, le déballage …
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Un sondage exclusif pour nous Psychologies sur nos peurs. Que font-ils? Près de la moitié d’entre nous craignent pour le bonheur futur de ses enfants. Dans un monde instable, battues par les crises économique et écologique, l’avenir est plus que jamais une source d’anxiété. Pour apaiser les craintes, la première étape essentielle est de les nommer et de comprendre leurs causes profondes. Décryptages – rassurant – Expert.
Anne-Laure Gannac
Sondage réalisé les 8 et 9 Juin 2009 sur un échantillon représentatif de mille personnes âgées de 18 ans et plus, interrogées à leur domicile par le methodquotas, stratification par région et catégorie d’agglomération. Les craintes dix a été préparé par Psychologies, en collaboration avec la TNS-Sofres.
Nos enfants sont malheureux
45% des Français ont peur que leurs enfants ne sont pas heureux. Première cité la peur, il a atteint 53% chez les 50-64 ans, et 49% chez les 25-34 ans et 35-49 ans.
Maladie
39% ont peur de la maladie.Cette préoccupation concerne principalement les groupes d’âge les plus élevés: il touche 54% de ces 65 ans et plus, et 48% des 50-64 ans. Au contraire, les 25-34 ans seulement 20% à évoquer.
La dégradation de l’environnement
38% ont peur de la dégradation de l’environnement. Cette crainte vient au premier rang des 25-34 ans (53%) et la deuxième chez les 18-24 ans (56%), alors qu’il ne touche que 24% de celles âgées de 65 ans et plus. En cet âge, c’est la peur de la vieillesse qui arrive en troisième position (38%).
Chômage
38% ont peur du chômage. Une crainte particulièrement forte chez les 18-24 ans qui sont 57% à l’évoquer, et parmi les 25-34 ans (48%). Les 35-49 ans lui donner la deuxième place (47%).
Manque d’argent
34% craignent un manque d’argent. Comme la peur du chômage est plus élevé chez les jeunes: il est connu par 45% des 18-24 ans et 44% des 25-34 ans.
Les cinq autres craintes mentionnées:
– La peur de l’insécurité de 31% (34% des personnes de 65 ans et plus).
– 19%, la détérioration des conditions de travail (29% des 25-34 ans).
– 19% de la vieillesse (38% des personnes de 65 ans et plus).
– 7%, de la solitude (20% des personnes de 65 ans et plus).
– 3%, le divorce, de séparation (7% des 25-34 ans).
«Notre société insiste sur l’importance de prendre soin des enfants, dit le philosophe Michel Marzano, auteur de Faces of Fear (PUF, 2009). Cette pression est encore aggravée par le fait d’avoir un enfant est maintenant attribué à la seule volonté des adultes est ‘un enfant si je veux quand je veux.’ D’où une plus grande responsabilité pour eux. Et aussi, pour le philosophe, parce que «vous ne pouvez pas’ contrôler ‘le bonheur d’un autre.’
Le psychanalyste et thérapeute familial Serge Hefez, auteur de Quand la famille s’emmêle (Hachette Littératures, «Pluriel», 2007), explique cette crainte par le fait que ‘les sentiments de la famille s’axe sur aujourd’hui, car être bon d’ensemble … Dans ce miroir rapport, les enfants sont devenus le baromètre du bonheur de leurs parents. Pourvu que l’adolescent a été hésitante au cours des études, il veut faire ses parents se sentent menacés. En fait, en disant qu’ils craignent pour l’avenir de leurs enfants, les adultes sont seulement exprimer leurs inquiétudes vis-à-vis de leur propre avenir. ‘
Les inquiétudes parmi les plus significatives, que le mal. Une peur universelle et intemporelle. Selon Thierry Janssen, médecin et psychothérapeute, auteur de La maladie a un sens?(Fayard, 2008), «nous avons peur parce qu’on a peur de la mort.’ Mais ce qui est spécifique à notre culture occidentale contemporaine, est un désir hédoniste, un désir d’échapper à la souffrance, une tendance à l’anesthésie, le souci de trouver des moyens de se noyer faire oublier notre vulnérabilité. Cette recherche de l’hédonisme semble beaucoup plus facile à remplir que technologique innovations peuvent souvent répondre. Dans ces conditions, la maladie est une perturbation de la plus redoutable et redouté. ‘
Une autre explication, avancée par le neuropsychiatre David Servan-Schreiber, auteur d’Anticancer (Pocket, ‘Evolution’, 2009): «La maladie nous fait peur parce que nous pensons que nous n’avons pas de contrôle sur elle Toutefois, Istruggling juste pour comprendre que c’est un faux. sentiment d’impuissance: nous pouvons faire beaucoup plus et la maladie pourprévenir lutter contre elle, prendre soin de nous, de notre alimentation, de la planète, ses ressources … ‘
Par conséquent, il est important de développer chez nos enfants la confiance en soi, la sérénité, l’indépendance plutôt que d’un état de peur et de la dépendance ….
