Agressivité enfant: encoprésie et agressivité
agressivité enfant
«D’abord, la chose importante est d’éviter toute approche simpliste du comportement antisocial de l’enfant, dit Pierre Delion, professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine de Lille II Nous devons rester très prudents..’ Pour des raisons évidentes, mais parfois négligé: les enfants sont de plus. Et les êtres qui passent à travers les étapes du développement sont essentiels, y compris l’agression, qui peut se transformer en violence, est une partie. Ce que Freud a appelé la «disposition polymorphe pervers.’ ‘Petit, environ 18 mois-2 ans, ont une façon naturelle d’être violents. De même, à l’adolescence, il ya la violence, une façon de s’opposer, ce qui n’est pas le même sens que la maladie’, a déclaré Maurice Berger (1), pédopsychiatre, chef de service à l’Hôpital de Saint-Etienne (Loire) et de l’enfant et spécialiste de la violence chez les adolescents.
Cependant, cette énergie doit être canalisée ces lecteurs, tant par les parents, la famille et society.But sans la présence de l’ancien, d’autres ont peu de chances de l’action. Qu’est-ce Maurice Berger appelle des «dispositifs de conteneurs, c’est-à-dire le partage de jeu (parents-adultes/enfants) et ne pas laisser le jeune homme à transformer son« sentiment de la violence acceptable.«C’est la fonction même de l’autorité, quand elle est considérée comme légitime et nécessaire par les parents et acceptée comme telle par les enfants.
(1.) Maurice Berger, auteur de Sommes-nous des enfants barbares? (Dunod, 2008).
Étant donné que ces «conteneurs» sont manquants ou endommagés, l’enfant est débordé par ses pulsions et des projets entre eux vers l’extérieur. Antoine Guedeney (2), chef de l’hôpital Bichat pédopsychiatrie à Paris, ‘lorsque l’enfant ne parvient pas à retourner dans le groupe social qui utilise la violence comme moyen de communication préféré est un signal d’alarme signal.An encore plus forte qu’elle est enracinée dans la répétition, dans les paroles de Maurice Berger, et le manque d’empathie. Le psychiatre a noté que les enfants présentant des signes de violence pathologique n’ont même pas accès à leur propre souffrance: ‘Ils n’ont pas rencontré l’empathie avec leurs parents, ils peuvent donc se sentir pour les autres.’
Quand on regarde de près à ces comportements violents, les structures familiales sont des agents pathogènes émergents. Sans exception. Par définition, la famille fait partie du problème pathogènes de l’enfant. Elle est incapable, sans un travail psychologique profond de devenir conscient de sa responsabilité. Perdu des proches, culturellement déracinés désocialisés …’Les cas les plus difficiles sont souvent là où les parents ne sont pas affectés par le doute, et jeter le blâme sur les autres – la société, les enseignants, les médecins – Maurice Berger observes.I récemment vu une mère à la sortie d’une consultation, a crié à son fils parce que son attitude a amené des ennuis pour cela. ‘
Dans une tentative d’agir, ‘il faut intervenir tôt, dit Pierre Delion. Mais j’insiste pour que les comportements violents chez les enfants ne signifie pas que la violence va se calmer. Antoine Guedeney, considérée à tort comme l’un des défenseurs de la détection précoce de la criminalité, a ajouté : «Il est important de ne pas banaliser le comportement agressif des jeunes enfants, ils expriment toujours une perturbation ou de détresse. Le dépistage bonne serait celle qui repose sur un réseau qui ne réduisent pas le statut de l’enfant violent, mais il ouvre au contraire, les portes de sortir de son souffrance.Joëlle Imberdis, aides à la réadaptation du réseau spécialisé pour les élèves en difficulté (Rased) dans l’Essonne, crie d’une «aide à la parentalité.’ Parce que les repères rassurants désintégrer (éclatement des structures familiales, la paupérisation accélérée, la détresse d’instruction des parents), les enfants sont de plus en plus violemment le désarroi de leurs parents.Selon elle, ‘les enfants sont les plus difficiles des enfants perturbés dans la relation précoce.’ Comme le pédiatre et psychanalyste anglais Donald W. Winnicott déjà déclaré: «Un comportement antisocial est parfois rien de plus qu’un SOS, le désir d’être réconforté par ces exploitations, l’amour et qui nous pouvons avoir confiance.’ C’est ce que les adultes ont besoin d’entendre.
(2.) Antoine Guedeney, co-auteur avec Nicole Guedeney de la Dédicace: concepts et applications (Masson, 2006).
Pour poster un commentaire, vous devez vous identifier ou créer un compte
Une étude révèle que les Français sont les champions du pessimisme. Et comment abordez-vous l’année 2011? Avec optimisme ou de pessimisme?
L’encoprésie est une forme d’incontinence fécale, présente chez un enfant de plus de 4 ans, qui aurait normalement le contrôle des sphincters.
Il peut être jour ou de nuit, parfois les deux. Encoprésie chez l’enfant doit être lié au fait de gérer l’agressivité.L’encoprésie enfant est anxieux, a faible tolérance à la frustration et immatures agressif, impulsif, trop ou trop contrôlé.
L’enfant est très dépendant de sa mère, il a une sensibilité accrue à la contrainte et a du mal à développer sa pensée.
Selon certains experts, le terme «encoprésie» peut également s’appliquer à l’égard d’une personne qui a perdu le contrôle de ses désirs de déféquer suite au fait qu’il conserve trop longtemps à faire.
« D’abord, la chose importante est d’éviter toute approche simpliste du comportement antisocial de l’enfant, dit Pierre Delion, professeur de psychiatrie à la Faculté de médecine de Lille II.We doit rester très prudent. ‘Pour des raisons évidentes, mais parfois négligé: les enfants sont de plus en Et les êtres qui passent à travers les étapes du développement sont essentiels, y compris l’agression, qui peut se transformer en violence, est une partie ce que Freud appelait le..« Disposition polymorphe pervers »« Petit,. environ 18 mois-2 ans, ont une façon naturelle d’être violent. De même, à l’adolescence, il ya la violence, une façon de s’opposer, ce qui n’est pas le même sens que la maladie ‘, a déclaré Maurice Berger (1), pédopsychiatre, chef de service à l’Hôpital de Saint-Etienne (Loire) et spécialiste des enfants et la violence chez les adolescents.