Désir
Désir
Le désir est le désir de réduire une tension à partir d’un sentiment de manque et en ce sens que nous désirons que ce qui manque. Quand nous avons trouvé des objets ou des fins considérées comme une source de satisfaction, nous aurons tendance à eux. Le désir est parfois considérée comme positive car nous considérons l’objet désiré en tant que source de plaisir ou de satisfaction, le bonheur même, parfois considéré négativement comme une source de souffrance, une forme d’insatisfaction.
D’un point de vue psychologique, le désir est une tendance devenue consciente d’elle-même, qui est accompagnée par la représentation de l’objectif et souvent une volonté de mettre en œuvre les moyens pour atteindre cet objectif. Le désir est la nécessité de distinguer, en se référant à un manque et ce qui est utile pour le remplissage, et le besoin peut être impersonnelle, voire logique.
Le désir de vérité
Cette présentation de la doctrine épicurienne montre qu’il n’est pas facile de distinguer les vrais désirs. Épicurisme implique une insatisfaction fondamentale.Quel est donc le vrai désir de l’homme et la façon de répondre?
Pour Platon, ce désir est le désir de vérité et nous avons besoin pour répondre à se libérer de cette «mauvaise chose» est le corps. C’est ce désir que le désir contraires à la volonté suprême de faux, son seul but est spirituel et n’est pas destinée à satisfaire un «besoin» charnelle. faux désirs du corps sont celles qui perturbent l’âme, les empêchant d’atteindre la vérité et sont sources d’illusions.
Tous les philosophes ne condamne pas le désir, nous devons note en outre que si Platon condamne la volonté morale, elle reste une condition pour la spiritualisation des instincts qui passe à travers la philosophie et la politique et l’expression du désir de l’immortalité.
Mais peut-on aussi condamner catégoriquement le désir? Si la cause de nos actions, nous ne devrions pas faire, parce que ce serait l’essence de notre nature.
Anthropologie du désir. Partir des questions philosophiques.
Besoin et le désir
Le mystère de l’homme réside dans le fait qu’il ya deux dimensions de son désir:un animal, des objets procureur, des situations, des plaisirs pour la survie et la perpétuation de son organisme physique et de son génome (procréation), et une autre dimension, qui ne poursuit pas un objet mais un fantasme résultant de la confrontation entre le vécu intra-utérin mémorisé et vécu extra-utérine après naissance. Cette dimension, proprement humaine, subvertit la physique et animale en nous, ou sanctifiante ou diaboliser.
On peut d’abord élaborer une première distinction possible que le besoin peut être considéré comme un besoin naturel de l’ordre et même physiologique, c’est à dire ce qui a trait à la survie (comme la nourriture), tandis que le désir n’a pas nécessité caractère naturel, ce qui implique la futilité. Il est également la thèse trouve dans Epicure dans sa Lettre à Ménécée: il expose sa philosophie en effet mentionnée comme ayant une vie de plaisir grâce à la sélection des désirs en fonction de leur objectif. C’est à lui de discerner la capacité désire apporter le bonheur sans compromis; Il distingue les désirs naturels et nécessaires (manger, dormir …) et les désirs non naturels si vains (désir de richesse, l’immortalité, la gloire, l’amour …). Nous devons donc préserver les besoins naturels comme tous les autres sont vaines et futiles.Par cela, il répète la phrase stoïcien ‘se limiter à des désirs, vous pourrez satisfaire’ fondée sur la morale de la Grèce antique que l’homme devrait poursuivre la satisfaction de ses besoins et non pas celle de ses désirs. Le seul désir serait acceptable lorsque le désir de ne pas le désir, mais une telle conception réduirait quand l’homme dans l’état de l’animal.
