L’inceste
Définition
La définition la plus simple étant le rapport sexuel entre le père et sa fille. Ce n’est qu’en partie vrai car l’inceste comprend plusieurs types de relations, frère et sœur, père et fils, frère et frère, mère et fils mais aussi mère et fille en plus de sœur et sœur. L’inceste peut aussi comprendre des relations sexuelles comprenant grands-parents, proches, beaux-parents, beaux-frères, belles-sœurs et même amis intimes de la famille.
Le sujet le plus tabou, celui renié par tous mais ancré dans la vie humaine depuis l’aube des temps.
L’ambiance incestueuse
Nos logis de plus en plus étroits, chambres limitées, séparations étroites, portes jamais fermés ou entrouvertes font que tous les membres de la famille vivent l’acte sexuel par l’ouie. Ce qui provoque l’envie chez les enfants à partir d’un certain âge et se masturbent au risque que cela se transforme en fantasme.
Certains parents adorent faire prendre des bains à leurs enfants ou se faire gommer le dos par leurs enfants ou faire et se faire appliquer le savon sur le corps, les caresses déclencheront forcément une envie chez l’un ou l’autre.
Certaines familles considèrent la nudité comme normale sans pour autant être de tendance incestueuse mais engendrent inconsciemment chez les enfants l’envie de découvrir d’autres corps ce qui les rend vulnérables par rapport à tout adulte qu’ils craignent par respect.
L’inceste n’implique pas forcément un acte sexuel
Certains enfants de moins de 5 ans et même bébés servent de moyens de masturbations pour des adultes, en passant leurs sexes sur le corps de cet ange qui ne comprend rien de ce qui se passe. La situation la plus abominable est de que le sexe de l’homme est introduit dans la bouche d’un bébé qui le prend pour son biberon, le pauvre.
Tous les moyens sont bons, pour des malades obsédés en mal d’amour ou ayant subis eux-mêmes des sévisses sexuels quand ils étaient mômes, pour jouir. Et ces mères qui utilisent ces petites mains angéliques de leur bébé comme pénis. L’homme garde quelque part le comportement animal acquis dans la préhistoire.
Contourner l’interdit
Le cher papounet prétextant des courbatures suite à des travaux de bricolage ou de jardinage, se trouvant seule avec sa fille, lui demande de l’aider à prendre son bain. En fille aimante et gentille, elle consent sans se poser de question. De là entre en jeu l’envie dictée par le sentiment bestial de l’être humain, il n’y a aucun mal à laver le zizi du papounet qui se met en garde inconsciemment. Qu’il ait eu suite ou pas ? Que le père commença les attouchements ou pas ? Que cela a excité la fille ou pas ? Le mal est fait, le père excité pourrait assouvir son besoin durant la nuit avec son épouse mais la fille risque d’en rêver et devient vulnérable. Vulnérable par rapport aux frères, tontons, grands-pères et éventuellement amis de très longue date de la famille soit avec qui on peut laisser nos filles sans pour autant craindre le pire. Ces filles risquent de céder au plaisir expérimenté et lent d’aînés par rapport à la vitesse d’exécution de la même génération, la pauvre n’aurait jamais la chance de vivre sa vie normalement.
C’est pareil pour les mères ou grands-mères ou tantes qui lavent les garçons depuis toujours. Devenus adolescent les garçons deviennent fragiles sexuellement. Les voisines délaissées, les cousines divorcées et sœurs aînées ou les aides ménagères ou les nurses adoreraient se faire faire des câlins satisfaisants par des ados en pleine puissance.
Le pire à craindre
Un accident peut vite arrivé, une grossesse subite qui déstabilise toute la famille et qui anéantit la fille. Plus de mariage d’amour, plus de copain cherchant à bâtir une vie à deux, plus de copines du même âge car l’enjeu change avec un bébé à charge. Les études aussi seront presque achevées. Un nouveau mode de vie s’impose outre le regard des autres qui pourrait s’avérer destructeur en fonction de la société, de la communauté, de la mentalité et de la religion. Certes filles ont certainement données naissances à des bébés pour les tuer et enterrer de peur de honte et des répercutions de cet acte que la pauvre n’a eu qu’à subir sans pouvoir réagir ni se plaindre.
Est-il facile de dire que mon papa m’a baisée ?