Violences familiales
pédiatre américain et le radiologue Silverman décrit en 1953 dans le cadre de signes radiologiques de fractures négligées de différents âges et chez les jeunes enfants. Par abus de langage, appelé «syndrome de Silverman,’ le syndrome de l’enfant battu.
Les statistiques hospitalières montrent que la maltraitance des enfants représentaient 0,5% des hospitalisations pédiatriques. Selon Deschamps, un enfant de moins de 6 ans dans 150 victimes d’abus chaque année plus ou moins graves, soit 30 000 enfants par an en France …
Les caractéristiques cliniques et sont parmi les nombreuses blessures que possible, nous voyons des ecchymoses et des hématomes de formes diverses et qui rappelle la topographie inhabituelle des boucles de ceinture, des traces d’un fouet, bâton, de ceinture, de poker, des bagues, des griffures ou morsures.
Ces saignements la peau et sous-cutanées sont à différents stades: bleu, vert et jaune indiquant que des coups successifs à des moments différents. Attribué ce stigmate d’une blessure accidentelle unique est un mensonge facile à recognize.We peut voir des traces de brûlures allumettes, des cigarettes ou des liquides chauds. Alopécie (chute des cheveux) se traduit par la compensation des cheveux brutale. Les larmes de la gencive fait en poussant la bouteille violemment dans la bouche ne sont pas rares. Les lésions génitales sont fréquentes.Les réactions des parents pour expliquer ces lésions sont souvent évasive, embarrassée, trompeuse, contradictoire. Parfois, ils se réfugient dans le silence, parfois, ils inventent des explications absurdes: le bébé tombé dans les escaliers, ils ont tendance à avoir des bleus, il ya une prédisposition à la fragilité osseuse dans la famille, etc … Ils peuvent aussi inventer l’accès étrange au cours de laquelle l’enfant aurait augmenté de cris stridents et serait devenu livide ou doux.
Une telle histoire peut guider le médecin à une ‘mort subite récupérée’ ou une convulsion et imposer un certain nombre d’examens complémentaires inutiles … La séparation temporaire du milieu familial de l’enfant sera bénéfique … cependant! L’enfant maltraité est habituellement, mais pas toujours, sales, négligés, infested.It est souvent vêtu de haillons. L’érythème fessier papuleuse et érosive démontre un manque flagrant d’hygiène.
Les maladies sont souvent associées à condition: SGA à prospérer en raison de la malnutrition et le manque d’affection et de stimulation, la malnutrition, le rachitisme, anémie hypochrome.
Surtout dans les classes sociales les plus défavorisées sont recrutés la plupart des enfants martyrisés. Le manque de ressources, le chômage, le logement exigu et surpeuplé, le déracinement, l’isolement au sein du groupe social sont souvent trouvés.L’instabilité des relations conjugales, les mères célibataires, les enfants de concubinage avec plusieurs lits successifs, les hospitalisations multiples et les placements d’enfants, les infirmières de la qualité clandestine pauvres, l’alcoolisme chronique, retard mental, la personnalité anormale des parents jouent un rôle important dans la genèse de ce fléau.
Parfois, ces cas sont plus difficiles à reconnaître, et le plus troublant, les parents se cacher derrière une façade que tout semble normal: les conditions socio-économiques, la structure familiale, comportement. Certaines enquêtes sociales montrent des ‘jeunes mères, beau et bon’, bien entretenu intérieur et les cavaliers, les «familles de charme, séjour dans un endroit propre et soigné.’
La «violence faite aux enfants» englobe en réalité plusieurs faits. Il ya des enfants battus et parfois gravement blessé, mais il a répété l’abus de mineurs, un traitement brusque, mais aussi «des coups sans se blesser», c’est-à-dire, la négligence dans les soins de première nécessité (nourriture, etc .. d’hygiène.) Moral ou psychologique abus, carences affectives, etc abus sexuels … en fait tous les cas où un adulte est invité à accomplir des actes de violence physique ou mentale de son enfant ou l’enfant d’un autre.
Nous avons tendance à aborder ces cas, la violence institutionnelle qui passent inaperçus:séparer un enfant de sa famille par les services sociaux quelle que soit la raison, être considéré comme enfant mentalement handicapé échec scolaire pour des raisons socio-économiques et culturels, la réglementation stricte de certaines institutions de l’endoctrinement politique et religieux, les carences affectives dans des maisons médico-éducatif ou de la famille , les scandales, complaisamment répandue dans la presse faim, trouvés dans les maisons des enfants où des instructeurs ou des administrateurs ont des personnalités franchement pathologiques, l’exploitation des enfants à des fins pornographiques, le tourisme sexuel (les enfants de Bangkok …) etc …
Il est rare que les parents à amener leur enfant blessé à l’hôpital, en disant: «Eh bien, je frappe un peu trop et depuis il ne fonctionne plus …’!
