La violence familiale
la violence familiale
Parfois, ces cas sont plus difficiles à reconnaître, et le plus troublant, les parents se cacher derrière une façade que tout semble normal: les conditions socio-économiques, la structure familiale, comportement. Certaines enquêtes sociales montrent des ‘jeunes mères, beau et bon’, bien entretenu intérieur et les cavaliers, les «familles de charme, séjour dans un endroit propre et soigné.’
La «violence faite aux enfants» englobe en réalité plusieurs faits. Il ya des enfants battus et parfois gravement blessé, mais il a répété l’abus de mineurs, un traitement brusque, mais aussi «des coups sans se blesser», c’est-à-dire, la négligence dans les soins de première nécessité (nourriture, etc .. d’hygiène.) Moral ou psychologique abus, carences affectives, etc abus sexuels … en fait tous les cas où un adulte est invité à accomplir des actes de violence physique ou mentale de son enfant ou l’enfant d’un autre.
Nous avons tendance à aborder ces cas, la violence institutionnelle qui passent inaperçus:séparer un enfant de sa famille par les services sociaux quelle que soit la raison, être considéré comme enfant mentalement handicapé échec scolaire pour des raisons socio-économiques et culturels, la réglementation stricte de certaines institutions de l’endoctrinement politique et religieux, les carences affectives dans des maisons médico-éducatif ou de la famille , les scandales, complaisamment répandue dans la presse faim, trouvés dans les maisons des enfants où des instructeurs ou des administrateurs ont des personnalités franchement pathologiques, l’exploitation des enfants à des fins pornographiques, le tourisme sexuel (les enfants de Bangkok …) etc …
Les homicides entre conjoints
Les homicides entre conjoints représentent environ 20% des homicides au Canada, les trois quarts des victimes étant des femmes (12% des homicides). Une étude aux États-Unis a montré que dans les homicides entre conjoints, il y avait autant de victimes de sexe masculin (maricide) que de femmes (uxoricide), et seulement 60% des décès chez les hommes, la femme se défendait de son mari violent.
En France a été publié en 2006 par l’Observatoire national de la délinquance, une étude sur ‘les éléments de mesures de la violence domestique.’ Il a été calculé pour l’année 2004, 25 hommes et 162 femmes tuées par un conjoint ou le concubin. [3].
Une étude menée par la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur en 2008 et rendu public par le secrétaire d’Etat à la Solidarité, les chiffres pour l’année 2007, que 192 homicides ont été commis au sein du couple, dont 86% des victimes étaient des femmes. Cette étude a mis en évidence que: – la majorité des homicides sont survenus dans les couples dont l’état matrimonial est établi. – La séparation est le principal motif d’acting out (35%). – Cette violence dans la famille conduit à des dommages collatéraux. Ainsi, un jeune enfant a été tué par son père avec sa mère. – Bien que la violence affecte toutes les classes sociales, les faits ont été commis le plus souvent dans les couples où un des deux partenaires ne travaillent pas ou plus. [4].
La violence domestique contre les hommes
En 1977, le sociologue américain Suzanne Steinmetz crée le concept de «mari battu», plus tard remplacé par un «homme battu».Dans une étude 1980 (Behind Closed Doors – Violence dans la famille américaine), y compris une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Selon eux, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes qui utilisent des armes à feu peuvent causer des blessures graves. Suzanne Steinmetz a écrit: «Le crime le plus sous-estimé n’est pas une femme battue, mais le mari battu.’
Dans le monde francophone, plusieurs enquêtes sur la victimisation sont compatibles avec l’équivalence quantitative de la violence domestique. Pour le Canada, c’est le cas de l’ESG, menée en 1999 et 2004. En Suisse, où une enquête auprès des enseignants de l’Institut de Fribourg famille Bodenmann Guy et Barbara Gabriel, 2002. Ils conduisent à des évaluations similaires: 1 à 2% des victimes pour chaque sexe dans l’année précédant l’enquête.
Une série de témoignages sont disponibles dans la thèse d’une travailleuse sociale suisse, Sophie Torrent, intitulée L’Homme battu, [2], et la cause de l’humanité Patrick Guillot.
En France, les Français sondage BVA / L’Express en Juin 2005, demandant aux hommes les mêmes questions sur la violence psychologique que celles posées aux femmes interrogées ENVEFF, les mêmes résultats.
La première enquête de qualité de la vie et la sécurité de l’OND, couvrant les années 2005-2006 et publié en 2007, estimée à 0,7% la proportion des hommes victimes de violence, soit l’équivalent de la population à 120.000. La même enquête pour 2007-2008, le estimée 110.000 ou 0,4%. Et, pour 2009 (un an), de nouveau à 0,4% ou 78 000.
Pour 2007, la gendarmerie de 2317 reconnaît les faits établis de la violence domestique contre les hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, parce que la police ne sont malheureusement pas en mesure de fournir le nombre de ses propres. Ce chiffre est bien inférieur au montant réel de la violence, parce que la plupart de ces hommes n’osent pas se plaindre, pour plusieurs raisons: les services de soutien, telles que 3919, ont été officiellement présentés comme réservés aux femmes, ils ont peur ne pas être cru ou d’être ridicule; ils ont peur de subir une demande reconventionnelle de la part de leur conjointe, qui sera donné de la crédibilité beaucoup plus grande, craignant de provoquer une séparation de conflit, ce qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d’obtenir la résidence principale.
