Psychologue pour enfant
Psychologue pour enfant
Les statistiques hospitalières montrent que la maltraitance des enfants représentaient 0,5% des hospitalisations pédiatriques. Selon Deschamps, un enfant de moins de 6 ans dans 150 victimes d’abus chaque année plus ou moins graves, soit 30 000 enfants par an en France …
Les caractéristiques cliniques et sont parmi les nombreuses blessures que possible, nous voyons des ecchymoses et des hématomes de formes diverses et qui rappelle la topographie inhabituelle des boucles de ceinture, des traces d’un fouet, bâton, de ceinture, de poker, des bagues, des griffures ou morsures.
Ces saignements la peau et sous-cutanées sont à différents stades: bleu, vert et jaune indiquant que des coups successifs à des moments différents. Attribué ce stigmate d’une blessure accidentelle unique est un mensonge facile à recognize.We peut voir des traces de brûlures allumettes, des cigarettes ou des liquides chauds. Alopécie (chute des cheveux) se traduit par la compensation des cheveux brutale. Les larmes de la gencive fait en poussant la bouteille violemment dans la bouche ne sont pas rares. Les lésions génitales sont fréquentes.Les réactions des parents pour expliquer ces lésions sont souvent évasive, embarrassée, trompeuse, contradictoire. Parfois, ils se réfugient dans le silence, parfois, ils inventent des explications absurdes: le bébé tombé dans les escaliers, ils ont tendance à avoir des bleus, il ya une prédisposition à la fragilité osseuse dans la famille, etc … Ils peuvent aussi inventer l’accès étrange au cours de laquelle l’enfant aurait augmenté de cris stridents et serait devenu livide ou doux.
Une telle histoire peut guider le médecin à une ‘mort subite récupérée’ ou une convulsion et imposer un certain nombre d’examens complémentaires inutiles … La séparation temporaire du milieu familial de l’enfant sera bénéfique … cependant! L’enfant maltraité est habituellement, mais pas toujours, sales, négligés, infested.It est souvent vêtu de haillons. L’érythème fessier papuleuse et érosive démontre un manque flagrant d’hygiène.
Les maladies sont souvent associées à condition: SGA à prospérer en raison de la malnutrition et le manque d’affection et de stimulation, la malnutrition, le rachitisme, anémie hypochrome.
Surtout dans les classes sociales les plus défavorisées sont recrutés la plupart des enfants martyrisés. Le manque de ressources, le chômage, le logement exigu et surpeuplé, le déracinement, l’isolement au sein du groupe social sont souvent trouvés.L’instabilité des relations conjugales, les mères célibataires, les enfants de concubinage avec plusieurs lits successifs, les hospitalisations multiples et les placements d’enfants, les infirmières de la qualité clandestine pauvres, l’alcoolisme chronique, retard mental, la personnalité anormale des parents jouent un rôle important dans la genèse de ce fléau.
Parfois, ces cas sont plus difficiles à reconnaître, et le plus troublant, les parents se cacher derrière une façade que tout semble normal: les conditions socio-économiques, la structure familiale, comportement. Certaines enquêtes sociales montrent des ‘jeunes mères, beau et bon’, bien entretenu intérieur et les cavaliers, les «familles de charme, séjour dans un endroit propre et soigné.’
La «violence faite aux enfants» englobe en réalité plusieurs faits. Il ya des enfants battus et parfois gravement blessé, mais il a répété l’abus de mineurs, un traitement brusque, mais aussi «des coups sans se blesser», c’est-à-dire, la négligence dans les soins de première nécessité (nourriture, etc .. d’hygiène.) Moral ou psychologique abus, carences affectives, etc abus sexuels … en fait tous les cas où un adulte est invité à accomplir des actes de violence physique ou mentale de son enfant ou l’enfant d’un autre.
Nous avons tendance à aborder ces cas, la violence institutionnelle qui passent inaperçus:séparer un enfant de sa famille par les services sociaux quelle que soit la raison, être considéré comme enfant mentalement handicapé échec scolaire pour des raisons socio-économiques et culturels, la réglementation stricte de certaines institutions de l’endoctrinement politique et religieux, les carences affectives dans des maisons médico-éducatif ou de la famille , les scandales, complaisamment répandue dans la presse faim, trouvés dans les maisons des enfants où des instructeurs ou des administrateurs ont des personnalités franchement pathologiques, l’exploitation des enfants à des fins pornographiques, le tourisme sexuel (les enfants de Bangkok …) etc …
Il est rare que les parents à amener leur enfant blessé à l’hôpital, en disant: «Eh bien, je frappe un peu trop et depuis il ne fonctionne plus …’!
