Mensonge
Mensonge
L’hallucination est un trouble psychiatrique de la perception, qui s’impose à la conscience du patient, qui est accompagné par une conviction inébranlable, qui est difficile étant donné le médecin en raison d’une réticence du patient.
Neurologie chez le patient qui a des hallucinations et la perception sensorielle de la personnalité et la structure mentale normale: il a une attitude critique, il a été surpris ou se plaignent spontanément de ses hallucinations.
En psychiatrie, cependant, hallucination appartient au domaine de la croyance inébranlable que l’illusion défie toute logique et toute attitude critique.
Psychose hallucinatoire chronique chez l’homme commence entre 30 et 40 ans plus tard chez les femmes vers 50 ans. Dans les mois précédant, il ya souvent un événement déclencheur: difficultés professionnelles, économiques, maladie, divorce, deuil …
Le mensonge et la preuve
‘Lorsque la personne est confrontée à un événement qui l’a amené à témoigner, il sélectionne, construit ou reconstruit les différents éléments de la scène comme il les stocke dans la mémoire», disent les psychologues sociaux Alain Bertone, Marc Melen, Jacques Py et Alain Somat dans Témoins sous influences.Par rapport à la réalité, ce que le témoin sera véridique et certifie été involontairement modifié, remanié, simplifié pour le rendre plus cohérent et plus acceptable.
Dans les cultures juive et chrétienne, le faux témoignage est interdit par le Décalogue. Ce type de mensonge a des circonstances très aggravantes, comme c’est le cas au tribunal et après avoir prêté serment de dire la vérité! Religion, morale et le droit convenu ici de reconnaître que tous les citoyens requis par un juge légitime est obligé en conscience de dire la vérité quand il est nécessaire de rendre un témoignage à la justice.
Les hallucinations psychiques ou pseudo-délires
Se distingue facilement de l’illusion de l’hallucination, qui est une perception déformée d’un objet réel, et l’interprétation, qui est une erreur de jugement sur les perceptions exactes.
fabulation est une production imaginaire de l’esprit, des mots ou des actions (par exemple) ne sont pas adaptées à la situation (le fait). Il est de mauvaise foi, parce que le conteur veut tromper.
La mythomanie est une altération de la vérité, mais le menteur pathologique nie la vérité, il utilise le mensonge et la mauvaise foi de tromper les autres et donner une image positive de lui-même.
Nous avons le droit et le devoir de mentir, dit l’éthologue de renom dans un dialogue surprenant mais convaincant avec l’écrivain Marie Solemne.
Notre époque voit une obligation d’élaborer naturel, l’authenticité, la transparence et la vérité. Dans la vie intime et privée, comme dans le arena.A «diktat» du public que l’écrivain voulait Mary Solemne étudié dans un différent et original, celui de notre relation à mentir dans son dernier livre: La sincérité du mensonge (Dervy).
Pourquoi avons-nous mentir? Qui? Sans le mensonge, la vie en société serait-elle possible? Sommes-nous encore assez forte pour résister à cette «franchise» qui est toujours poser la question?
Ces questions que posait l’auteur successivement à quatre chiffres. Et le résultat est étonnant. Tous sont d’accord: loin d’être un défaut terrible, le mensonge, dans de nombreux cas, de toute utilisation réelle. La condamnation sans réserve de l’obscurantisme est plus que l’angélique! ‘Avant la Gestapo devant le juge mal, le mensonge est un devoir’, a déclaré Paul Lombard, avocat à la Cour. ‘Certains mensonges sont certainement pas nécessaire, cependant, il est avantageux», explique André Bercoff, journaliste et écrivain, familier avec la politique internationale. «Quoi d’étonnant réside dans sa motivation est.Si cette peur, si elle est la nécessité de masquer les faiblesses d’autres, de ne pas blesser … pourquoi ne pas mentir? ‘Père Christian Delorme questions, un prêtre catholique engagé auprès des jeunes des banlieues sensibles. La position de l’ethnologue et psychiatre Boris Cyrulnik est tout aussi surprenant et innovant. Pour lui, le mensonge est une preuve de respect des autres et les moyens de préserver ses propres la dignité dans une société qui est devenue très exigeante. Il ne glorifie pas le mensonge mais il situe et précise son rôle dans l’évolution de l’homme. Extrait.