Cependant, il arrive surtout lorsque les parents sont apparemment heureux d’avoir un enfant mais qui, pour un instant, perdu leur sang-froid devant une bêtise plus ou moins véniel …
Parfois, ce sont les services sociaux mis en garde par un voisin, un membre de la famille, une infirmière, etc … qui enquêtent et de trouver un enfant maltraité, hypotrophique, sales, couverts d’excréments, abandonné sans soins, sans nourriture, faible à l’arrière de un placard ou un sous-sol. Les tabloïds ne manquent pas de diffuser ces drames, photos à l’appui.L’enfant était alors hospitalisé pour l’évaluation et rétabli alors que le procès se poursuit et que les futurs investissements ouvre la variété à l’enfant.
Il ya des cas où un enfant a été abusé électivement tandis que ses frères et sœurs sont traités normalement et le restera même si le «bouc émissaire», l’objet de l’agression sélective, est enlevé à la famille.
L’attitude indifférente ou parents impatients envers l’enfant est déjà un élément de suspicion en particulier quand ils l’accusent de mauvais sentiments, sournoise ou malveillante.
Duplication des accidents dans le même enfant oriente également le médecin pour être en mesure de passer une première explication plus ou moins plausibles.
La disparition de la maladie, améliorer l’état nutritionnel à l’hôpital, cette ‘tête hospitalisme» sont très suggestives que toutes les récidives observées lorsque le domicile de l’enfant revient.
Statistiques
France
Depuis les années 2000, plusieurs enquêtes nationales ont tenté de dresser un portrait statistique de la violence conjugale en France, mais seulement pour les femmes victimes. Une femme sur 10 ont déclaré avoir été victime de «violences domestiques», selon l’enquête nationale sur la violence contre les femmes en France (ENVFF), 2000)).
La méthodologie de cette enquête sur la victimisation a été critiquée, notamment par Marcela Iacub, Hervé Le Bras et Elisabeth Badinter. Premier examen: L’enquête ajoute conduite objectivement (physique) et du comportement non-objective (violence psychologique), qui sont mesurées sur une fantaisie très. Deuxième critique: seules les femmes sont interrogées, qui par définition élimine toute possibilité d’évaluer le nombre d’hommes victimes de violence.
Alors qu’au Canada, Enquête sociale générale (ESG) a évalué les victimes des deux sexes à partir de 1999 en France, ce n’est qu’en 2007 qu’une évaluation quantitative des hommes victimes de violence a été produite d’abord par l’Observatoire national de la délinquance (OND), 110 000.
Selon l’Étude nationale des décès au sein du couple, a conduit la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur, 156 femmes et 27 hommes ont été tués en 2008 par leur compagnon. Ainsi:
Pour 2007, la violence domestique est 47 500 $ de plus que les faits constatés par la police et de gendarmerie, selon l’Observatoire national de la délinquance – n ° Wide 14 – Juillet 2008.
Enfin, selon une étude commandée par le ministère du Genre, «coût» de la violence domestique en France s’élèverait à 2006, à 1 milliard d’euros (frais de santé, police, justice, logement, prestations sociales, les humains, la perte de [la production nationale http / /] www.femmes-egalite.gouv.fr).
Étude de l’OMS
Une étude menée par l’Organisation mondiale de la santé, basée sur des entretiens avec 24.000 personnes dans 10 pays, montre une prévalence de la violence familiale varient selon le site entre 15 et 70% des femmes interrogées.
Dans ce cas aussi, il est regrettable que les concepteurs de l’enquête n’ont pas jugé bon d’interroger les hommes, et il a officiellement pour des raisons de coût. Les hommes sont aussi victimes de violence dans de nombreux pays du tiers monde que dans les pays occidentaux.
Les femmes qui souffrent le plus dans la violence dans le couple (psychologiques, verbales, économiques, agressions physiques et violences sexuelles). Ils sont victimes de mâles immatures, troubles de la personnalité égocentrique ou sévère («Nous reconnaissons ici les aspects dynamiques ou mégalomane paranoïaque, en faveur du droit dans leur approche à l’autre.’) [Rapport du DrCoutanceau – Ministère de la cohésion sociale – 2006] Pour certains, la violence est ‘normal’ réponse à ce qu’ils considèrent comme un «refus d’obéir’ Ils ont vu leur père frapper leur mère, ont une tolérance minimale à la frustration, ne savent pas résoudre les conflits et sont donc naturel de frapper leur partenaire.
Très souvent, les femmes ont peur de dénoncer cette violence par peur de représailles sur les enfants du couple: ils se sentent coupables et responsables de l’échec du couple et de la situation de violence. Ils craignent aussi des indigents étant, si elles ne sont pas financièrement indépendants. Tous ces facteurs rendent cette situation persiste, malgré les soins sociaux et à la police.
