Causes suicide
Oui, si le patient était toujours au courant de la mort et ne subissait pas une illusion qu’il avait caché un vide. Dans le cas contraire, la mort n’est pas un suicide, mais un accident dû à la distraction.
Entre ce suicide extrême et noble, à l’ancienne, où la clarté de l’individu est totale (Socrates), couvre une vaste zone où le suicide n’est pas un acte involontaire ou d’un acte de liberté.
La motivation semble risible si elle n’est pas, au moins une durée de validité très temporaire: il est une douleur qui pourrait être rapidement surmonté, un ennui passager, la dépression qui aurait dû rester sans conséquence.
Passionné par le suicide, il ya une sorte d’aberration. La mort n’est pas clairement conçu comme une perte permanente, la cessation de toute vie. Nous tuerons d’améliorer, d’impressionner la famille et les amis, le punir, jouissant d’une sorte de plaisir posthume de sa stupeur.
Certains suicides sont lucides, celle de l’homme qui veut éviter une trop grande souffrance physique ou mentale ou le sacrifice d’un être cher, le héros qui met sa cause devant sa propre vie.
Les suicides sont plus fréquents dans certains pays économiquement et intellectuellement développés que dans les pays où sévit la pauvreté.
La religion chrétienne, malgré les interdictions qu’elle contient à cet égard ne parvient pas toujours à empêcher les croyants de la pulsion suicidaire.
Si l’industrialisation semble parfois provoquer une légère augmentation du taux de suicide, cette augmentation est plus évidente chez les transplantés la main-d’œuvre.
Dans les pays développés, qui publient des statistiques utiles, le suicide représente environ 1% de tous les décès (1,3% aux Etats-Unis). Il ya un suicide pour huit à dix tentatives.
Le taux de suicide augmente avec l’âge. Le sort des personnes âgées peut expliquer le mouvement ascendant de la courbe des suicides à l’âge 60.We savons aussi que la retraite prend parfois le goût de la vie individuelle.
Le caractère pathologique du suicide est indiqué pour certains psychiatres, le fait que les malades mentaux de se suicider que les gens sains d’esprit.
Parfois, le suicide psychotiques n’est pas une preuve de la folie, mais apparaît plutôt comme le résultat d’un éclair de raison. Waking de son délire et la découverte de l’horreur, le malade mental à la recherche d’un chemin vers la mort.
Journaliste et propriétaire du journal, Jean-Louis Servan-Schreiber a toujours été attiré par la psychologie.Auteur de nombreux ouvrages, il a réussi à combiner ses deux passions à travers le magazine Psychologies.
Même si le sujet n’est pas drôle, il est bon que la prochaine Journée nationale de prévention du suicide, Février 5, souligne l’urgence d’agir contre ce fléau, responsable cette année de 800.000 décès dans le monde, y compris 12 000 dans France.Meanwhile, deux nouvelles que nous donnent à penser une réflexion nuancée sur cet acte de désespoir, mais parfois, la sagesse. Les révélations de ‘Libération’ du 5 Janvier Claire Quillot, qui s’est suicidé avec son mari Roger (ex-maire de Clermont-Ferrand) en Juillet, l’accent sur l’élégance, Roméo et Juliette pour le troisième âge d’un choix de départ commun. Le ‘Manifeste des 132’, publié le 12 Janvier dernier, avec ‘France-Soir a revendiqué le droit’ d’aider une personne à accomplir sa volonté de mourir si elle a été exprimé à plusieurs reprises en pleine conscience et de lucidité. ‘
On peut très bien imaginer que ceux qui demandent que tout soit tenté pour prévenir le suicide des jeunes (principale cause de décès chez les 25-34 ans) font également valoir pour le droit, à la fin, de choisir sa sortie digne. Bien que, quand il s’agit de vie ou de mort, toute généralisation est dangereuse. Quillot Claire, qui a «échoué», exprime plus le moindre désir de mourir.En ce qui concerne l’euthanasie, il soulève complexités juridiques et éthiques, telles que le débat doit être mené avec sérénité. Mais il faut, sous peine de maintenir un statu quo qui prolonge la souffrance de ceux qui ne peuvent pas se permettre de savoir comment obtenir les médicaments nécessaires ou qui ne sont pas entourés par des personnes compétentes et l’amour.
Pas d’hésitation, cependant, à renforcer la lutte contre la principale cause de son désir de mourir, de la dépression. Car, selon l’OMS., 60% des suicides ont résulté de cette maladie. Et aujourd’hui, entre une personne sur dix et un sur vingt peut être menacée par une dépression dans leur vie. La France est parmi les pays les plus touchés avec environ 16% de la population «à risque de dépression», contre 9% en Allemagne et 5% aux États-Unis. Les antidépresseurs sont des traitements plus efficaces et mieux connu, mais souvent jeunes et inexpérimentés parents avant les premières manifestations d’un état dépressif.Vigilance d’une part, la compassion sur la other.Faced avec ce que Camus considérait comme la principale question philosophique, il peut y avoir que des réponses singulières .