L’objection majeure à une telle distinction serait de montrer comment le rejet du désir comme tel serait réduire l’homme à un certain animal. Pour cela, il est donc nécessaire de montrer que si la volonté n’y a pas de nécessité naturelle, il peut encore être impérativité (si j’ai un désir d’amour pour Miss Jones et elle me rejette, puis la dépression). De même, il est clair que le besoin n’est pas seulement naturel (vous pouvez également besoin d’une voiture ou un stylo) que l’objet du besoin est définie par sa fonctionnalité, c’est à dire son aptitude à n’importe quel but. Il est requis par la nécessité de remplir une fonction, c’est pourquoi le sujet est dans le besoin de solution de rechange adéquate, il n’est pas déterminé dans sa singularité. Alors que le lui le désir, est dans un but précis et non substituable (je veux que Marie-Pier Gauthier et personne d’autre).
Le but d’un besoin procède donc d’une fonction que je vise à travers elle, alors que l’objet du désir est quelque chose d’autre que lui-même (si je veux un verre de Riesling, c’est parce que je suis un petit alsacien et cela me rappelle ma jeunesse) . Donc, il ya le désir d’une représentation symbolique de l’objet, c’est pourquoi il est vraiment humain. Alors que dans le besoin, c’est d’avoir l’objet à sa fonctionnalité, le désir, l’objet est visé parce qu’il doit être la distinction object.This peut être établi entre la publicité et la publicité: alors que les publicités étaient destinées à créer un besoin d’avoir ce ou tel objet pour sa fonctionnalité (il vante les mérites d’une voiture car il est plus efficace), la publicité montre aux gens que l’idéal est de s’identifier à travers la consommation (il est d’acheter une belle voiture pour être un homme riche et beau qui incarnent la réussite sociale).
Nous voyons tellement une dichotomie entre le besoin et le désir n’est pas si évidente et est en effet une réflexion sur le sens qui leur est attribué. Pourtant, le désir est l’essence de l’homme en ce qu’il représente un ordre symbolique lui-même. Elle montrera que Freud, pour qui le désir reste le désir d’un objet, mais un mode téléologique symbolique.En d’autres termes, l’objet désiré est souhaitable, car elle représente quelque chose d’inconsciemment qu’il auparavant lived.The Pleasure Principle (satisfaction des désirs la plus directe) est différée par le principe de réalité à travers un détournement symbolique. Le désir est, par conséquent, Freud a toujours le désir de trouver satisfaction avant et il arrive que la première de ces satisfactions est la fusion de l’expérience avec la mère.
La répétition, le désir, le fantasme en psychanalyse
Prenons le cas d’un besoin, un besoin d’abord: il suit la satisfaction de la douleur ressentie, la première réunion. Lorsque l’individu sera à nouveau l’expérience à ce besoin, la mémoire émerger simultanément la satisfaction une fois réalisé. Le désir est tourné vers le passé, l’individu veut le rétablissement de la satisfaction qu’il a obtenu pour la première fois. Il s’engage émotionnellement, et la nécessité s’ourle une profondeur psychologique. Il est ce nouveau compte de la nécessité que ce désir ne peut pas être complètement rempli, et nous sommes condamnés à l’insatisfaction perpétuelle: si la douleur peut être réduit si nécessaire, comme cela s’est déjà produit une fois, rien ne peut venir calmer cet investissement affectif créé à partir de zéro.
manque Désir, et non pas dans la psychanalyse
Nous voyons très bien, qui est décrit dans le désir est donc la jouissance, c’est à dire une présence immédiate, une complétude que Lacan, après Freud, intitulé The Thing (das Ding), c’est à dire celle qui peut être nommé. L’homme qui parle, son désir ne peut être fait sur le mode symbolique de la langue, donc il ne peut jamais atteindre l’objet de sa jouissance en d’autres termes, parce que son mandat est sur les objets phénoménaux qui ne sont pas à proprement parler l’objet du désir ( objet), elle ne peut être confronté à l’insatisfaction. Mais cette insatisfaction peut alors redémarrer le désir chez l’homme, c’est-à-dire que si c’était quelque chose que nous pourrions en profiter, il n’y aurait pas de désir. La jouissance est bien décrite dans le désir, mais il reste insaisissable, mieux encore, interdit.
