Jeu personnalité
Jeu personnalité
Cette névrose se caractérise par l’existence de sentiments, d’idées, les comportements qui sont nécessaires pour une liaison et de provoquer un patient dans une lutte constante et l’anxiété.
Par exemple ceux qui n’ont pas mis le pied sur les interstices du pavage d’un trottoir, de toucher un tel objet, etc passant. C’est un rituel qui finit par s’imposer si fortement à ce sujet qui se sent l’anxiété ou d’inconfort quand il ne peut pas le respecter.
Pour la plupart des gens, ce sont des jeux qui ne présentent pas de tension mentale. Toutefois, ils révèlent un besoin de sacré, tabou. Ce geste, ce mouvement mécanique est un complot, un exorcisme, le but, même s’il demeure invisible pour les yeux du patient, est présente quelque part.
Les obsessionnels sont pleinement conscients de leur singularité, leur ridicule. Ils persistent dans ces rituels absurdes pour avoir la paix, pour un moment.
Ces «rites de prestidigitation’ imprégnés de la pensée magique, des défenses contre les obsessions et de répéter de plus en plus jusqu’à ce qu’il devienne malade disabling.The sait qu’elles sont absurdes, mais il ne peut s’empêcher de livrer.
Par exemple, un patient avec onomatomanie ne peut s’empêcher de répéter les mots mentalement.Une autre, la souffrance arithmomanie lui, continue à s’engager dans des opérations d ‘évacuation de calcul mental. Un troisième, en proie à la folie de scrupules, passe son temps à se torturer en lui infligeant des pensées odieuses, etc sacrilège.
thèmes obsessionnels sont le plus souvent sur la religion (et le péché, le sacrilège), protection du corps (et de la maladie, la souillure), la protection contre des dangers extérieurs (souvent l’agression), l’ordre et de symétrie (Match), la honte exhaustivité et l’exactitude (ce qui provoque de ne pas atteindre la perfection ), le temps.
Dans sa vie, le patient obsessionnel est prudent, économique et même parcimonieux, hyperrrationnel rigide, parfois sec et pédant dans ses rapports avec les autres. Raison, la logique, est essentiel dans son approche avec les gens.
Il existe une variété de jeux tels que le philosophe et essayiste Roger Caillois, dans «Les Jeux et les hommes’ (Folio / Essais, 1991), classés en quatre catégories. Ils se réunissent une fonction dominante psychologique:
• Agon, «concurrence» (course, lutte, billard, football, échecs, jeux vidéo interactifs, etc.). Ces jeux peuvent exprimer leurs ressources personnelles dans un environnement où tout le monde commence égales, ce qui n’est pas le cas dans la vraie vie.avantages psychologiques: la transcendance et, en cas de succès, l’estime de soi.
• Alea, le «hasard» (roulette, dés, loteries, des jeux de cartes). Le jeu est projective: on peut rêver, car ils mettent en scène la possibilité de devenir riche tout en économie du travail. Ils ont aussi besoin de laisser aller, puisque nous devons accepter l’idée de tout perdre sur un seul rouleau. Enfin, ils suppriment les inégalités sociales, parce que les chances sont les mêmes pour tout le monde.
• Le mimétisme, «imposture» (carnaval, masques, costumes, à l’échelle des jeux de rôle, théâtre, jeux vidéo d’aventure). Paradoxalement, habiller et temporairement déchu de sa personnalité pour adopter une autre libère sa vraie personnalité.
• ilinx, le ‘Vertigo’ (manèges, le ski, l’acrobatie, patins à roulettes). Ces jeux, dont certains ont lieu à des compétitions, ce qui provoque un désordre physiologique, une sorte de transe qui efface la réalité. Associated avec un certain plaisir physique, que la transe peut entrer en contact avec d’autres dimensions de sa personnalité.