En fait, personne ne choisit d’être né! Notre société est de plus en plus malade, et pourquoi nous sommes obligés de vouloir vivre dans ce monde de plus en plus malades …Il est très important de parler des causes de suicides et de comprendre la maladie de la société, essayer de pousser au changement, de guérir.
Suicide (suicidium latine du verbe sui caedere ‘de se tuer) est l’acte délibéré de mettre fin à ses propres life.In le domaine médical, également connu sous le nom d’autolyse (du grec-αὐτο / auto-« soi »et λύσις / Lusis’ destruction ‘) ou TS (tentative de suicide).
Dire que nous sommes en présence d’un suicide, la mort doit être l’intention de l’acte et non pas seulement ses conséquences. Un attentat-suicide, par exemple, être considérés comme étant plus d’un terroriste ou un martyr, selon la personne qui parle, c’est du suicide. Alors que le suicide a des conséquences juridiques, il doit généralement être prouvé qu’il avait l’intention et la mort de l’acte de se qualifier en tant que telle en vertu de la loi.
Le suicide est un acte complexe, nous ne pouvons pas prétendre approcher avec une seule discipline. Donc quand on parle de suicide, il est nécessaire d’utiliser plusieurs domaines comme la médecine, la psychopathologie, sociologie, anthropologie, philosophie, théologie, histoire …
Modélisation du comportement suicidaire
Le stress de sensibilité
Les auteurs commencent par les constatations suivantes: 90% des victimes de suicide a souffert d’un trouble psychiatrique au moment de la mort, mais de nombreux patients psychiatriques ne sont pas les tentatives de suicide. Un diagnostic psychiatrique est une condition nécessaire mais pas suffisante pour se suicider. Il est donc nécessaire d’identifier les facteurs de risque de suicide en dehors du diagnostic psychiatrique.
Une tentative de suicide antérieure est le meilleur prédicteur de tentatives de suicide avenir, mais seulement 20 à 30% des patients qui se suicident ont fait des tentatives de suicide antérieures. Un premier résultat important est que les patients qui tentent de se suicider ne diffèrent pas significativement de ceux qui ne sont pas en termes de sévérité de la psychopathologie aiguë. Cela va contre la sagesse conventionnelle telle que la gravité des symptômes prédispose au suicide.
Par contre, l’intensité de l’idéation suicidaire est un facteur de risque de passage à l’acte. Dans le risque de suicide, la maladie se produit par des paramètres longitudinaux:
Le modèle dit du processus suicidaire
C’est le modèle qui a été retenu par le travail de l’INSERM sur le suicide. Il est possible d’observer un processus suicidaire chez l’individu avant l’acte. Les personnes suicidaires ont une faiblesse (facteurs de risque accumulés) qui prédisposent à réagir de façon inappropriée lors de situations stressantes. Toute perte (par exemple la perte d’un ami (e) (s) ou le deuil d’un proche) déclenche le processus. Une période de dépression suite à la perte, le stade de la crise se développe. L’état de crise peut être accompagné d’idéations passagères qui se transformeront en rumination, puis cristallisation (formation d’un plan spécifique pour agir: où, quand, comment) Pour atteindre la tentative planifiée. Dans la plupart des cas, le suicide n’est pas un acte impulsif, mais plutôt un acte prémédité qui résulte d’un processus bien défini. Cela permet une intervention spécifique est possible à chaque personne stage.A participé à un individu suicidaire doit être attentive aux signes associés à chaque phase du processus.
Cette connaissance particulière semble être corrélée à un déficit des fonctions exécutives en particulier les difficultés à élaborer des stratégies pour prendre des décisions comme l’a montré dans une étude récente. Enfin, nous dirons quelques mots sur la neurobiologie du suicide.La ligne est régulièrement constaté un dysfonctionnement du système sérotoninergique car elle se traduit par une diminution de la concentration urinaire de la sérotonine, ou de ses métabolites dans le liquide céphalo-rachidien, ou une diminution de la liaison de la sérotonine dans le cortex frontal. Pour un examen détaillé, nous pouvons voir la neurobiologie du suicide et de suicide.
Philosophie et suicide
Le suicide est perçu très différemment en évoquant la philosophie. Il peut être considéré comme un acte suprême de liberté ou une option de faiblesse et de renoncement ou de sacrifice.