Cependant, il arrive surtout lorsque les parents sont apparemment heureux d’avoir un enfant mais qui, pour un instant, perdu leur sang-froid devant une bêtise plus ou moins véniel …
Parfois, ce sont les services sociaux mis en garde par un voisin, un membre de la famille, une infirmière, etc … qui enquêtent et de trouver un enfant maltraité, hypotrophique, sales, couverts d’excréments, abandonné sans soins, sans nourriture, faible à l’arrière de un placard ou un sous-sol. Les tabloïds ne manquent pas de diffuser ces drames, photos à l’appui.L’enfant était alors hospitalisé pour l’évaluation et rétabli alors que le procès se poursuit et que les futurs investissements ouvre la variété à l’enfant.
Il ya des cas où un enfant a été abusé électivement tandis que ses frères et sœurs sont traités normalement et le restera même si le «bouc émissaire», l’objet de l’agression sélective, est enlevé à la famille.
L’attitude indifférente ou parents impatients envers l’enfant est déjà un élément de suspicion en particulier quand ils l’accusent de mauvais sentiments, sournoise ou malveillante.
Duplication des accidents dans le même enfant oriente également le médecin pour être en mesure de passer une première explication plus ou moins plausibles.
La disparition de la maladie, améliorer l’état nutritionnel à l’hôpital, cette ‘tête hospitalisme» sont très suggestives que toutes les récidives observées lorsque le domicile de l’enfant revient.
Adaptations du rôle
Aujourd’hui, le rôle du psychologue est en mutation et de plus en plus complexes. Il faut créer des relations entre l’élève et de l’environnement, en établissant d’abord une équipe de l’école qui peut assurer l’éducation et le bien-être de l’élève et veiller à ce que les parents participent plus activement à l’éducation de leur enfant.Enfin, il doit veiller à la cohérence des différents professionnels de l’éducation à fournir des services appropriés aux jeunes et aux familles.
Les tâches du psychologue scolaire comprennent également des activités pour prévenir les difficultés d’intégration sociale et l’éducation de la jeunesse, ainsi que la promotion du bien-être. Le psychologue a plusieurs rôles qui sont variés. Il rend le dépistage, l’identification, et évalue les difficultés rencontrées par students.It effectue des interventions directes auprès des élèves ou des groupes dans le besoin. Il aide les élèves à comprendre leurs expériences et les aider à développer des attitudes et comportements qui favorisent le développement de leur personnalité, leurs relations sociales et la réussite scolaire. Le psychologue aide aussi à résoudre les problèmes du développement socio-affectif et intellectuel que les élèves peuvent rencontrer. Dans ces cas, il offre des conseils et un soutien aux enseignants et étudiants peuvent se référer à des ressources externes les mieux adaptées à leurs besoins. Enfin, il tente de promouvoir les compétences propices au développement harmonieux des élèves et favorise l’organisation physique et humaine de l’école pour le développement optimal du potentiel des élèves.
Rôle actuel
Selon le Dictionnaire du Grand de psychologie (Cambridge, 1999), les missions du psychologue scolaire sur la prévention des difficultés scolaires, l’élaboration et la mise en œuvre de projets éducatifs dans les écoles, l’évaluation des besoins individuels et placer le développement des mesures d’aide nécessaires, l’intégration des les enfants présentant certaines caractéristiques, l’intégration de la recherche et la participation à la formation pour diriger l’école.
Selon l’Association canadienne de psychologie (2002), le psychologue scolaire doit être présent pour défendre l’identification et l’intervention précoce pour améliorer la situation de certains jeunes et de réduire ainsi les conséquences les plus graves problèmes à long terme tels que des troubles d’apprentissage ou de comportement. Afin d’aider à la planification et la psychologue scolaire de formation procède à des évaluations psychologiques qui informent sur les styles cognitifs, d’apprentissage et de problèmes psychologiques, de santé mentale ou un comportement de students.It a également le mandat de travailler avec ces élèves, la gestion de l’école de leurs parents, les enseignants, et autres professionnels travaillant avec l’étudiant de développer des recommandations et des projets de plans d’intervention.Il conseille et soutient également les enseignants en ce qui concerne l’analyse des problèmes de gestion de classe des élèves, et la mise en œuvre de programmes spécifiques pour les élèves ayant des besoins spéciaux, tels que la douance. Quand on aborde les parents, il peut en informer le développement et l’apprentissage de leur enfant, y compris des conseils sur la gestion de ce problème et aider à la recherche d’organismes ou professionnels de l’extérieur. A l’intérieur de l’école, il est aussi une ressource dans le développement, la planification et l’évaluation des programmes de prévention et d’intervention adaptés aux clients et un psychologue des questions scolaires encountered.The entretient des relations plus professionnelles avec divers organismes et professionnels de l’extérieur pour fournir des services utiles aux étudiants.
