La violence psychologique
La violence psychologique
Habituel festive et conviviale, l’alcool a souvent une image positive. Pourtant, pas moins de cinq millions de Français sont les agresseurs. Outre les dangers à long terme (cancer, cirrhose, etc.) Intoxication encourage un comportement agressif et irresponsable des risques prenant.
Depuis le milieu des années 60, la consommation annuelle d’alcool par habitant diminue en France. Toutefois, l’âge du premier verre d’alcool progresse. La découverte de l’alcool qui s’est tenue à 13 ans pour les garçons et 14 filles dans le cadre du rapport biennal de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) 2002. Dans les deux ans après leur expérience de leur première «cuite». A 17 ans, deux tiers des garçons et deux filles déclarent avoir été ivres au cours de leur vie, une proportion qui affecte près des trois quarts des adultes au cours des douze derniers mois.
Boire et conduire, vous devez choisir!
Une étude menée en 1999 conjointement avec le CREDOC la sécurité routière et un groupe de compagnie d’assurance professionnelle a élaboré une typologie des jeunes par les comportements qu’ils adoptent face aux risques. Parmi les six catégories, les «hédonistes» et «déstabilisé» représentent 17% des jeunes interrogés. Ces «tous risques» se mettent en danger en raison de leur incapacité à se projeter dans l’avenir.
Possession d’un véhicule automobile de 91% et 88% des hédonique augmente déstabilisé la prise de risques dus à l’alcool chez ces jeunes. ‘Ils ne sont pas les seuls concernés. L’alcool est de perdre le sens de la mesure à tous ceux qui en abusent», dit Sylvie Donnadieu, médecin responsable de l’inspection scolaire du comté d’Evreux.
Selon le baromètre santé de l’Institut National de Prévention et éducation à la santé (INPES), 80% des personnes admettent à la conduite sous l’influence de l’alcool sont des hommes.
Les homicides entre conjoints
Les homicides entre conjoints représentent environ 20% des homicides au Canada, les trois quarts des victimes étant des femmes (12% des homicides). Une étude aux États-Unis a montré que dans les homicides entre conjoints, il y avait autant de victimes de sexe masculin (maricide) que de femmes (uxoricide), et seulement 60% des décès chez les hommes, la femme se défendait de son mari violent.
En France a été publié en 2006 par l’Observatoire national de la délinquance, une étude sur ‘les éléments de mesures de la violence domestique.’ Il a été calculé pour l’année 2004, 25 hommes et 162 femmes tuées par un conjoint ou le concubin. [3].
Une étude menée par la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur en 2008 et rendu public par le secrétaire d’Etat à la Solidarité, les chiffres pour l’année 2007, que 192 homicides ont été commis au sein du couple, dont 86% des victimes étaient des femmes. Cette étude a mis en évidence que: – la majorité des homicides sont survenus dans les couples dont l’état matrimonial est établi .- La séparation est le principal motif d’acting out (35%). – Cette violence dans la famille conduit à des dommages collatéraux. Ainsi, un jeune enfant a été tué par son père avec sa mère. – Bien que la violence affecte toutes les classes sociales, les faits ont été commis le plus souvent dans les couples où un des deux partenaires ne travaillent pas ou plus. [4].
La «désintégration» de l’alcool
Directeur de recherche à l’Institut national de la santé et la recherche médicale (INSERM), Marie Choquet trouvé en 1994 dans son étude nationale que parmi les jeunes violents, 21% consomment régulièrement de l’alcool contre 7% pour les non-violents. La consommation régulière concerne également 36% des racketteurs.
Statistiques
France
Depuis les années 2000, plusieurs enquêtes nationales ont tenté de dresser un portrait statistique de la violence conjugale en France, mais seulement pour les femmes victimes.Une femme sur 10 ont déclaré avoir été victime de «violences domestiques» Selon l’enquête nationale sur la violence contre les femmes en France (ENVFF), 2000)).
