Fatigue permanente
Fatigue permanente
Lorsque vous vous levez tous les jours devient une torture, il est nécessaire de dire stop! Qui sont les vrais coupables de la fatigue que vous cloue sur l’oreiller et vous ne pouvez pas mettre un pied devant l’autre? Quelques conseils pour vous réconcilier avec votre réveil.
coup de pompe, barre de lancement et de la fatigue. Vous n’êtes pas là par hasard! Notre corps est une machine bien huilée qui fait vite fait de nous payer nos oublis petits. Parce que se attendais pour enfin se coucher n’est pas une vie, un peu d’analyse est nécessaire …
Diagnostic
Le diagnostic se fait par l’exclusion d’autres troubles qui peuvent causer de la somnolence à ceci: l’apnée du sommeil, syndrome des jambes, mauvaise hygiène de sommeil …
Aspects cliniques
Il s’agit d’une somnolence diurne excessive quasi-permanent, fluctuant peu pendant la journée. Cette somnolence exige l’objet d’une ou plusieurs siestes pendant la journée, qui peut alors prendre plusieurs heures. Au diagnostic clinique, c’est que ces siestes ne sont pas normalement leur caractère rafraîchissant ou d’une autre maladie qui est proche de la narcolepsie (le sujet est toujours si fatigué à la fin de la sieste).
Leur sommeil nocturne est généralement très bonne, avec des réveils très peu.Par contre, l’horloge est particulièrement difficile (ivresse du sommeil) et il est l’inertie du matin: c’est-à-dire que le sujet est très lent sur la psychomotricité, à un état de confusion.
Ce qui fait la différence avec la narcolepsie ne se trouve pas dans la cataplexie, et rarement la paralysie du sommeil ou des hallucinations hypnagogiques. Officiellement la différence entre l’hypersomnie et la narcolepsie diagnostic est basé sur la présence de la cataplexie ou plusieurs périodes de l’endormissement REM pendant TILE.
Epidémiologie
La fréquence de la maladie, bien que difficile à estimer en raison de sa rareté, touchant 1 personne sur 10 000 à 500 000 (5 à 10 fois plus rare que la narcolepsie).
Aucune cause n’est trouvée à ce hypersomnie C’est pourquoi nous nous sommes qualifiés pour la différence de l’hypersomnie idiopathique secondaire dont l’origine a été démontrée (traumatisme crânien, tumeur).
Démarrer sur de nouvelles bases
Quand le corps ne suit pas, nous devons nous adapter. La vraie solution: trouver l’équilibre avec un grand E. Parce que tout est lié. Renouer avec une alimentation riche et variée devrait aider à surmonter les diverses lacunes que vous regardez (vitamines, fer, minéraux …). Pour trouver le temps de se reposer, il peut souvent être mieux organisée. Redessiner la frontière qui séparait autrefois l’œuvre salvifique de votre vie et, enfin, accepter l’idée que vous ne pouvez pas tout faire. Pour ce faire, apprendre à dire non!Une fois cette petite maison est dans votre tête et dans votre vie, vous aurez enfin une chance de dormir à nouveau, le bon, celui de profondeur, sur la base.
Pourquoi sommes-nous fatigués?
Pour comprendre le problème à la racine de votre fatigue permanente, faire un petit check-up de vos habitudes quotidiennes. Vous trouverez le premier quai: le sommeil. Étonnamment, un mauvais sommeil, il fatigue! Tourner et se retourner, se réveiller plusieurs fois par nuit ne peut résulter que le matin difficile. Deuxième coupable: le stress. Lorsque les soucis du travail, les enfants, les familles ont tendance à mélanger, nous allons à la catastrophe. Ajoutez à cela une pincée de carences nutritionnelles et vous êtes bon pour édulcorer le réel, le coup de mou qui arrive sans crier gare!
Traitement
Le traitement permet généralement aux patients de mener une activité professionnelle normale, ce qui soulève des gènes d’horloge liés à des attaques de sommeil diurne. C’est comme la narcolepsie sur le modafinil ou les amphétamines comme le méthylphénidate, mais si cela échoue, vous pouvez essayer d’autres traitements tels que teronac ou dexamine. Anti-dépresseurs, les stimulants peuvent être utiles (prozac, effexor). Les conseils d’hygiène de sommeil, y compris l’interdiction des siestes sont aussi des outils qui peuvent alléger le handicap créé par la maladie, mais ils sont parfois inefficaces.