Boris Cyrulnik est un psychiatre, il dirige un groupe de recherche sur l’éthologie clinique à l’hôpital de Toulon et de l’éthologie humaine enseigne à l’Université du Var. Il a écrit plusieurs ouvrages dont: L’enchantement du monde (Hachette, 1997)
Culpabilité, honte, et surtout la peur sont souvent des motifs de mentir, mais il a fourni, dans certaines circonstances, un droit de mentir ou, plus important encore, un droit de mentir? Boris Cyrulnik: D’emblée, vous me demandez qui je veux! Oui, bien sûr, il ya une obligation de mentir, c’était une preuve d’empathie. Le mensonge est certainement ‘la’ virtuosité intellectuelle humaine.Le mensonge est sachant que d’un seul mot, un scénario, un mime, un sourire, la posture, je peux changer les représentations de l’autre et entrer dans son monde intérieur. Il s’agit d’une performance extrême intellectuelle qui m’oblige menteur, je peux représenter d’autres représentations. Pour ce faire, il faut non seulement que je suis très intelligent, mais je suis surtout respectueux des autres. Pervers, les psychotiques ne mentent pas, car ils se moquent des autres. Le pervers a dit ce qu’il pense et si ça fait mal, trop mal, peu importe, comme le psychotique, dans tous les sens, pour lui, l’autre n’existe pas, il dit ce qu’il pense, sans poser une question. En résumé, chez le psychotique, il n’ya pas de représentations de l’une de l’autre et le pervers, il n’y a aucun respect de l’autre mensonge representations.And est de se respecter les uns les autres. […] D’autre part, vous avez utilisé le mot «honte». Il est vrai que très souvent le motif du mensonge est la protection. Si ma vie est en jeu, juste que je me taise pour protéger […] J’ai donc aussi un droit de mentir pour me protéger (c’est de la légitime défense). en manipulant les représentations de l’autre afin de se conformer à mes désirs.
Le mensonge est la déclaration volontaire d’un fait contraire à la vérité ou la dissimulation de la vérité (dans ce dernier cas on parle spécifiquement du mensonge par omission).Il ne doit pas être confondue avec la vérité-contre, qui est tout simplement une déclaration inexacte, sans préjudice du fait que son auteur le sache ou not.Lying est une forme de manipulation qui vise à suggérer ou faire faire à l’autre, il serait pas cru ou fait, s’il avait su la vérité. En général, le mensonge est opposée à la vérité (le fait de dire la vérité), la sincérité ou franchise.
Plus précisément, le mensonge est-à-dire le contraire de sa pensée avec l’intention de tromper. L’intention de tromper peut distinguer trouve d’autres utilisations discours faux, fait pour divertir ou pure rhétorique processus (comme dans le cas de l’euphémisme). En tant que tel, il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition philosophique et morale religieuse, même si certains types de mensonges sont légitimées par certains philosophes -. Tels que Benjamin Constant dans son célèbre débat avec Emmanuel Kant ‘droit de mentir Ainsi, certains mensonges sont punis par la loi, comme la contrefaçon, non-exécution des contrats dans le commerce, ou fausse déclaration en cour.
Général
L’opposition est une vérité commune et de la vérité falsehood.The est une notion difficile à définir en termes absolus, la notion de mensonge est elle-même incertaine.La vérité dis, c’est pas bon de dire également fait référence à l’idée que, peut-être, la vérité n’est pas bonne à entendre et crée ainsi un mensonge bien, au moins par omission.
Problème réside joyeuse
Ce n’est certainement pas inspirée par le motif de causer un dommage, et que distraire et divertir pendant un moment semble tout à fait légitime. La frontière est parfois ténue entre plaisanteries de bonne qualité et joyeux mensonge lui-même, entre la «blague» et «farce».
Bien qu’il soit inoffensif dans son objectif, la farce est parfois offensante. Si tous n’admettent pas d’être victimes, il suggère que ce n’est pas nécessairement parfait. Si une jeune femme raconte sa famille l’arrivée de son premier enfant pour expliquer alors ce n’est pas tant, son comportement serait considéré non seulement inhabituel, mais franchement malhonnête.
Visible heureux de la lumière, reste une mascarade de la pensée, et – même trivial – sincérité déconcertante. Il est inacceptable si elle conduit au ridicule inappropriée de la dépense où il opère. La farce se termine aussi répétitif et fatigué par ses auteurs finissent par provoquer une réaction de défiance, même quand ils veulent parler sérieusement, la méfiance reflète dans l’expression «crier au loup’.
roman d’Umberto Eco Le Nom de la Rose présente le cas extrême du moine Jorge, opposant Guillaume de Baskerville sur la distinction entre blague gay et un mensonge, que Jorge a refusé d’accepter. En conséquence, Jorge refuse toute forme de rire qu’il considère non-chrétiens, au motif qu’un homme de bien ne doit jamais rire. Guillaume de Baskerville explique qu’il a trouvé sa position trop. Les différends de ce genre étaient monnaie courante dans l’Europe médiévale (voir Disputatio). Selon Jean-François Revel, ils ont contribué progressivement à la naissance de ce que sera la question cartésienne.
Les coutumes populaires font partie de mensonges délibérés, ayant une sortie. Il peut contenir à titre d’exemple Cansoun dei mensònegai (Song de mensonges) occitan connu dans le Piémont.
Islam
Dans l’Islam, le mensonge est un mauvais comportement. le prophète Mohamed a dit: «L’hypocrite possède trois caractéristiques: il ment, il ne tient pas ses promesses et a trahi la confiance» [Rapporté par Al-Bukhari et Muslim]. Toutefois, le mensonge est permis en cas de guerre contre l’ennemi. Le concept de taqiya, en face du martyre chrétien la démonstration d’une foi, est aussi autorisée.