Outre la violence physique, demeurent la violence morale, la privation de liberté (emprisonnement, les enlèvements, etc.) La privation d’autonomie (confiscation des revenus, voiture, etc.) Volonté de l’aliénation (l’aliénation économique, administrative, etc.) Etc .
Il est important de noter que la violence conjugale touche toutes les activités socio-culturelles, y compris les plus défavorisés intellectuellement comme le montre le cas Trintignant-Bertrand Cantat Marie.
Les homicides entre conjoints
Les homicides entre conjoints représentent environ 20% des homicides au Canada, les trois quarts des victimes étant des femmes (12% des homicides).Une étude aux États-Unis a montré que dans les homicides entre conjoints, il y avait autant de victimes de sexe masculin (maricide) que de femmes (uxoricide), et seulement 60% des décès chez les hommes, la femme se défendait de son mari violent.
En France a été publié en 2006 par l’Observatoire national de la délinquance, une étude sur ‘les éléments de mesures de la violence domestique.’ Il a été calculé pour l’année 2004, 25 hommes et 162 femmes tuées par un conjoint ou le concubin. [3].
Une étude menée par la délégation aux victimes du ministère de l’Intérieur en 2008 et rendu public par le secrétaire d’Etat à la Solidarité, les chiffres pour l’année 2007, que 192 homicides ont été commis au sein du couple, dont 86% des victimes étaient des femmes. Cette étude a mis en évidence que: – la majorité des homicides sont survenus dans les couples dont l’état matrimonial est établi .- La séparation est le principal motif d’acting out (35%). – Cette violence dans la famille conduit à des dommages collatéraux. Ainsi, un jeune enfant a été tué par son père avec sa mère. – Bien que la violence affecte toutes les classes sociales, les faits ont été commis le plus souvent dans les couples où un des deux partenaires ne travaillent pas ou plus. [4].
Pour se comporter
Même aujourd’hui, un comportement fréquent chez certaines personnes, c’est-à-dire: «Ne vous mêlez pas des affaires des autres!’. Ainsi, les cas graves de maltraitance d’enfants, plus ou moins connues ou suspectées par l’environnement immédiat sont détectés trop tard.
Le traitement est très difficile car il n’est pas tellement «punir» les parents qui les aident à surmonter leurs problèmes afin qu’ils puissent donner à l’enfant un environnement familial favorable à leur développement.
Les parents sont responsables d’abus peuvent être condamnés par la Cour pénale ou la cour d’assises et condamné à une amende ou d’emprisonnement, avec ou sans sursis. La privation de l’autorité parentale, la tutelle, les allocations familiales associées à des mesures d’assistance éducative sont d’autres solutions possibles.
parents intenter des poursuites devant le juge ne résout pas leurs problèmes, pas plus que l’enfant maltraité. Retirez l’enfant de la famille sans fournir un soutien aux parents est d’inviter les abus par un autre. Les parents doivent être protégés contre eux-mêmes et la plupart des experts, le comportement agressif de ces parents est un cri d’alarme, un signe de détresse, dont la société doit répondre. L’aide doit être personnalisée, durable, positive, ferme mais sans porter de jugement, plus éducative que répressive.
Les juges pour enfants ont de grandes difficultés à la maltraitance des enfants. Ils peuvent avoir besoin de prendre des décisions urgentes sans avoir eu le temps de rassembler toutes les information.They doit répondre à de multiples pressions des voisins, le directeur de l’école, les autorités municipales, la presse etc … qui ne voient aucune alternative au retrait immédiat de l’enfant. Ils doivent aussi apprendre à contrôler leurs propres réactions et leur désir d’être rassuré par un investissement sûr.
La prévention repose sur l’amélioration des conditions de logement, la lutte contre l’alcoolisme, la contraception empêche les grossesses non désirées, l’avortement, l’amélioration des structures de soutien social.
Combattre la violence domestique
Il faut distinguer entre les actions à court terme en période de conflit aigu et la prévention de la substance. Prévention de la substance recommandons la gamme des approches de bon sens ou ajusté par la psychologie qui contribue à la santé relationnelle du couple. Faut-il rappeler que la colère, la violence ou la passivité sont deux façons de signifier l’incapacité de fonctionner? Précautions en cas de stress entre les partenaires suggère notamment la médiation, le retrait temporaire des partenaires, la résolution d’autres aspects aiguë dans la vie des individus ou des couples .La thérapie de couple peut aider à identifier les causes de la relation emballement qui conduit à la violence psychologique ou physique. Les approches sont multiples: l’analyse transactionnelle, communication non-violente, approche comportementale, etc.
Aide aux victimes de violence conjugale: Modification
Mais malgré ces efforts de pionniers, la réalité de cette violence n’est pas mieux reçu. La prolifération des centres d’écoute ou d’accueil spécialisé aura lieu à l’octroi de subventions du gouvernement (à continuer, au mieux, pour mener à bien leurs activités d’assistance et de prévention), à la fin des années 1980.
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