Chose est en effet une lacune qui rend chaque objet est insatisfaisant. Ainsi, après la jouissance de chaque objet, le désir est reconstituée à l’autre par la dynamique qui rend la chose, il est entre deux objets de désir, ces deux objets ne peuvent être «appelé», il est interdit. Ce vide impénétrable de La Chose, ce manque perpétuel est constitutive du désir.
Il est également en place pour ce vide insatisfaisant Platon l’illusion du Souverain Bien, perdant ainsi de vue la question aporétique dialogues socratiques dont la conclusion est toujours la connaissance du non-savoir (c.-à-vide). Pour les dialogues de Platon sont en fait pas la négation pure, ils sont certainement un moyen de se débarrasser des idées fausses, mais seulement à rechercher la connaissance. Le dialogue est conçu selon un schéma linéaire qui doit aboutir à la connaissance du Bien suprême.
Qu’est-ce qui nous manque? ? Quel est cet objet perdu et absolument fatale Pourquoi, comme le dit Lacan, «nous nous heurtons à un signifiant qui signifie« sans jamais trouver une réponse à la question «pour ce que signifiait psychologie donne trois réponses qui se chevauchent plus ou moins:
Dans tous les cas, nous ne pouvons ignorer la complicité de structure entre le désir et maintenu interdite. Les exemples incluent La Barbe Bleue, de Perrault pourquoi la femme de Barbe-Bleue, elle prend le risque de décès pour ouvrir la chambre interdite, mais parce que c’est interdit? Pour les psychanalystes, l’interdiction sert à tromper l’inconscient, en leur faisant croire que quelque chose a une valeur. Mieux: il peut réprimer l’intuition que c’est précisément le désir n’a pas d’objet. Cela a forcé à distance causée par l’interdiction, interdire la tromperie par la dissuasion simple.Nous restons dans une relation de fantaisie vis-à-vis de l’objet.
Il ya une citation peu connue d’un auteur aussi célèbre philosophe de l’école stoïcienne: Épictète
‘Je ne veux pas que cela dépend de vous», le [Manuel d’Épictète], il suffit que l’homme désire disposer, et donc il peut atteindre la plénitude et l’ataraxie. S’il parvient à errer dans la quête de l’impossible quand il est devenu la vraie liberté, la liberté qui résulte de la connaissance de ce qui dépend de lui et ce qui ne dépend pas de l’acceptation de l’ordre mondial.
Le désir mimétique de René Girard
L’exemple familier à tous, proposée par René Girard, les enfants qui sont en concurrence pour des jouets semblables en quantité suffisante, conduit à la reconnaissance du fait que la base du désir n’est ni le sujet ni le sujet, mais qu’il est toujours imitation d’un autre désir. Le désir est mimétique. C’est la convergence des désirs qui définit l’objet qui déclenche une dynamique et mimétique que Girard décrit: le début de la rivalité, la transformation du modèle du désir dans un obstacle ou une entrave à la poursuite de ce qui est le signe le plus sûr et mesurer la valeur de notre désir , etc. Pour René Girard, le désir a un caractère métaphysique.C’est l ‘«être» le modèle qui est demandé: «Tout désir est un désir d’être’
La Rochefoucauld, a averti: ‘Il ya des gens qui n’ont jamais été amoureux s’ils n’avaient jamais entendu parler de l’amour.’ (N ° Réflexions et maximes ou des jugements moraux 136). Il est évident (même si nous devons rester vigilants à toute réduction) que nous vivons nos sentiments de façon mimétique. Pour Rousseau, la volonté est né avec l’état civil, l’état de la société: l’état de nature que l’homme a des besoins. Ce rapprochement avec d’autres, qui m’a inculqué l’amour de soi, l’amour d’une certaine image de moi est un autre constituant de cette image.
