Le droit
Le droit
le droit d’exprimer leur sensibilité, les hommes ont toujours eu, mais il est douteux quand ils ont fait. Ce qui est nouveau, c’est qu’ils se donnent l’autorisation. De même, ils se laissent pas toujours des héros. Le fait qu’ils ne sont plus accrochés à la performance à tout prix est juste. Cela ne les empêche pas d’être des héros ou faire des choses importantes. Ils revendiquent le droit à l’intimité avec soi-même, ne peut pas toujours décider.
La loi est l’ensemble des règles et normes générales et impersonnelles qui attribuent des privilèges et droits pour les particuliers, et sont susceptibles d’être institutionnalisé l’application de contraintes, notamment grâce à l’intervention de la puissance publique, c’est-à-dire l’État.
Définitions
Le premier problème est la définition même du droit terme. C’est en effet une polysémie. Selon le dictionnaire Littré, le droit est un «ensemble de règles régissant la conduite de l’homme dans la société, les relations sociales.. Cela lui donne une importance considérable.
Selon les tenants du positivisme juridique, le droit est un phénomène social. La Société établit des règles pour régir son fonctionnement et son organisation des relations, économiques ou politiques, les gens qui la composent.
Objectif droit
À première vue, la loi est un ensemble de règles pour organiser la vie en société. La loi est alors considéré en termes de son objet: d’organiser la vie sociale.Elles sont formulées en général et impersonnel, sans que personne ne concernent en particulier mais à toutes les personnes qui constituent le corps social. Cette vision du terme droit est appelé droit objectif. Il considère que la règle de droit en soi et pour soi.
L’objectif droit est l’ensemble des règles juridiques applicables dans un pays obligatoires. Ces règles sont établies par l’autorité en place régulièrement dans le pays et visent à maintenir l’ordre et la sécurité, et en raison de ‘sauvegarder les intérêts légitimes subjective et réprimer les intérêts subjectifs illégitimes (Huguette Jones, 2002 – 03). C’est ce qu’on appelle la loi plus volontiers.
En droit français, comme en droit civil, il existe des droit public et droit privé. Cette distinction est moins présente dans les systèmes juridiques anglo-saxons également connu que les systèmes de common law.
Droit subjectif
Cependant, une vue subjective est possible, indépendamment d’un sujet de droit, plutôt que abstraite et impersonnelle: on parle de droit subjectif. En ce sens, la loi, il est considéré comme plus pratique, compatible avec les prérogatives individuelles que les gens sont destinés à puiser dans le corps de règles qui est la loi objective. Toutefois, l’existence de ce concept est essentiel », au nom de la logique.«Michel Villey, avait rejeté l’approche subjective:. La loi serait une discipline sociale qui se construit sur la base des considérations générales et non pas de réclamations individuelles qu’ils bout à bout Ces auteurs ont alors condamner la primauté du subjectif sur le droit objectif, qu’ils avis, contraire au bien commun, si ce n’est pas l’intérêt public En fait, ils tentent de faire valoir la supériorité du groupe sur l’individu:. Les détails prérogatives sont le produit de la règle de droit objectif, et non pas pour conséquence un de l’individu Ils. sont appelés «maximaliste» dans la doctrine, parce qu’ils rejettent l’existence même du droit subjectif.
Les droits individuels sont toutes les prérogatives de l’individu par law.They objectif sont opposables aux tiers. Il s’agit par exemple, les droits de propriété, le droit de réclamer (le droit de possession), le droit à la vie … C’est ce qu’on appelle plus volontiers des droits.
Actuel relativistes
Un autre courant d’auteurs qui rejettent la notion de droit subjectif a été formé et a été appelé «relativistes». Pour cette notion actuelle, si elle n’a aucun intérêt juridique absolue, a un intérêt sociologique:l’individu voit dans la norme plutôt que l’intérêt de lui, il revendique des droits, et des règles objectives de droit sont parfois développées sur la base des besoins individuels. La notion de droit subjectif n’est que fragmentaire.
Cependant, aujourd’hui, pour un auteur comme Jean-Luc Aubert, ‘ces deux significations du droit ne sont pas opposés Ils sont deux façons distinctes d’envisager le même phénomène:. Loi, ils sont complémentaires Ce n’est qu’une question de mise en œuvre de la… bon objectif.
le droit positif est l’ensemble des lois d’une communauté, et leur application par les tribunaux, l’affaire est law.It une approche scientifique où «la loi est expliquée par la loi» en vertu de la hiérarchie des normes. Cette vue permet le droit d’écarter toutes les questions religieuses, sociologiques, ethnologiques ou historiques. C’est le droit des avocats, a enseigné dans les universités aujourd’hui.
La loi et la loi
Aujourd’hui, la loi (de la lex latine, legis, quelque chose de sens fixées) est la principale source du droit. Même si elles ont maintenant tendance à confondre les notions de droit et la primauté du droit sont distinctes.
La primauté du droit est un outil à la disposition de l’avocat qui lui permet de travailler, en principe, selon l’idéal de justice.
Si la vision positiviste permet le droit d’avoir une certaine rigueur et logique, ne devrait pas cette définition, qui découpe le réel en utilisant la catégorie juridique existant, est le seul à considérer. La loi, au sens large, est un rapport de recherche doit être établie entre les circonstances des faits et des lois. La législation n’est donc pas le seul facteur à prendre en account.It convient également de noter la nature des faits, l’effectivité du droit, etc. En effet, il n’y a pas autant de lois que des situations de fait, et il ya des lois qui demeurent insatisfaits. C’est principalement grâce à l’analyse des faits que nous connaissons ce que le droit d’appliquer et, partant, plus «directe relations sociales.’
Général
Droit et des valeurs morales
La pénalité pour la primauté du droit est ce qui la distingue des autres règles, telles que les règles morales et de politesse. le droit est également distincte de l’éthique dans le sens où il ne se prononce pas sur la valeur des actes, le bien et le mal, mais la définition de ce qui est permis ou interdit par l’Etat dans une société donnée. En ce sens, la loi définit l’autorisation accordée par le monarque d’agir sans crainte d’être poursuivi.
L’étude du droit soulève des questions récurrentes relatives à l’égalité, la justice, de la sécurité.Selon Aristote, la primauté du droit »est mieux que n’importe quel individu.’ Anatole France a écrit à son sujet en 1894: «La loi, dans un souci important pour l’égalité, interdit les riches et les pauvres de dormir sous les ponts, de mendier dans les rues et de voler du pain..
Les systèmes juridiques
La loi est un phénomène social en cours, qui est créé ou à la recréation de façon naturelle lorsque deux personnes rencontrées. La création ou le développement de règles, qui reposent soit sur des considérations morales ou religieuses, est un phénomène qui se retrouve dans toutes les sociétés, développées ou non en considération. Chaque système juridique élabore les règles des droits légaux que les responsabilités de différentes manières.
La plupart des pays ont un système de droit codifié, appelé «droit civil», dont les règles sont changées, plus ou moins régulièrement par les gouvernements.
D’autres utilisent un système appelé «Common Law», qui se développe à travers la doctrine du précédent judiciaire.
Mais dans tous les pays il ya une riche histoire juridique, avec des philosophies différentes, qui parfois s’affrontent. La loi pose également des questions économiques, mais aussi des questions politiques, en vue de modifier la loi à travers les institutions.