La délinquance des jeunes
La délinquance des jeunes
Pour une application de la loi seulement?
Suite à cette intervention du Premier ministre, l’Association nationale des travailleurs des toxicomanies (ANIT) a déclaré que de nombreuses questions restent en suspens: le niveau de sanction, système commun application de la loi avec soin, la prévention … Selon l’ANIT, de nombreuses actions de prévention, de soins et de réduction des risques sont maintenant en difficulté pour des raisons budgétaires (délégations de crédit incomplètes, gels ou manque flagrant de connaissances par les soins en établissement de leur année de base 2003, etc.).
Enfin, par son président François Hervé, elle craint que le débat public sur l’usage de drogues se concentrer principalement sur la répression de l’usage au détriment de la prévention, aux soins et réduire les risques.
Les fuites sur un rapport soumis à la Mildt Matignon, des déclarations assez vagues … Il est loin d’être une révision debate.The public réel de la loi pourrait être un projet de loi propre à moins qu’il soit inclus dans le projet de loi sur la santé publique ou la lutte contre la criminalité si le gouvernement favorise la vitesse.
Quand ils passent au tribunal pour mineurs, les mineurs délinquants et les parents ne parviennent pas au cœur de leur problème: la relation avec la loi, dit le magistrat. Un moment fort qui doit leur donner une chance, permettant à chacun de trouver sa place.juge des enfants pendant quinze ans, conseiller à la Cour d’appel de Paris, Rapporteur de la Mission interministérielle pour la prévention et le traitement de la délinquance juvénile, Philippe Chaillou est l’auteur de violence chez les jeunes, la question de l’autorité parentale (Gallimard, 1996).
Les actes de violence plus graves délinquants de plus en plus jeunes – âgés de 11 ou 12 ans parfois – au ralenti, faute de références symboliques … Que faire pour les générations futures ne sont pas victimes de nos renoncements successifs des adultes? Philippe Chaillou questions.Because ils sont là, ces jeunes est en effet de notre responsabilité », dit le magistrat:« La délinquance juvénile est nouveau le résultat d’un manque de repères. ‘
Philippe Chaillou: Tout d’abord, je suis réservé sur la démission mot, parce qu’il implique quelque chose de volontaire, l’ordre d’un abandon délibéré. La réalité est plus complexe. Une démission ‘,’ je préfère ‘désarroi’. Un certain nombre de ces parents ne savent pas comment.Ils ont subi les excès d’une psychologie mal compris – des phrases telles que ‘ne dis pas non à un enfant’ ont fait des ravages, de leur vie les oblige à passer moins de temps avec leurs enfants, sans oublier les problèmes qui peuvent découler de la culture, et de faire des certains, l’exercice de l’autorité parentale plus difficile.
Récemment, un père d’origine africaine qui avait gardé une conception un petit village de cette autorité, m’a dit: ‘C’est vrai que j’ai laissé mon fils couché dans le bas de l’immeuble, mais je pensais que c’était une bêtise, un adulte a mis en sa place. ‘ Nous nous trouvons en face de parents désemparés face à leur rôle, leur position d’autorité. Et je ne peux pas entendre le mot autorité au sens d ‘«autoritarisme». ‘Autorité’ vient de ‘l’auteur’. Les parents sont les auteurs de leurs enfants, sont ceux qui ont la légitimité qui doit avoir de crédit et d’influence, et c’est à eux que les enfants doivent avoir du respect.
C’est la loi qui accorde l’autorité parentale pour les parents, et il est prévu que, s’ils ne l’exercent pas en conformité avec la mission qui leur est confié, la société peut intervenir, y compris par le tribunal des mineurs dans la procédure d’assistance éducative.Le tribunal de la jeunesse a le pouvoir d’ordonner des mesures d’assistance éducative «si la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur non émancipé sont en danger ou si les conditions de son éducation sont gravement compromises» (article 375 du Code civil). Il est ainsi possible, sans porter atteinte à l’autorité parentale, le contrôle de l’exercice que font les parents de leur autorité sur l’enfant et réagir en conséquence. Concrètement, il s’agit de la protection des enfants en aidant les pères et les mères dans leur mission éducative. Justice a un rôle d’aider chacun à trouver sa place.
États-Unis
Comme dans le reste des États-Unis, la criminalité et la délinquance a diminué depuis le début des années 1990 à New York. Cette diminution est en cours d’exécution avec les politiques du maire Rudolph Giuliani, entre 1993 et 1998.Pendant cette période, le nombre de meurtres par an a diminué de plus de trois.
Maintenance des interdits et l’ampleur des sanctions
Le premier ministre a commencé son discours sur le cannabis d’un ton sérieux: «Nous sommes face à un très grave problème de santé publique (…) Entre le silence et la prison, il doit dire la vérité.’ En bref, le maintien de l’interdiction a été réaffirmée ‘décriminalisation oublie de dire la vérité à la vérité personnes.Les jeunes est pour eux un affaiblissement grave de personnel et donc je pense vraiment que, outre les fumeurs occasionnels, il faut dire qu’il ya la danger d’habitude (…) Je soutiens ce qui est de maintenir l’interdiction, mais je ne suis pas pour la traite des fumeurs de cannabis que de fumer du crack. Je veux une échelle des peines. ‘
Jean-Pierre Raffarin s’est engagé à ‘réformer la loi de 1970 pour graduer la peine et veiller à ce que la loi est appliquée. Les jeunes, quand ils disaient que c’était la prison pour le cannabis, ils ne croient pas. A peine doit être crédible être efficace. ‘
Les différentes sanctions, cependant, restent vagues pour les fumeurs: «Le tabagisme primaire n’a rien à voir avec le fait que le tabagisme et l’autre qui trafique et il devrait être en prison et les plus forts.Pour la première cigarette un billet modeste. On peut supposer que ‘modeste’ ne comprend pas les amendes de catégorie 5, mais le débat entre le ministère de la Santé et la procédure pourrait se poursuivre. En outre, rien n’a filtré à travers des mesures en cas de récidive.
Néanmoins, le premier ministre a dit que fumer du cannabis devrait être considéré comme une circonstance aggravante pour les infractions routières et les actes de violence. Dans le même temps que la réforme de la présente loi, une campagne de prévention à grande est prévu.
Prévention de la Délinquance
Né en 1992, le Forum européen pour la Sécurité Urbaine, le Forum français pour la sécurité urbaine rassemble plus de cent trente autorités locales. Il est dirigé par un Comité exécutif de vingt et un membres élus représentant des sensibilités politiques et de la diversité des zones urbaines Forum France.l française pour la Sécurité Urbaine dit lui-même dans les principes de la Charte sur la démocratie et de la sécurité ‘. Pour cela, il appelle à le renforcement du rôle des autorités locales et les élus locaux et de présenter sa politique de sécurité repose sur trois piliers:. prévention, la répression et la solidarité