Malheureusement, un certain nombre d’actes de violence graves commis par les pères contre les mères dans les couples qui vivent un divorce ne sont pas comptés comme «violence conjugale».Il s’agit notamment de fausses accusations de violence physique ou sexuelle contre les enfants, le crime de non-représentation d’enfants très peu sanctionnée en France quand le fait d’un parent, d’aliénation parentale des enfants, rendant le déménagement de visite difficile à longue distance du père.
D’autres cas de violence fait aux hommes fréquentes sont représentées par de fausses accusations de viol ou d’agression sexuelle à des fins de vengeance ou causés par la culpabilité d’avoir cédé à une sollicitation sexuelle.
Statistiques
France
Depuis les années 2000, plusieurs enquêtes nationales ont tenté de dresser un portrait statistique de la violence conjugale en France, mais seulement pour les femmes victimes. Une femme sur 10 ont déclaré avoir été victime de «violences domestiques», selon l’enquête nationale sur la violence contre les femmes en France (ENVFF), 2000)).
La méthodologie de cette enquête sur la victimisation a été critiquée, notamment par Marcela Iacub, Hervé Le Bras et Elisabeth Badinter. Premier examen: L’enquête ajoute conduite objectivement (physique) et du comportement non-objective (violence psychologique), qui sont mesurées sur une fantaisie très. Deuxième critique: seules les femmes sont interrogées, qui par définition élimine toute possibilité d’évaluer le nombre d’hommes victimes de violence.
Alors qu’au Canada, Enquête sociale générale (ESG) a évalué les victimes des deux sexes à partir de 1999 en France, ce n’est qu’en 2007 qu’une évaluation quantitative des hommes victimes de violence a été produite d’abord par l’Observatoire national de la délinquance (OND), 110 000.
Selon l’Étude nationale des décès au sein du couple, a conduit la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur, 156 femmes et 27 hommes ont été tués en 2008 par leur compagnon. Ainsi:
Pour 2007, la violence domestique est 47 500 $ de plus que les faits constatés par la police et de gendarmerie, selon l’Observatoire national de la délinquance – n ° Wide 14 – Juillet 2008.
Enfin, selon une étude commandée par le ministère du Genre, «coût» de la violence domestique en France s’élèverait à 2006, à 1 milliard d’euros (frais de santé, police, justice, logement, prestations sociales, les humains, la perte de [la production nationale http / /] www.femmes-egalite.gouv.fr).
Étude de l’OMS
Une étude menée par l’Organisation mondiale de la santé, basée sur des entretiens avec 24.000 personnes dans 10 pays, montre une prévalence de la violence familiale varient selon le site entre 15 et 70% des femmes interrogées.
Dans ce cas aussi, il est regrettable que les concepteurs de l’enquête n’ont pas jugé bon d’interroger les hommes, et il a officiellement pour des raisons de coût. Les hommes sont aussi victimes de violence dans de nombreux pays du tiers monde que dans les pays occidentaux.
Les femmes qui souffrent le plus dans la violence dans le couple (psychologiques, verbales, économiques, agressions physiques et violences sexuelles). Ils sont victimes de mâles immatures, troubles de la personnalité égocentrique ou sévère («Nous reconnaissons ici les aspects dynamiques ou mégalomane paranoïaque, en faveur du droit dans leur approche à l’autre.’) [Rapport du Dr Coutanceau – Ministère de la cohésion sociale – 2006] Pour certains, la violence est ‘normal’ de réponse à ce qu’ils considèrent comme une «désobéissance», ils ont vu leur père frapper leur mère, ont une tolérance minimale à la frustration, ne savent pas résoudre les conflits et sont donc naturels de frapper leur partenaire.
Très souvent, les femmes ont peur de dénoncer cette violence par peur de représailles sur les enfants du couple: ils se sentent coupables et responsables de l’échec du couple et de la situation de violence. Ils craignent aussi des indigents étant, si elles ne sont pas financièrement indépendants. Tous ces facteurs rendent cette situation persiste, malgré les soins sociaux et à la police.
Outre la violence physique, demeurent la violence morale, la privation de liberté (emprisonnement, les enlèvements, etc.) La privation d’autonomie (confiscation des revenus, voiture, etc.) Volonté de l’aliénation (l’aliénation économique, administrative, etc.) Etc .
Il est important de noter que la violence conjugale touche toutes les activités socio-culturelles, y compris les plus défavorisés intellectuellement comme le montre le cas Trintignant-Bertrand Cantat Marie.
Bibliographie:
La violence domestique est la violence au sein du couple. C’est un processus évolutif au cours duquel un partenaire exerce, dans le cadre d’une relation privilégiée, de domination s’exprime par l’agression physique, violence psychologique, sexuelle, économique ou spiritual.Domestic a de graves conséquences pour les victimes et pour leurs enfants.
Aide aux victimes de violence conjugale: Modification
Mais malgré ces efforts de pionniers, la réalité de cette violence n’est pas mieux reçu. La prolifération des centres d’écoute ou d’accueil spécialisé aura lieu à l’octroi de subventions du gouvernement (à continuer, au mieux, pour mener à bien leurs activités d’assistance et de prévention), à la fin des années 1980.