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Comprendre les différentes étapes du développement embryonnaire et en particulier celles qui précèdent et suivent la fécondation peut comprendre la complexité de cette étape de la reproduction humaine et d’aborder des domaines de recherche qui s’y rapportent. Les scientifiques qui travaillent pour un temps très long sur ces questions ont acquis des connaissances de base sans lesquelles certains progrès récents, en particulier dans la gestion de certaines formes de stérilité, ne pouvait pas réussir.
Pour les futurs parents, la première image visible de l’embryon est souvent celle qui apparaît sur l’écran lors d’une échographie au cours du premier trimestre de la grossesse. À la fin de la troisième semaine de la grossesse, l’embryon d’une longueur de deux millimètres peut être vu avec l’activité cardiaque. Il doit encore subir de nombreux changements avant la naissance d’un bébé, mais les événements qui ont eu lieu avant et pendant le déclin de la fécondation sont tout aussi fondamentaux.
Bien avant la fécondation réelle et immédiatement après, plusieurs événements doivent avoir lieu: la production de gamètes, de routage, bonne fécondation, la segmentation et l’implantation.
Chez l’homme, la production de spermatozoïdes dans les testicules commence à l’adolescence et se poursuit normalement pendant toute la vie.Cette «production» ou la spermatogenèse se déroule dans les tubules séminifères des testicules à partir de cellules souches ou spermatogonies. Il se produit dans la paroi du tube pendant 74 jours avant le sperme sont libérés dans le centre des tubes séminifères. A ce stade, ils contiennent l’adéquation du matériel génétique, ou 23 chromosomes, mais ils n’ont pas la mobilité ou la totalité de leur pouvoir fécondant. Seulement, comme ils Voyage à travers l’épididyme, où ils sont stockés entre les éjaculations, ils atteindront leur pleine maturité. Les spermatozoïdes sont seulement une petite partie du volume de l’éjaculat (2,5 ml en moyenne): la plus grande partie se compose de plasma séminal des vésicules séminales et le liquide séminal sécrété par la prostate.
Chez les femmes, la maturation des gamètes ou d’ovocytes, se produit dans les ovaires d’un stock au cours de la vie intra-utérine. Leur nombre maximum d’environ 7 millions est atteint au troisième trimestre de la grossesse. De ce point, cette population d’ovocytes diminue progressivement: à la puberté, il n’y a que 400 000 et seulement quelques milliers, juste avant la ménopause. Dans l’ovaire, les ovocytes sont entourés de cellules folliculaires qui se transforment ainsi. L’ensemble forme un follicule.De la puberté à la ménopause, au cours de chaque cycle ovulatoire, la rupture d’un follicule mature et libère un œuf qui contient encore 46 chromosomes. La moitié sera expulsée lors du contact avec un spermatozoïde, qui rend la fécondation possible. Cette évolution follicule dominant a débuté sa finale 85 jours avant l’ovulation, avec le départ de nombreux autres follicules, l’ensemble formant un cohort.Only le follicule dominant atteint la maturité. D’autres arrêtent leur croissance à différents stades.
Si les rapports sexuels a lieu pendant une période de fécondité, le sperme de 200 à 300 millions sont déposés dans le vagin après l’éjaculation rencontrent un milieu favorable. Le mobile plupart d’entre eux seront en mesure d’aller dans le canal cervical de l’utérus à travers le mucus qui assure la survie et de leur capacité à migrer. Les quelques personnes qui marchent des centaines de spermatozoïdes dans les trompes de Fallope ont été acquis, après avoir traversé la cavité utérine, leur pouvoir fécondant: la capacité. Ils sont attirés par une partie dilatée du tube, l’ampoule, où l’ovocyte est entouré d’un amas de cellules: cumulus.
L’extrémité du tube est en effet prévu franges pour exploiter l’œuf par l’ovaire enlevé.Pendant les dernières heures avant l’ovulation elle-même, le follicule dominant, qui mesure de 16 à 20 mm de diamètre, déforme la surface d’un ovary.He a reçu d’importants stimuli hormonaux faisant l’ovocyte capable d’être fécondé. Ils permettent la rupture de la paroi folliculaire et l’expulsion de l’ovocyte qui a une durée de vie de seulement 8 à 10 heures.
