Maltraitance d enfant
Maltraitance des enfants
pédiatre américain et le radiologue Silverman décrit en 1953 dans le cadre de signes radiologiques de fractures négligées de différents âges et chez les jeunes enfants. Par abus de langage, appelé «syndrome de Silverman,’ le syndrome de l’enfant battu.
Les statistiques hospitalières montrent que la maltraitance des enfants représentaient 0,5% des hospitalisations pédiatriques. Selon Deschamps, un enfant de moins de 6 ans dans 150 victimes d’abus chaque année plus ou moins graves, soit 30 000 enfants par an en France …
Les caractéristiques cliniques et sont parmi les nombreuses blessures que possible, nous voyons des ecchymoses et des hématomes de formes diverses et qui rappelle la topographie inhabituelle des boucles de ceinture, des traces d’un fouet, bâton, de ceinture, de poker, des bagues, des griffures ou morsures.
Surtout dans les classes sociales les plus défavorisées sont recrutés la plupart des enfants martyrisés. Le manque de ressources, le chômage, le logement exigu et surpeuplé, le déracinement, l’isolement au sein du groupe social sont souvent trouvés.L’instabilité des relations conjugales, les mères célibataires, les enfants de concubinage avec plusieurs lits successifs, les hospitalisations multiples et les placements d’enfants, les infirmières de la qualité clandestine pauvres, l’alcoolisme chronique, retard mental, la personnalité anormale des parents jouent un rôle important dans la genèse de ce fléau.
Parfois, ces cas sont plus difficiles à reconnaître, et le plus troublant, les parents se cacher derrière une façade que tout semble normal: les conditions socio-économiques, la structure familiale, comportement. Certaines enquêtes sociales montrent des ‘jeunes mères, beau et bon’, bien entretenu intérieur et les cavaliers, les «familles de charme, séjour dans un endroit propre et soigné.’
La «violence faite aux enfants» englobe en réalité plusieurs faits. Il ya des enfants battus et parfois gravement blessé, mais il a répété l’abus de mineurs, un traitement brusque, mais aussi «des coups sans se blesser», c’est-à-dire, la négligence dans les soins de première nécessité (nourriture, etc .. d’hygiène.) Moral ou psychologique abus, carences affectives, etc abus sexuels … en fait tous les cas où un adulte est invité à accomplir des actes de violence physique ou mentale de son enfant ou l’enfant d’un autre.
Nous avons tendance à aborder ces cas, la violence institutionnelle qui passent inaperçus:séparer un enfant de sa famille par les services sociaux quelle que soit la raison, être considéré comme enfant mentalement handicapé échec scolaire pour des raisons socio-économiques et culturels, la réglementation stricte de certaines institutions de l’endoctrinement politique et religieux, les carences affectives dans des maisons médico-éducatif ou de la famille , les scandales, complaisamment répandue dans la presse faim, trouvés dans les maisons des enfants où des instructeurs ou des administrateurs ont des personnalités franchement pathologiques, l’exploitation des enfants à des fins pornographiques, le tourisme sexuel (les enfants de Bangkok …) etc …
Le comportement de l’enfant battu est particulier.
Il peut être triste, apathique, peur, esquivant des gestes de défense à chaque tentative d’approche ou, au contraire, trop facile, trop mou, s’accrochant indistinctement à toute personne entrant en contact avec lui.
Parfois, l’enfant, égaré, sans intérêt pour l’entourage, il ne peut ni rire, ni pleurer.Les troubles de l’alimentation sont fréquents: anorexie ou la boulimie. Il peut avoir l’apparence d’un arriéré mental.
