Mythomanie: pseudologie fantastique
Mythomanie
L’hallucination est un trouble psychiatrique de la perception, qui s’impose à la conscience du patient, qui est accompagné par une conviction inébranlable, qui est difficile étant donné le médecin en raison d’une réticence du patient.
Neurologie chez le patient qui a des hallucinations et la perception sensorielle de la personnalité et la structure mentale normale: il a une attitude critique, il a été surpris ou se plaignent spontanément de ses hallucinations.
En psychiatrie, cependant, hallucination appartient au domaine de la croyance inébranlable que l’illusion défie toute logique et toute attitude critique.
Psychose hallucinatoire chronique chez l’homme commence entre 30 et 40 ans plus tard chez les femmes vers 50 ans. Dans les mois précédant, il ya souvent un événement déclencheur: difficultés professionnelles, économiques, maladie, divorce, deuil …
Les hallucinations psychiques ou pseudo-délires
Se distingue facilement de l’illusion de l’hallucination, qui est une perception déformée d’un objet réel, et l’interprétation, qui est une erreur de jugement sur les perceptions exactes.
fabulation est une production imaginaire de l’esprit, des mots ou des actions (par exemple) ne sont pas adaptées à la situation (le fait).Il est de mauvaise foi, parce que le conteur veut tromper.
La mythomanie est une altération de la vérité, mais le menteur pathologique nie la vérité, il utilise le mensonge et la mauvaise foi de tromper les autres et donner une image positive de lui-même.
On connaît peu la mythomanie: des œuvres qui traitent ne sont pas légions et rarement accessibles au grand public. Donc, nous utilisons ce terme pour désigner de manière incorrecte, par exemple, se vantant de celui qui entend désormais ses exploits sportifs imaginaire, son rendement au travail inexistant. Ou la tendance de certains à embellir la réalité pour se rendre plus attrayant pour d’autres, plus ils friendly.But, à la différence du menteur pathologique vrai, savent qu’ils mentent et sont prêts à admettre. Ce n’est pas le cas de Jeanne.
En outre, aucun expert n’est en mesure d’évaluer le degré de lucidité de menteur pathologique. Nous avons tous des fantasmes ‘mégalomane’ qui nous permettent de protéger notre narcissisme, l’estime de soi, face à des revers. Une fois un échec nous met le moral au plus bas, un résultat immédiat devant nous: l’imagination.Nous nous considérons comme des bienfaiteurs de l’humanité, sauver des gens en détresse, et d’attirer l’admiration de tous, ou des membres d’une famille riche, un clan plus intéressant que le nôtre. Ce sont précisément les images de nos mégalomanes scénarios les plus courants qui véhiculent les fabrications de mythomanes.
Mais généralement, nous savons que nos fantasmes ne sont que des fantasmes, et nous les gardons pour nous (sauf, de temps en temps, quand nous voulons à comparaître, un personnage dont le visage nous cherchons admiration). Ce n’est pas le cas de menteur pathologique, qui à son tour, ne voit pas de déclin.
Le lynchage n’est pas légale; mythomanie n’est pas une question de conscience individuelle, un seuil de groupe potentiellement schizophrène (communautés, groupes, groupes, équipes (même sous le stress)) est calculé pour déterminer la propension à la délinquance relativement myhtomanie. Ensuite, une délégation d’associativité et relatif aux privilèges appropriation conduit à des aberrations schizophrénie et par classes sociales.Mais dans ce cas ce sont les groupes mythomanie interpolations, et la présence d’un Archange est démontrable.
Mythomanie, également connu sous le pseudologie fantastique est un terme utilisé chez les psychiatres propension compulsive à mentir.Le terme a été inventé en 1905 par le psychiatre Ernest Dupré, entre autres décrire une caractéristique de l’hystérie. Il a souligné une tendance par quelques questions constitutionnelles à altérer la vérité, de mentir, de créer des fables imaginaires (fables), et enfin à imiter les Etats organique il a vu que des simulations anormale, d’où le lien à l’hystérie.
On peut distinguer l’enfant mythomanie, que Dupré avait décrit en détail et qui était censé évoluer plus ou moins naturellement à une meilleure compréhension de la réalité, et mythomanie chez les adultes peuvent se joindre à l’hystérie, les névroses d’autres, les perversions, ou même la psychose.
En psychiatrie, et sauf pour Dupre, la mythomanie est rarement considérée comme un symptôme isolé de sorte que le concept est le plus souvent traitée en association avec d’autres troubles à laquelle il est associé.