Hyperactivité enfant
Hyperactivité enfant
L’enfant hyperactif a un trouble déficitaire de l’attention, la perception, de conceptualisation, langage, mémoire, la coordination et la dyspraxie qui entraînent une incapacité ou un retard d’apprentissage. Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux élaboré par l’American Psychiatric Association décrit le trouble déficitaire de l’attention, dont il distingue deux sous-groupes: les troubles de l’hyperactivité avec déficit de l’attention – qui est donc que l’école française baptiser agitation – et le trouble déficitaire de l’attention sans hyperactivité, éliminant ainsi cette catégorie d’enfants hyperactifs. Il se déplace constamment accumulant maladresses, ne se termine jamais ce qu’il a commencé … Contrairement à certains préjugés, l’enfant hyperactif n’est pas un peu agitée, dont l’énergie sans limite d’échappement de la parents. Il est avant tout un enfant en souffrance, dont le mal se cache derrière l’acronyme TDAH (trouble déficitaire d’attention / hyperactivité). Mise à jour sur le syndrome plus complexe qu’il n’y paraît avec François Bange, psychiatre. Vaineau Anne-Laure ‘Il ne prend pas! Et si il était hyperactif? Cette question, de nombreux parents d’aujourd’hui doivent être posées. A force d’entendre parler à la télévision ou dans les journaux, l’hyperactivité parfois considéré comme un fléau qui touchent d’innombrables petits agités. La réalité est . tout à fait différent d’être hyperactif, il s’agit en fait souffrir d’un syndrome appelé TDAH: trouble déficitaire de l’attention / hyperactivité.Selon diverses enquêtes menées à travers le monde, environ 5% des enfants de 6 à 10 ans seraient concernés et parmi eux, une majorité de garçons (4 à 1 fille). Mais l’excitation est loin d’être le seul symptôme nécessaire d’affirmer un enfant atteint de TDAH Explications. Certains enfants ont un terrain génétique favorisant le TDAH En effet, la part de l’héritage est incertain. Mais alors que la génétique n’est pas responsable. Les experts estiment que ce serait plutôt une interaction des gènes, soumis à l’influence de divers facteurs de l’environnement physique (pollution, pesticides, virus …) mais aussi l’environnement social ou éducatif. ‘Les difficultés associées au TDAH sont divisés en trois groupes, a déclaré François Bange. L’agitation, qui est généralement le premier signe d’être situé, qui dirige plus les parents à consulter. Mais l’impulsivité et l’inattention.’ Si les premières manifestations du syndrome peut se produire relativement tôt, à 3 ans, ce n’est que le début de l’école primaire qui peut vraiment commencer à poser des questions. ‘Nous devons être très prudents’, explique le psychiatre. Beaucoup d’enfants ont un malaise significative entre 3 et 6 ans, mais il est souvent naturel.Toutefois, lorsque cette hyperactivité reste après cet âge, elle a commencé à poser de réelles difficultés. ‘ En classe, déficit de l’attention en particulier qui entrave les enfants. Ils ne peuvent pas se concentrer. Résultat, ils accumulent des feuillets, ne semble pas écouter quand ils parlent, ne suivez pas les instructions et sont facilement distraits. Parfois, ils oublient même de façon régulière et de perdre leur entreprise. L’agitation, qui était auparavant un trait devient vraiment problématique. Les enfants impliqués dans le TDAH ont des difficultés très grandes dans la canalisation. Ils ne cessent de remuer les mains et les pieds, se tortillent, se lever, courir, grimper … Ils agissent comme si elles étaient littéralement montés sur ressorts. Et parle beaucoup, parfois très rapidement. Enfin, ils souffrent de l’impulsivité qui les conduit à agir avant de réfléchir, et ainsi, par exemple pour répondre aux questions jusqu’à ce que vous avez entendu la fin. Ils sont impatients, et sont incapables d’attendre leur turn.