Le désir est, ne pas négliger désir de l’autre. Qu’est-ce que mais il ya dans l’amour? Le sentiment de l’amour même? Les autres? Nous-mêmes? Le désir d’autrui consiste à la fois le désir de l’autre comme une personne, et je souhaite que les autres wants.Sartre définit la séduction comme le désir de saisir, afin de déterminer la liberté d’autrui. Maintenant, on voit immédiatement que c’est une impossibilité dans les termes. Je ne veux pas un robot comme moi librement … C’est tout le débat philosophique entre les partisans et ceux de la sincérité et la loyauté. Mais une réflexion plus approfondie peut nous conduire à l’idée que les deux concepts peuvent être redéfinis pour ne plus être contradictoires.
La métaphysique platonicienne du désir
Pour Platon, le désir est une demi-connaissance. L’insatisfaction radicale, l’incapacité de trouver l’objet du désir est de nous faire comprendre qu’il ya un autre monde, et que ce que nous voulons, c’est cet autre monde. Nous trouvons la distinction platonicienne entre le monde sensible (celui des apparences, éphémère et changeant) et dans le monde intelligible (la vérité absolue, à laquelle on accède par le philosophique et métaphysique).
Le sentiment d’incomplétude qui nous laisse sans cesse le désir s’explique par le mythe de l’androgyne. Surtout, il ne devrait pas être immédiatement féroce avec les mythes, ils peuvent aussi refléter un manque de connaissances (mythes infrarationnels, la superstition) que les concepts qui la raison ne connaît pas exprimer (c’est précisément ce que prétend être le mythe de l’androgyne, en expliquant cette métaphore lancinante impression d’incomplétude).
Autrefois, il y avait trois sexes: masculin, féminin, et androgyne. Il s’agissait de la fusion d’un corps masculin et un corps de femme à deux têtes, un cou parfaitement rond, quatre bras, quatre jambes. Ils pouvaient marcher vite, par une sorte de roue améliorée.Un jour, certains ont voulu escalader le mont Olympe pour prendre la place des dieux, mais vous ne jouez pas avec les dieux, et Zeus (Jupiter) les a punis en les séparant physiquement, ce qui les rend demi-humains, qui ne pensent qu’à trouver leur moitié , et une fois trouvé, à plus d’un train avec son corps.
Dans le système de Platon, le désir est la réalisation de la Vérité dans sa sensibilité, la beauté, la «dialectique de l’amour’: un beau corps, je viens à aimer les beaux corps et des âmes belles et nobles actions (coïncidence Fair / Good), alors les valeurs qui sont derrière, et je reconstitue enfin le cheminement intellectuel qui m’a conduit à ces valeurs (belle coïncidence / bien / True).
Le désir est si belle est mobilisé à l’Absolu, le monde intelligible. Pourtant, son statut reste ambigu: l’élan est freiné ambitieux jamais, notre volonté de toujours s’accrocher sur les objets sensibles, l’imparfait, inapte à satisfaire. C’est une dynamique arrêté. D’où notre intérêt, peut-être, de purifier cette dynamique, à réfléchir sur notre relation avec notre désir.
problème moral du désir
Le désir implique un manque de sensibilisation qui se traduit par notre imperfection.En outre, ils sont des moralistes mettent souvent l’accent sur le caractère douloureux du désir et de son aspect illimité quand il se réfère constamment à de nouveaux objets. Le bonheur réside dans le fait que la non-satisfaction des désirs.
désir et être
Le désir est souvent considéré comme le «quoi» de ce que le sujet perçoit et ressent. Ainsi, le désir est synonyme, est une fonction de l’être. En effet, on ne peut pas exister sans l’autre. Une véritable harmonie, développe une symbiose entre ces deux termes, qui à la base, sont plus très éloignés les uns envers les autres. Enfin, être, ou peut-être pas une insertion facile dans le domaine de la définition de la notion: le désir.