Dans le tube, la capacité des spermatozoïdes à travers les cellules du cumulus et adhérer à une barrière deuxième cellule entourant l’ovocyte: la zone pellucide. Cela provoque une réaction à la tête de certaines enzymes libération du sperme qui leur permettra de traverser la zone pellucide. Le premier spermatozoïde qui passe par elle fusionne avec la membrane cellulaire de l’ovule, résultant en quelques secondes l’activation de l’ovocyte. Il en résulte de nombreuses réactions avec des conséquences majeures:
Le matériel chromosomique des deux parents est encore distinct à ce stade. Il est contenu dans deux formations appelées pronucléus qui vont migrer vers l’autre dans le centre de l’oeuf, guidées par les chromosomes microfilaments.Paternal et maternelle, puis paire (n ° chromosome 1 père avec le chromosome n ° 1 de la mère, et ainsi de suite) et un chromosome entier de nouvelles est alors formé: il est totalement d’origine génétique d’un nouvel individu. le sexe génétique est déjà déterminé:si les 23 chromosomes paternels introduits dans l’œuf par le sperme contient le Y est un garçon avenir qui vient d’être créé. Si c’est un X qui est apporté par le père, c’est une fille d’être né en neuf mois que le chromosome sexuel autre de la mère est nécessairement un X.
L’oeuf, qui a alors 23 paires de chromosomes est appelé diploïde et la fécondation est terminée. La première division cellulaire, ou mitose, qui permet à une deuxième cellule identique à la première, se produit peu de temps après. Ainsi apparaît un nouvel embryon à deux cellules. Ces deux cellules, à leur tour se diviser pour donner quatre et ainsi de suite …
Les cellules à division rapide ont le même patrimoine génétique. Jusqu’à ce que le troisième jour après la fécondation, ces cellules, environ une douzaine, sont dites totipotentes. Cela signifie que chacun d’eux seuls permettre de reprendre sa division et fournir un embryon complet. Lorsque, à ce stade, toutes les cellules de la fécondation se divise spontanément en deux, une grossesse gémellaire peut se produire dans ce cas avec des jumeaux identiques (ou de jumeaux).
A ce stade, l’embryon apparaît sous le microscope comme un amas dense de petites cellules. Il a déjà marché dans la mauvaise direction de l’utérus. Le jour du quatrième au cinquième, tout ce qu’on appelle la morula, est formé d’une trentaine de cellules appelées blastomères.Il se rapproche de la cavité utérine.
Du 5ème au 6ème jour, l’aspect microscopique de l’embryon change car les cellules commencent à se différencier pour former un blastocyste. Les cellules forment la périphérie du trophoblaste qui est à l’origine des annexes embryonnaires (placenta et les membranes). Le centre de l’œuf pour former une cavité remplie de liquide et les cellules restantes embryonnaires se concentre à un de ses pôles et de la forme du disque embryonnaire . Il est à ce niveau que les couches cellulaires vont poursuivre leur différenciation pour former progress
ivement les différents tissus de l’embryon.
Six jours après la fécondation, tandis que l’œuf dans l’utérus, la zone pellucide qui l’entoure encore rompt totalement. Le blastocyste se déplace dans et hors des cellules trophoblastiques qui sont sur sa surface en contact avec la muqueuse de l’utérus: cancer de l’endomètre. Pendant plusieurs jours, les cellules trophoblastiques se multiplient et s’incrustent profondément dans l’endomètre à développer, avec le corps de la mère, les échanges pour le développement de l’embryon. Il s’agit d’une greffe de vrai qui ne peut réussir qu’avec l’action ‘anti-rejet’ du trophoblaste, qui tend à ‘masquer’ les antigènes embryonnaires.Sans cette action, l’embryon a un patrimoine génétique différent de celui de sa mère, doit être reconnue comme étrangère et rejetée par le système immunitaire maternel.
Pour cette mise en œuvre soit un succès, comme l’endomètre est prêt à être colonisé par l’implantation du trophoblaste embryonnaire peut en effet être effectué pendant un cycle normal jusqu’à environ 21 jours, lorsque la muqueuse a reçu la stimulation hormonale idéale, surtout par les œstrogènes dans une première étape, suivie par la progestérone.
