Sos violence
Les statistiques hospitalières montrent que la maltraitance des enfants représentaient 0,5% des hospitalisations pédiatriques. Selon Deschamps, un enfant de moins de 6 ans dans 150 victimes d’abus chaque année plus ou moins graves, soit 30 000 enfants par an en France …
Parfois, ce sont les services sociaux mis en garde par un voisin, un membre de la famille, une infirmière, etc … qui enquêtent et de trouver un enfant maltraité, hypotrophique, sales, couverts d’excréments, abandonné sans soins, sans nourriture, faible à l’arrière de un placard ou un sous-sol. Les tabloïds ne manquent pas de diffuser ces drames, photos à l’appui.L’enfant était alors hospitalisé pour l’évaluation et rétabli alors que le procès se poursuit et que les futurs investissements ouvre la variété à l’enfant.
Il ya des cas où un enfant a été abusé électivement tandis que ses frères et sœurs sont traités normalement et le restera même si le «bouc émissaire», l’objet de l’agression sélective, est enlevé à la famille.
L’attitude indifférente ou parents impatients envers l’enfant est déjà un élément de suspicion en particulier quand ils l’accusent de mauvais sentiments, sournoise ou malveillante.
La disparition de la maladie, améliorer l’état nutritionnel à l’hôpital, cette ‘tête hospitalisme» sont très suggestives que toutes les récidives observées lorsque le domicile de l’enfant revient.
Le comportement de l’enfant battu est particulier.
Il peut être triste, apathique, peur, esquivant des gestes de défense à chaque tentative d’approche ou, au contraire, trop facile, trop mou, s’accrochant indistinctement à toute personne entrant en contact avec lui.
Parfois, l’enfant, égaré, sans intérêt pour l’entourage, il ne peut ni rire, ni pleurer.Les troubles de l’alimentation sont fréquents: anorexie ou la boulimie. Il peut avoir l’apparence d’un arriéré mental.
L’accent est mis actuellement sur la détection des situations à risque dans le cycle de la vie familiale: divorce, la survenue d’une naissance non désirée, sa famille est revenue à un enfant en foyer nourricier, le déplacement, la perte d’emploi, psychiatriques crise familiale grave problème etc … et des lieux de rencontre et d’écoute aux parents désemparés sont mis en place: ‘SOS, Parents anonymes’, etc …
L’avenir des enfants maltraités
Les récidives après une hospitalisation est de 60%. Les conséquences sont nombreuses. Ils peuvent être physiques ou psychologiques. Des études ont montré, chez les enfants victimes de violence examinées après plusieurs années, de nombreux problèmes psychologiques: d’importantes difficultés émotionnelles à l’anxiété, la peur du rejet, l’instabilité, l’insomnie, les crises violentes, agressivité, opposition, retard de langage, énurésie, encoprésie, etc …
Souvent, ces enfants devenus parents eux-mêmes, sont à soumettre leur progéniture par le fatalisme social, éducatif et psychologique, le même type d’enseignement, fait de coups et de brutalité.
Radiographique
radiographies du squelette montrent de multiples fractures d’âges différents et négligés.Instantanés montrent souvent le décollement du périoste de l’os. Ces décollement périosté sont très évocateurs.
Les complications graves viscérale devraient être examinés comme des ruptures de la rate (échographie de l’abdomen) ou sous-dural hématome sous-dural hematomas.The, épanchement de sang entre le cerveau et le crâne, est secondaire à un coup sur la tête. Il est parfois fatale