La méthodologie de cette enquête sur la victimisation a été critiquée, notamment par Marcela Iacub, Hervé Le Bras et Elisabeth Badinter. Premier examen: L’enquête ajoute conduite objectivement (physique) et du comportement non-objective (violence psychologique), qui sont mesurées sur une fantaisie très. Deuxième critique: seules les femmes sont interrogées, qui par définition élimine toute possibilité d’évaluer le nombre d’hommes victimes de violence.
Alors qu’au Canada, Enquête sociale générale (ESG) a évalué les victimes des deux sexes à partir de 1999 en France, ce n’est qu’en 2007 qu’une évaluation quantitative des hommes victimes de violence a été produite d’abord par l’Observatoire national de la délinquance (OND), 110 000.
Selon l’Étude nationale des décès au sein du couple, a conduit la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur, 156 femmes et 27 hommes ont été tués en 2008 par leur compagnon. Ainsi:
Pour 2007, la violence domestique est 47 500 $ de plus que les faits constatés par la police et de gendarmerie, selon l’Observatoire national de la délinquance – n ° Wide 14 – Juillet 2008.
Enfin, selon une étude commandée par le ministère du Genre, «coût» de la violence domestique en France s’élèverait à 2006, à 1 milliard d’euros (frais de santé, police, justice, logement, prestations sociales, les humains, la perte de [la production nationale http / /] www.femmes-egalite.gouv.fr).
Étude de l’OMS
Une étude menée par l’Organisation mondiale de la santé, basée sur des entretiens avec 24.000 personnes dans 10 pays, montre une prévalence de la violence familiale varient selon le site entre 15 et 70% des femmes interrogées.
Dans ce cas aussi, il est regrettable que les concepteurs de l’enquête n’ont pas jugé bon d’interroger les hommes, et il a officiellement pour des raisons de coût. Les hommes sont aussi victimes de violence dans de nombreux pays du tiers monde que dans les pays occidentaux.
Les femmes qui souffrent le plus dans la violence dans le couple (psychologiques, verbales, économiques, agressions physiques et violences sexuelles). Ils sont victimes de mâles immatures, troubles de la personnalité égocentrique ou sévère («Nous reconnaissons ici les aspects dynamiques ou mégalomane paranoïaque, en faveur du droit dans leur approche à l’autre.’) [Rapport du DrCoutanceau – Ministère de la cohésion sociale – 2006] Pour certains, la violence est ‘normal’ de réponse à ce qu’ils considèrent comme une «désobéissance», ils ont vu leur père frapper leur mère, ont une tolérance minimale à la frustration, ne savent pas résoudre les conflits et sont donc naturel de frapper leur partenaire.
Très souvent, les femmes ont peur de dénoncer cette violence par peur de représailles sur les enfants du couple: ils se sentent coupables et responsables de l’échec du couple et de la situation de violence. Ils craignent aussi des indigents étant, si elles ne sont pas financièrement independent.All ces facteurs rendent cette situation persiste, malgré les soins sociaux et à la police.
Outre la violence physique, demeurent la violence morale, la privation de liberté (emprisonnement, les enlèvements, etc.) La privation d’autonomie (confiscation des revenus, voiture, etc.) Volonté de l’aliénation (l’aliénation économique, administrative, etc.) Etc .
Il est important de noter que la violence conjugale touche toutes les activités socio-culturelles, y compris les plus défavorisés intellectuellement comme le montre le cas Trintignant-Bertrand Cantat Marie.
Aide aux victimes de violence conjugale: Modification
Mais malgré ces efforts de pionniers, la réalité de cette violence n’est pas mieux reçu.La prolifération des centres d’écoute ou d’accueil spécialisé aura lieu à l’octroi de subventions du gouvernement (à continuer, au mieux, pour mener à bien leurs activités d’assistance et de prévention), à la fin des années 1980.