L’invasion de l’endomètre par le trophoblaste résultats dans quelques jours à un équilibre qui se traduit par l’élaboration d’un élément clé pour la réussite du début de la grossesse: le placenta. Il permet à de nombreux échanges mère / fœtus, mais aussi la synthèse des hormones. Pendant ce temps, l’embryon se développe avec l’apparition de la cavity.At amniotique la fin de la troisième semaine après la fécondation, il est d’environ deux millimètres et un coeur embryonnaire assure déjà la circulation sanguine primaire. Ses battements peuvent alors être détectées à l’échographie. Ils signent la présence d’une grossesse en cours.
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La fonction principale de notre maison est pour nous abriter. Mais inconsciemment, il est aussi et surtout une extension de nous-mêmes et de notre corps.
Isabelle Taubes
Face à un danger imminent, ils disent qu’il ya péril en la demeure. D’une personne totalement désorienté, ils disent qu’elle ne sait pas où elle vit. Quand quelqu’un est le fou, on dit qu’il se déplace. La sagesse conventionnelle renforce les idées de la psychanalyse quand il se connecte nos états intérieurs et de notre ‘intérieur’. Elle dit que c’est l’animal en nous, avec son instinct, son sens de l’odorat, qui s’exprime quand il s’agit de s’installer dans ce territoire est notre maison privée.
‘Afin de consolider, de se protéger et se distinguer des autres, toutes les espèces animales ont besoin d’un territoire pour imprégner de leur odeur, leurs habitudes, dit Nathalie psychanalyste avancés. Nôtre ne fait pas exception.’
Emménager dans un nouvel appartement, il est d’abord éliminer les traces de l’ancien occupant. ‘J’ai hésité à prendre mon appartement à cause de l’odeur d’eau de Javel qui semblaient friands de l’ancien locataire, rappelle Nadya. Maintenant, pour être bonne à la maison, je ne ressens aucune autre odeur que la mienne ne dans l’air. Par ailleurs, les jours où la femme de ménage vient, mon premier acte dans la soirée quand je rentre à la maison est d’ouvrir les fenêtres en grand. ‘
‘Se sentir chez soi est d’abord passer perméat ce lieu à l’odeur parfumée familiers confirme Pierre Soler, psychologue. Notre maison devient une partie de nous-mêmes que nous pouvons identifier.’ Il n’est pas une coïncidence que nous appelons notre ‘intérieur’.
Par conséquent, nous pouvons comprendre pourquoi l’obligation de quitter son lieu de résidence est toujours un traumatisme. A notre époque caractérisée par l’insécurité, le chômage et l’endettement, il est réconfortant de penser: «Quoi qu’il arrive, je l’avoue mes murs, je vais garder un toit au-dessus de la protection de la tête.’
Le peu de psychologues qui ont travaillé avec les sans-abri que la perte d’une maison est toujours catastrophique. ‘Met son intégrité psychique, son identité, l’individu peut tomber dans une psychologiques ainsi que la pathologie somatique», note Patrick Cuynet, psychologue, et Sophie Mijolla-Mellor, psychanalyste, dans leur introduction à «La Maison de la famille’ (magazine ‘Le famille Divan ‘).
En cas d’effraction ou d’intrusion (recherche de vols), les murs perdent leur protection de la peau deuxième et l’anxiété se pose immédiatement. ‘Après avoir été volé, j’ai eu des cauchemars pendant des mois. J’ai eu le sentiment d’être souillée, violée», dit plus Dominic.In, les cambrioleurs ont laissé un étron énorme dans le milieu du spectacle.Il s’agit d’une signature commune, le commissaire a dit, une façon de dire: ‘. En vous, je suis à la maison’
Mais ‘juste une petite fuite d’eau peut aussi être vu comme une menace à notre intégrité’, a déclaré Pierre Soler. Surtout si elle est causée par des voisins.»Idem pour les sons de l’extérieur, ce qui peut provoquer un sentiment de persécution, de faire paranoïaque quand ils sont trop intrusives. Tout cela renvoie à l’idée du philosophe Heidegger, pour qui«être, de vivre et de penser ‘sont un seul et même .
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Psychologies Magazine
en Janvier
Résumé de la visite
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«Comprendre les différentes étapes du développement embryonnaire et en particulier celles qui précèdent et suivent la fécondation peut comprendre la complexité de cette étape de la reproduction humaine et d’aborder des domaines de recherche qui s’y rapportent. Les scientifiques ont travaillé très longtemps sur ces questions ont acquis des connaissances de base sans que certains progrès récents, en particulier dans la gestion de certaines formes de stérilité, ne pouvait pas réussir.
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