D’un point de vue neurologique, il s’agit essentiellement d’une activation de l’amygdale (tous les noyaux dans les lobes temporaux). L’activation de l’amygdale est généralement un sentiment de danger imminent. Elle peut conduire à une inhibition de la pensée et prépare l’individu à fuir ou à se défendre.
Peur de l’inconnu, la timidité et le ‘trac’
La peur de l’inconnu est un phénomène observé dans de nombreux animaux éthologiques évolué et il est une source de prudence.
Chez les humains, elle peut être individuelle ou collective. Il s’agit d’une crainte d’un danger hypothétique. Il semble que le visage de destinations prévues ou des circonstances inconnues. La peur de la mort, ou dans l’obscurité, car rien ne peut être fait, ainsi que la crainte d’un changement ou quelque chose de nouveau.
un étranger, un entretien d’embauche, conférence, spectacle, concert ou exploit sportif pour donner devant des spectateurs nombreux juges ou inconnus, etc …, ces situations sont de définir plus communément sous le nom de «peur», liée à la peur d’échouer ou de ridicule)
(Tous les joueurs ont une certaine nervosité avant d’aller devant le public, ainsi que quelques autres carrières dans l’enseignement de leur visage étudiants, vis à vis des patients médicaux, les commerçants à leurs clients, ou tout aussi dangereux les occupations militaires, cette peur s’estompe avec l’habitude.)
Cette crainte peut être plus personnel, ce qui reflète une certaine «timidité», selon son degré d’émotion, face à une ou plusieurs personnes, ou des gens qui impressionnent par leur statut ou leur lien à l’admiration (par exemple devant une idole, ou une personne du sexe opposé ), entraînant parfois dans une situation embarrassante en outre, par des rougeurs.
La peur semble naturelle et universelle. C’est sa gestion et son intensité qui peut devenir problématique. Le groupe, solidarité, social, d’apprentissage, de la famille, la tribu peuvent contribuer à la confiance en soi et sentiment de sécurité, et bien loin de la peur. systèmes de castes religion, les hiérarchies,, certaines sectes et des groupes politiques … fondée sur la peur de l’inconnu et de la mort de renforcer leur pouvoir ou fonctions.
manifestations physiologiques
Chez l’homme elle peut se manifester par des tremblements, augmentation du rythme cardiaque, ouvrant les yeux et une perturbation du rythme respiratoire. Ces symptômes sont principalement dus à la sécrétion d’adrénaline, la principale hormone de la peur.
La peur peut aussi provoquer une paralysie temporaire partielle et parfois complète, à une perte de conscience. Il est également prouvé que la peur peut provoquer une grave perte de cheveux pigmentés laissant les cheveux apparaissent en blanc, comme c’était le cas pour Marie-Antoinette d’Autriche, et un léger changement de couleur de la peau ce qui explique probablement l’expression ‘être blanc (ou vert ) de la peur. ‘ Ils disent aussi que la peur provoque horripilation des poils, plus prosaïquement appelé la chair de poule.
Dans les cas extrêmes, la peur peut également vous détendre les muscles pelviens, provoquant l’évacuation de l’urine, et parfois même fécale. Certaines expressions populaires décrire ce phénomène.
Enfin, la peur provoque chez l’homme comme dans la plupart des mammifères, une hormone puissante qui peut conduire à la libération par la peau d’une odeur forte et une hyperactivité de la sueur, la création de ce qu’on appelle la «transpiration».
– Charles Darwin, L’Expression des émotions chez l’homme et les animaux
Thesaurus
Nous pouvons trouver des synonymes des mots exprimant un concept plus ou moins proches: l’appréhension, la peur, l’inquiétude, l’anxiété, la peur, la terreur, l’effroi, la terreur, la terreur, la panique, peur, peur, peur, la timidité, l’émotivité, les pieds froids, la phobie, paranoïa , sentiment rampant
– Un article de journal du CNRS sur les neurones de la peur: https://lejournal.cnrs.fr/
– Une entrevue avec Anne Bacus, psychothérapeute et auteur de ‘I’m Not Scared’, un livre sur la peur chez les enfants, sur le site web: 12bacus.shtml http://www.linternaute.com/femmes/itvw/05/
L’approbation et le plaisir de sensations liées à la peur
en particulier lorsqu’ils sont liés à des sensations d’accélération, horizontal, vertical et en particulier, ce dernier étant le plus insolite de poussée étant levé, et encore plus ‘tomber’ et perte d’équilibre vers le bas, formant un ‘temps d’antenne’.
dans le corps produisant une réaction chimique de l’adrénaline, de plus agréable, ce qui explique l’attrait de nombreuses personnes, en particulier les jeunes de tous ces effets de Voyage:
parcs d’attraction parc des expositions,, des manèges et autres possibilités d’adrénaline, de plus en plus développés par le biais de nouvelles inventions ou des sports créé à cet effet, notamment au cours des 30 dernières années.