Maison de l'adolescence
Maison de l adolescence
Maisons des adolescents sont de garde d’enfants et les adolescents qui se développent en France depuis la Conférence de la famille 2004. En fin de compte, il est prévu qu’il y ait au moins une maison des adolescents par département sur le territoire français.
«Séparé de ses proches, les enfants qui souffrent ont besoin de savoir où ils sont et de rester en contact avec eux (par exemple par téléphone). Loin de chez eux certains deviennent très triste et malheureux (..) .. Ils ont la nostalgie de la maison et de penser Réunion seulement. séparés de leurs proches, ils sont pleins de craintes d’accidents ou de maladies qui pourraient toucher ou de toucher les êtres chers. Ils expriment souvent la crainte de se perdre et de ne jamais voir leur parents.They peuvent être réticents ou refusent de fréquenter l’école ou de camping, pour passer un après-midi ou chez des amis et aller faire des courses seul.Ils sont parfois incapables de rester seul dans une pièce, ils restent près de l’un ou l’autre de leurs parents ou de suivre ‘comme une ombre’ dans toute la maison. Les enfants avec l’anxiété de séparation ont souvent du mal à s’endormir, insiste toujours que quelqu’un près d’eux jusqu’à ce qu’ils s’endorment. La nuit, ils vont parfois dans le lit de leurs parents (ou celui d’un proche comme un frère ou une sœur) si l’entrée de la chambre de leurs parents est interdite, ils peuvent dormir à l’extérieur de la porte. Parmi les adolescents, l’anxiété de la séparation peut être niée, mais la suite dans un domaine limité de l’activité autonome et une réticence à quitter la maison. Pour les personnes plus âgées, la maladie peut limiter la capacité de faire face à des situations nouvelles (par exemple, déplacer ou se marier). Typiquement, les adultes ayant une anxiété de séparation sont trop préoccupés par leurs enfants ou leurs conjoints et sont malheureux quand ils sont séparés. ‘L’anxiété de séparation se développe souvent suite à un événement trumatisant Voici les critères du DSM IV pour le diagnostic (par exemple la mort d’un membre de la famille ou un animal de compagnie, changer d’école, déménagement, etc..): A. excessive anxiété et inappropriées pour le développement pour la séparation de la maison ou les personnes à qui le sujet est attaché, comme en témoignent trois des manifestations suivantes (ou plus):
(1) détresse excessive et récurrente dans les situations de séparation de la maison ou les principales figures d’attachement, ou en prévision de telles situations
(2) crainte excessive et persistante de la perte de la figure de la première ou le malheur qui peut leur arriver
(3) excessive et la crainte persistante qu’un événement malheureux ne vient pas séparer l’enfant de ses principales figures d’attachement (Egas se perdre ou être kidnappé) (
4) réticence persistante ou refus d’aller à l’école ou ailleurs à cause de la peur de la séparation
(5) appréhension ou excessive et la réticence persistante à rester à la maison seul ou sans principales figures d’attachement, ou en d’autres environnements sans des adultes de confiance
(6) réticence persistante ou refus d’aller dormir sans être à proximité d’une principales figures d’attachement ou mieux d’aller dormir à l’extérieur de la maison (
7 ) cauchemars répétés à thèmes de séparation
(8) plaintes somatiques répétées (telles que maux de tête, douleurs abdominales, nausées, vomissements) lors des séparations de les principales figures de l’attachement, ou en prévision de tels situationsB. La durée du trouble est d’au moins quatre semaines.C.
Le désordre commence avant l’âge de 18 ans.D. La perturbation entraîne une souffrance cliniquement significative ou une altération importants.E sociale, scolaire (professionnel), ou dans d’autres domaines.Le trouble ne survient pas exclusivement au cours d’un trouble envahissant du développement, un skizophrénie ou autre trouble psychotique et, chez les adolescents et les adultes, il ne s’explique pas par un meilleur diagnostic du trouble panique avec agoraphobie.
Il est souvent nécessaire d’associer le conseil de la famille, l’éducation contrôlée, la modification du comportement et les médicaments.