L’accent est mis actuellement sur la détection des situations à risque dans le cycle de la vie familiale: divorce, la survenue d’une naissance non désirée, sa famille est revenue à un enfant en foyer nourricier, le déplacement, la perte d’emploi, psychiatriques crise familiale grave problème etc … et des lieux de rencontre et d’écoute aux parents désemparés sont mis en place: ‘SOS, Parents anonymes’, etc …
Pour se comporter
Même aujourd’hui, un comportement fréquent chez certaines personnes, c’est-à-dire: «Ne vous mêlez pas des affaires des autres!’. Ainsi, les cas graves de maltraitance d’enfants, plus ou moins connues ou suspectées par l’environnement immédiat sont détectés trop tard.
Le traitement est très difficile car il n’est pas tellement «punir» les parents qui les aident à surmonter leurs problèmes afin qu’ils puissent donner à l’enfant un environnement familial favorable à leur développement.
Les parents sont responsables d’abus peuvent être condamnés par la Cour pénale ou la cour d’assises et condamné à une amende ou d’emprisonnement, avec ou sans sursis. La privation de l’autorité parentale, la tutelle, les allocations familiales associées à des mesures d’assistance éducative sont d’autres solutions possibles.
parents intenter des poursuites devant le juge ne résout pas leurs problèmes, pas plus que l’enfant maltraité. Retirez l’enfant de la famille sans fournir un soutien aux parents est d’inviter les abus de la part another.Parents doivent être protégés contre eux-mêmes et la plupart des experts, le comportement agressif de ces parents est un cri d’alarme, un signe de détresse, dont la société doit répondre. L’aide doit être personnalisée, durable, positive, ferme mais sans porter de jugement, plus éducative que répressive.
Les juges pour enfants ont de grandes difficultés à la maltraitance des enfants. Ils peuvent avoir besoin de prendre des décisions urgentes sans avoir eu le temps de rassembler toutes les informations. Ils doivent répondre à de multiples pressions des voisins, le directeur de l’école, les autorités municipales, la presse etc … qui ne voient aucune alternative au retrait immédiat de l’enfant. Ils doivent aussi apprendre à contrôler leurs propres réactions et leur désir d’être rassuré par un investissement sûr.
La prévention repose sur l’amélioration des conditions de logement, la lutte contre l’alcoolisme, la contraception empêche les grossesses non désirées, l’avortement, l’amélioration des structures de soutien social.
principales conséquences de la violence sur le développement des enfants
Au-delà d’une étude psychologique de l’individu, les signes cliniques peuvent permettre un diagnostic médical:stress, des carences diverses, troubles de la santé et le nanisme psychosocial.
Les conséquences de la maltraitance des enfants sur le comportement à l’âge adulte a été bien démontré par des enquêtes des troubles de santé et différents risques et la prise de tels que les paiements en retard ou accidents de la route. Il a été constaté qu’une grande partie des adolescents victimes d’accidents de moto ou de voiture grave avait été roué de coups et les mauvais traitements pendant leur enfance. (Voir en particulier les études et le livre du docteur Jacqueline Horn, livres d’Alice Miller ou les études sur le risque et l’accident Anne Tursz).
Dimensions de la maltraitance des enfants
Même si la violence sur les enfants peuvent être mis en perspective après le fait par des explications qui leur donne sens, de tels abus ne sont jamais trivial.They sont très jeunes ou déjà adolescents, ils ont le plus souvent le sentiment d’être rejeté, humilié, ne pas compter pour rien. Même si leur répétition peut conduire à une certaine dépendance, le sentiment de se voir refuser la maison et peuvent être accompagnés, l’internalisation de la violence: soit par un comportement agressif exercée sur le bas, ou dans le renversement de cette violence contre soi-même (tests multiples qui entraîne souvent des accidents ou mutilation et même de suicide). De telles situations ont été des essais multiples (Alice Miller en particulier)
.Ils ont été largement illustré dans les romans remarquables (Vipère au poing Hervé Bazin, par exemple) et introduit au cinéma (y compris Le Quatre Cent Coups de François Truffaut).
