Le stress travail
Le stress travail
L’infarctus du myocarde (MI) est une complication majeure de l’athérosclérose coronarienne. Elle affecte un homme sur cinq entre 40 et 60, mais peut également porter sur les sujets féminins et de jeunes.
En France, 30% des décès de cause cardio-vasculaire. Dans 50% des cas, il n’y a pas de facteurs de risque connus au moment de l’infarctus.
Les facteurs contributifs sont connus:l’hypertension artérielle, l’hérédité, l’hyperlipidémie, tabagisme, diabète, obésité, hypothyroïdie, le stress …
Tout doit être fait pour une reprise rapide des travaux antérieurs, sauf en cas de travail musculaire lourds incompatibles avec l’état du cœur. Le retour au travail est plus facile quand il s’agit d’une activité sédentaire et intellectuelle.
Les fichiers qui s’accumulent, les délais plus courts … un jour, que nous aimons. Le «coping» doit composer avec le stress, plutôt que d’endurer.En établissant une bonne distance entre le travail et la maison, cette stratégie d’auto-analyse fait baisser la pression.
Bien que 72% des salariés souffrent de stress comme la dernière annonce sondage CSA, il n’est pas inévitable. Présenté comme une catastrophe sociale par les médias, ce mal des temps modernes peut être arrêté individually.Do pas attendre des entreprises de nous fournir des solutions rapides pour éliminer toutes les sources de tension. Il ne serait pas réaliste. Fiez-vous plutôt sur ce que les experts appellent ‘coping’ (en anglais ‘pour faire face à’, ‘face’). Il s’agit d’une stratégie personnelle qui nous développons tous de gérer notre stress. Appliquée plus ou moins efficaces, nous pouvons optimiser et en faire un atout dans la lutte contre les pressions inévitables de l’entreprise.
La surcharge de travail en tête de liste des facteurs de stress pour 64% des cadres français, avant les délais sont plus courts pour 59%, suivie par des méthodes de gestion pour 45% et le manque de visibilité dans leur avenir professionnel pour 38% (source: enquête de l’AFP-ISGP).
Selon le ministère du Travail, 60% des employés ont déclaré qu’ils n’avaient pas de place pour l’erreur, 56% mènent souvent plusieurs fichiers en parallèle, 25% sont constamment surchargés de travail, et 30% connaissent les relations tendues avec leurs supérieurs.
Nos supérieurs ne donne aucun signe de reconnaissance, un dossier arrive et nous n’avons pas eu le temps de le traiter, et notre chef de service nous fait une critique sur notre travail, nous insulte un client et un ami ne nous adresse le mot de plus: la façon dont nous évaluera ces événements ont fait la différence sur toute contrainte mécanique.
Cette évaluation, ces représentations d’événements sont le résultat de notre histoire personnelle et notre propre dicte: «Je dois être parfait», «Les gens ont toujours aimé moi» «Je dois réussir tout ce que je fais’, ‘Montrer que nous ne comprenons pas est un signe de «faiblesse, etc. Certaines personnes bénéficient des mécanismes d’évaluation sont beaucoup plus efficaces que d’autres. Des études ont été faites avec les caissières de supermarché. Face à un client agressif, on pense, ‘. Je ne suis pas un chien, il n’a pas le droit de me parler comme ça, ce n’est pas ma faute.’ Un autre dira: «En fait, ce n’est pas mon intention, mais la première personne qu’il rencontre. A la même situation, deux évaluations différentes. Le premier caissier, se sentir personnellement touchés, moins aptes à résister à la pression de la clientèle que le second. Le problème est que ces représentations, loin d’être le résultat d’un argument développé, sont automatisée. Nous sommes programmés en quelque sorte!Plus ils sont dérangés, plus on souffre. Et ils sont souvent des attentes irréalistes: que notre patron ne veut pas de nous adresser des compliments, nos employés sont irréprochables, il n’y a pas d’embouteillages sur le chemin, etc. Ils peuvent également être faites par des interprétations erronées. Si une contradiction collègue, ce n’est pas nécessairement qu’il veut nous déstabiliser, mais les intérêts sujet lui et il veut discuter. Si notre superviseur ne dit pas bonjour, nous n’avons pas nécessairement la tête; pris dans ses pensées, nous ne peut-être simplement pas vu.
Nous faisons des événements le plus souvent ils sont sérieux. Les cadres qui ont peur d’être rejeté, Eric Albert, psychiatre, fondateur de l’Institut français de l’anxiété et le stress, demande: ‘Vous êtes viré, et alors?’
– Je vais avoir plus de ressources, dit la partie anxieuse .- Et alors? Le psychiatre continue .- Je ne vais pas pouvoir faire face à mes charges .- Et puis – je me trouve sans-abri sous les ponts. ‘
Mais il n’y a pas des étapes intermédiaires entre le licenciement et vivent sous les ponts? Tels que les allocations de chômage, un prêt à la famille, un emploi ‘alimentaire’ avant de trouver celui qui correspond?
Gérer son stress est de prendre conscience de l’écart entre nos perceptions et la réalité.Et pourquoi ne pas dire individuellement agir seul. L’auto-analyse est particulièrement difficile lorsque notre état de tension ne nous permet pas de penser objectively.There ne s’agit pas ici bien sûr, mais avec l’analyse de longues approches comportementales. Les bureaux d’études proposent des stages de coaching de gestion du stress ou de prise en charge dans le budget de formation de l’entreprise.
Histoire
Les partenaires sociaux européens signent un accord en 2004 sur le stress au travail.