Profession de psychologue scolaire
Québec
Le psychologue scolaire fait partie des services complémentaires qui font partie de l’éducation scolaire de base d’âge préscolaire et l’enseignement primaire et secondaire en vertu de la Loi sur l’éducation publique au Québec (Turcot-Lefort, 2001). Le psychologue de l’école doit être un membre de l’Ordre des psychologues du Québec et être employé par une commission scolaire.
Au cours de la dernière décennie, les compressions gouvernementales plusieurs ont été associées à une diminution du nombre de professionnels travaillant dans les écoles, y compris les psychologues (Turcotte-Lefort, 2001). Dans la même commission scolaire, il ya souvent beaucoup moins que les services fournis à l’école psychologists.Psychological divers établissements d’enseignement varient d’autres en fonction du nombre d’élèves, des classes spéciales et de la privation du milieu. En moyenne, un psychologue de l’école seront affectés à trois écoles (Brault, 2005a), mais cela peut varier selon les commissions scolaires. Ces professionnels se trouvent surchargés de travail et passent généralement plus de la moitié de leur temps à évaluer les enfants, en particulier dans l’évaluation intellectuelle (Gagné, 2005), au détriment d’autres tâches tout aussi importantes.
Malgré le manque de services psychologiques dans les écoles, le secteur de l’éducation est confronté à une pénurie alarmante de psychologues scolaires, en particulier depuis près de 20% d’entre eux prendront leur retraite dans 5 ans (Gagné, 2005). Les conditions de travail attirent un petit nombre de psychologues et peu sont formés spécifiquement pour intervention en milieu scolaire.
psychologue plaidoyer école professionnelle et la reconnaissance de cette profession dans le secteur de l’éducation sont fournis par l’Association québécoise des psychologues scolaires (AQPS), fondée en 1994.Il vise plus particulièrement à réunir les psychologues dont les intérêts ou rejoindre la psychologie du travail éducatif, pour promouvoir l’apprentissage tout au long de la transmission d’informations et d’échanges entre les membres grâce à l’organisation des services qui leur sont offertes, afin de promouvoir la profession et de faciliter l’accès du public et de soutenir la qualité de la pratique professionnelle fondées sur des normes professionnelles et scientifiques.
Pour se comporter
Même aujourd’hui, un comportement fréquent chez certaines personnes, c’est-à-dire: «Ne vous mêlez pas des affaires des autres!’. Ainsi, les cas graves de maltraitance d’enfants, plus ou moins connues ou suspectées par l’environnement immédiat sont détectés trop tard.
Le traitement est très difficile car il n’est pas tellement «punir» les parents qui les aident à surmonter leurs problèmes afin qu’ils puissent donner à l’enfant un environnement familial favorable à leur développement.
Les parents sont responsables d’abus peuvent être condamnés par la Cour pénale ou la cour d’assises et condamné à une amende ou d’emprisonnement, avec ou sans sursis. La privation de l’autorité parentale, la tutelle, les allocations familiales associées à des mesures d’assistance éducative sont d’autres solutions possibles.
parents intenter des poursuites devant le juge ne résout pas leurs problèmes, pas plus que l’enfant maltraité.Retirez l’enfant de la famille sans fournir un soutien aux parents est d’inviter les abus par un autre. Les parents doivent être protégés contre eux-mêmes et la plupart des experts, le comportement agressif de ces parents est un cri d’alarme, un signe de détresse, dont la société doit répondre. L’aide doit être personnalisée, durable, positive, ferme mais sans porter de jugement, plus éducative que répressive.
Les juges pour enfants ont de grandes difficultés à la maltraitance des enfants. Ils peuvent avoir besoin de prendre des décisions urgentes sans avoir eu le temps de rassembler toutes les informations. Ils doivent répondre à de multiples pressions des voisins, le directeur de l’école, les autorités municipales, la presse etc … qui ne voient aucune alternative au retrait immédiat de l’enfant. Ils doivent aussi apprendre à contrôler leurs propres réactions et leur désir d’être rassuré par un investissement sûr.
La prévention repose sur l’amélioration des conditions de logement, la lutte contre l’alcoolisme, la contraception empêche les grossesses non désirées, l’avortement, l’amélioration des structures de soutien social.