Mais la violence peut aussi provenir de la situation impossible dans laquelle l’enfant peut live.Whether pour soutenir le spectacle continue des parents qui se disputent ou se battre ou à l’insulte, l’enfant est souvent fait de se sentir responsable de ces désagréments, surtout depuis qu’il est impuissant à dissiper leurs conflit. Quoi qu’il fasse, il est alors amené à fortement blâmer son comportement, ou des impulsions de l’identification à l’un de ses parents ou ses tendances pour les consoler ou les agresser. Inversement, si l’enfant ne reçoit pas suffisamment d’attention ou si ses parents ne sont pas durables, il peut souffrir grandement d’un manque d’affection. Il est alors un manque d’attention par les mauvais traitements. Études de sociologie ainsi que l’analyse quantitative des cas cliniques ont montré clairement la gravité des conséquences des traumatismes entraînés par des problèmes familiaux connu avant le 18 par exemple années.Pour, selon les travaux que Georges Menahem (1992, 1994) a mené des enquêtes de l’Insee grande statistiques et l’IRDES, victimes de mauvais traitements pendant l’enfance suite à une plus grande fréquence de la prise de risque et les problèmes de santé à l’âge adulte.
De même, les travaux de Jean-Marie Firdion et Maryse Marpsat (2000) montrent très clairement que le risque de s’engager dans une trajectoire de SDF est fortement accru par avoir connu de graves problèmes familiaux (parents malentendu ou la violence) dans sa jeunesse. Ces résultats sont confirmés par les travaux de Serge Paugam (2005) par rapport à d’autres voies, soit en enquêtes Maryse Esterle-Hedibel (1997) pour les routes de l’engagement des jeunes dans les bandes à un comportement violent.
Ces observations sont confirmées dans un rapport de synthèse des travaux français, canadiens et anglo-saxonne a fait Mucchielli Lawrence.The ci a en effet écrit très clairement que «la recherche a révélé que, dans l’analyse du rôle des facteurs de liens familiaux sont plus fréquents que les facteurs structurels. En d’autres termes, la dissociation est moins important que la discorde familiale ou conjugale. Cela favorise la délinquance des enfants est l’existence d’un grave conflit entre les parents, qu’ils vivent ensemble ou séparés. Les recherches indiquent en outre que cette ambiance familiale est en partie dépendante des problèmes socio des familles économiques, la plupart des situations de la famille «à risque» sont ceux qui combinent la discorde conjugale et l’insécurité ‘(Mucchielli, 2000).
L’avenir des enfants maltraités
Les récidives après une hospitalisation est de 60%. Les conséquences sont nombreuses. Ils peuvent être physiques ou psychologiques. Des études ont montré, chez les enfants victimes de violence examinées après plusieurs années, de nombreux problèmes psychologiques: d’importantes difficultés émotionnelles à l’anxiété, la peur du rejet, l’instabilité, l’insomnie, les crises violentes, agressivité, opposition, retard de langage, énurésie, encoprésie, etc …
Souvent, ces enfants devenus parents eux-mêmes, sont à soumettre leur progéniture par le fatalisme social, éducatif et psychologique, le même type d’enseignement, fait de coups et de brutalité.
La prévention des mesures spécifiques liées à l’enfant
Les écoles, les organisations et les parents peuvent contribuer à réduire le nombre d’abus. Toutefois, il est surprenant que les agresseurs font souvent partie de l’entourage de l’enfant (parents, famille, amis proches). Nous devons donc éduquer les enfants qui fréquentent régulièrement, même s’ils appartiennent à une sphère plus large (enseignants, médecins, etc.). Prévenir l’abus ne doit pas nécessairement passer par la description détaillée d’une agression ou un agresseur potentiel. Il n’est pas nécessaire de dire aux enfants que le danger peut venir de ceux qu’ils prévention love.Positive et le béton peuvent leur donner la capacité d’identifier et d’agir pour eux-mêmes quand ils se sentent menacés.Cette technique leur donne également la possibilité de prendre en charge et d’être les auteurs de leur propre bien-être.
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