Violence à l école
violence à l école
Habituel festive et conviviale, l’alcool a souvent une image positive. Pourtant, pas moins de cinq millions de Français sont les agresseurs. Outre les dangers à long terme (cancer, cirrhose, etc.) Intoxication encourage un comportement agressif et irresponsable des risques prenant.
Depuis le milieu des années 60, la consommation annuelle d’alcool par habitant diminue en France. Toutefois, l’âge du premier verre d’alcool progresse. La découverte de l’alcool qui s’est tenue à 13 ans pour les garçons et 14 filles dans le cadre du rapport biennal de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) 2002. Dans les deux ans après leur expérience de leur première «cuite». A 17 ans, deux tiers des garçons et deux filles déclarent avoir été ivres au cours de leur vie, une proportion qui affecte près des trois quarts des adultes au cours des douze derniers mois.
La «désintégration» de l’alcool
Directeur de recherche à l’Institut national de la santé et la recherche médicale (INSERM), Marie Choquet trouvé en 1994 dans son étude nationale que parmi les jeunes violents, 21% consomment régulièrement de l’alcool contre 7% pour les non-violents. La consommation régulière concerne également 36% des racketteurs.
Boire et conduire, vous devez choisir!
Une étude menée en 1999 conjointement avec le CREDOC la sécurité routière et un groupe de compagnie d’assurance professionnelle a élaboré une typologie des jeunes par les comportements qu’ils adoptent face aux risques. Parmi les six catégories, les «hédonistes» et «déstabilisé» représentent 17% des jeunes interrogés. Ces «tous risques» se mettent en danger en raison de leur incapacité à se projeter dans l’avenir.
Possession d’un véhicule automobile de 91% et 88% des hédonique augmente déstabilisé la prise de risques dus à l’alcool chez ces jeunes. «Ils ne sont pas les seuls concerned.Alcohol les perd le sens de la mesure à tous ceux qui en abusent», dit Sylvie Donnadieu, médecin responsable de l’inspection scolaire du comté d’Evreux.
Selon le baromètre santé de l’Institut National de Prévention et éducation à la santé (INPES), 80% des personnes admettent à la conduite sous l’influence de l’alcool sont des hommes.
Boire et conduire, vous devez choisir!
Une étude menée en 1999 conjointement avec le CREDOC la sécurité routière et un groupe de compagnie d’assurance professionnelle a élaboré une typologie des jeunes par les comportements qu’ils adoptent face aux risques. Parmi les six catégories, les «hédonistes» et «déstabilisé» représentent 17% des jeunes interrogés.Ces «tous risques» se mettent en danger en raison de leur incapacité à se projeter dans l’avenir.
Possession d’un véhicule automobile de 91% et 88% des hédonique augmente déstabilisé la prise de risques dus à l’alcool chez ces jeunes. «Ils ne sont pas les seuls concerned.Alcohol les perd le sens de la mesure à tous ceux qui en abusent», dit Sylvie Donnadieu, médecin responsable de l’inspection scolaire du comté d’Evreux.
Selon le baromètre santé de l’Institut National de Prévention et éducation à la santé (INPES), 80% des personnes admettent à la conduite sous l’influence de l’alcool sont des hommes.
La «désintégration» de l’alcool
Directeur de recherche à l’Institut national de la santé et la recherche médicale (INSERM), Marie Choquet trouvé en 1994 dans son étude nationale que parmi les jeunes violents, 21% consomment régulièrement de l’alcool contre 7% pour les non-violents. La consommation régulière concerne également 36% des racketteurs.
Alcool = violence
La multiplicité des facteurs (hérédité, familiaux, socio-économiques, psychologiques …) ne permet pas d’isoler un lien de causalité unique entre l’abus d’alcool et les incidents de violence.Il n’y a cependant aucun doute que l’alcool facilite les passages à l’acte dans les cas de crimes sexuels et la violence physique en supprimant les inhibitions.
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