Le point de vue contraire, le suicide est en contraste avec l’humanité. En effet, la mort fait partie de la nature. Se tuer, ce qui lui refusant la nature et l’objet à elle. Il est loin de son humanité.
Pour Platon, qui était un croyant, la mort est la propriété des dieux et le destin qui a coupé le fil de la vie. Pour Platon, se suicider, c’est donc aller contre la volonté des Dieux …
Paul Valéry dans Tel Quel, dit que le suicide est généralement due à l’incapacité de retirer sa victime dans son idée lui causant des douleurs, c’est pourquoi nous croyons qu’il ne peut pas se terminer par sa propre vie.
Jean-Jacques Delfour, le suicide peut ne veux pas mourir, en ignorant ce qu’est la mort, dans le sens où il n’a pas l’expérience.Suicide, car il n’ya qu’une seule façon de mettre fin à la souffrance. Toutefois, si elles fin à leurs souffrances, ils ont également fin à la suppression de cette souffrance et ne sont donc pas, et la liberté que l’on a sur sa vie, le pouvoir de tuer, disparaît avec la vie elle-même, donc il n’ya pas possibilité de les exercer. Pour lui, il n’ya rien de tel que le suicide, mais une attaque de l’organisme pour lequel rien n’est venu interrompre le processus mortel.
Une perspective historique sur le suicide
Dans l’Empire romain, il était de coutume que près de l’empereur désirant mettre fin à ses jours à la demande d’autorisation préalable à celle-ci. Nous trouvons par exemple l’illustration dans les Mémoires d’Hadrien (qui est une fiction solidement documentée de Marguerite Yourcenar).
Dans l’Antiquité, le suicide était commis après une défaite dans une bataille pour éviter la capture et possible torture, les mutilations, l’esclavage ou par l’ennemi. Ainsi, au cours de la seconde guerre punique, carthaginoise Sophonisbe princesse s’empoisonna pour ne pas tomber entre les mains des Romains. Brutus et Cassius, les assassins de Jules César, se suicide après la défaite à la bataille de Philippi.Cleopatra VII, dernière reine d’Egypte, a également mis sa propre vie pour éviter d’être fait prisonnier à Rome.Les Juifs de Massada offrent un autre exemple en se suicidant en masse en 74 avant JC. AD pour échapper à l’esclavage par les Romains.
Dans la société romaine, le suicide était un moyen accepté par lequel ils ont pu conserver son honneur. Ceux qui ont été jugés pour les crimes capitaux, par exemple, pourrait empêcher la confiscation de propriétés et de la famille en se suicidant avant la condamnation par le tribunal. Il a ensuite noté ironiquement que Domitien, l’empereur romain, a montré sa compassion et de miséricorde sur l’amour de Dieu en permettant à un homme condamné de se suicider.
Dans la fin du XVIIIe siècle, Goethe publie Les Souffrances du jeune Werther (Die jungen Werther de Leiden), une histoire romantique où le jeune Werther se tue parce que son amour est inaccessible. Le roman est un réel succès et cause une vague de suicides en Allemagne. Le poète Alfred Alvarez publie une étude sur le suicide en littérature intitulée Le Dieu sauvage essai sur le suicide.
Jean Amery publie un livre en 1976 sur le suicide quand il défend la thèse que le suicide est la liberté ultime de l’humanité. Il se suicide deux ans plus tard.
Notez aussi le seppuku (hara-kiri communément appelé) samouraï qui, par l’honneur et le respect du Bushido, se sont suicidés pour éviter d’être fait prisonnier ou de restaurer l’honneur de leur famille ou du clan, suite à une faute.
point de vue anthropologique: les différences culturelles
Le suicide est considéré très différemment selon les cultures, que ce soit dans les sociétés occidentales, il a longtemps été considéré comme immoral et déshonorant, il est dans d’autres sociétés juste une façon de recouvrer l’honneur perdu.
En Asie, il existe des formes de suicide rituel que jauhar indiennes et du sati. seppuku japonais pour son suicide est perçu comme une façon honorable face à certaines situations perçues comme trop honteuses ou sans espoir.
La prévention du suicide
Le suicide est généralement annoncé, beaucoup de suicides tentent d’empêcher leurs proches et laissent une lettre d’adieu à expliquer leurs actions. Ces pensées sont prises au sérieux et si il ya un risque de tentative de suicide, nous devons parler ouvertement avec la personne afin de l’éviter. L’évocation de la mort avec une personne qui pose la question «Avez-vous pensé à la mort?’ N’est-ce pas suicidogène, mais permet au contraire montrer que vous comprenez la souffrance.Lorsque l’on parle, ne pas porter de jugement, nous pouvons essayer de lui faire souvenir de vieux problèmes et les stratégies qu’il a mis en œuvre pour les résoudre.