Violence
- Sommaire:
- 1 violence
- 2 Types de violence
- 3 Boire et conduire, vous devez choisir!
- 4 Légitimité et points de vue éthiques
- 5 La violence interpersonnelle
- 6 Références
violence
Habituel festive et conviviale, l’alcool a souvent une image positive. Pourtant, pas moins de cinq millions de Français sont les agresseurs. Outre les dangers à long terme (cancer, cirrhose, etc.) Intoxication encourage un comportement agressif et irresponsable des risques prenant.
Depuis le milieu des années 60, la consommation annuelle d’alcool par habitant diminue en France. Toutefois, l’âge du premier verre d’alcool progresse. La découverte de l’alcool qui s’est tenue à 13 ans pour les garçons et 14 filles dans le cadre du rapport biennal de l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) 2002. Dans les deux ans après leur expérience de leur première «cuite». A 17 ans, deux tiers des garçons et deux filles déclarent avoir été ivres au cours de leur vie, une proportion qui affecte près des trois quarts des adultes au cours des douze derniers mois.
Types de violence
Il existe plusieurs types de définitions violence.Their – parfois contradictoires – et continuent d’avoir varier selon les époques, de milieux, de lieux, sociaux, technologiques et ainsi de suite.
sont aussi d’autres types de violence à l’absence caractéristique apparente de conscience ou de volonté;
Boire et conduire, vous devez choisir!
Une étude menée en 1999 conjointement avec le CREDOC la sécurité routière et un groupe de compagnie d’assurance professionnelle a élaboré une typologie des jeunes par les comportements qu’ils adoptent face aux risques. Parmi les six catégories, les «hédonistes» et «déstabilisé» représentent 17% des jeunes interrogés. Ces «tous risques» se mettent en danger en raison de leur incapacité à se projeter dans l’avenir.
Possession d’un véhicule automobile de 91% et 88% des hédonique augmente déstabilisé la prise de risques dus à l’alcool chez ces jeunes. «Ils ne sont pas les seuls concerned.Alcohol les perd le sens de la mesure à tous ceux qui en abusent», dit Sylvie Donnadieu, médecin responsable de l’inspection scolaire du comté d’Evreux.
Selon le baromètre santé de l’Institut National de Prévention et éducation à la santé (INPES), 80% des personnes admettent à la conduite sous l’influence de l’alcool sont des hommes.
Légitimité et points de vue éthiques
L’utilisation de la force peut être légitime. La légitime défense est invoquée lorsque la victime de la violence par la force se défend. Un groupe de personnes (l’ethnicité, la classe sociale ou des membres d’une religion) peut agir violemment quand garantit l’idéologie, la foi ou d’autorité.
L’utilisation de la force ne peut être légitimé.Toutefois, les causes sont internes psychiques légalement invoquée pour décharger la responsabilité de l’auteur, auquel cas le traitement psychiatrique peut être requis. Crimes et délits de droit commun (vol qualifié, enlèvement), une réponse juridique est nécessaire.
Les motivations de la violence sont abordés dans les domaines scientifique, juridique, philosophique et politique. Dans l’approche de nombreux praticiens de la psychologie, le bien-être ou la droite (côté défense), la plupart des gens adoptent des comportements abusifs et / ou à la violence sont les sociopathie ou d’un problème social et / ou économique. D’autres approches, y compris l’éthologie appliquée à l’homme, et certains chercheurs (y compris Konrad Lorenz, et de nombreux comportementalistes) pense que les gens adoptent des comportements abusifs et / ou de violence ne sont pas nécessairement un manque de ressources, l’éducation, de l’émotion ou l’empathie (les séducteurs et les manipulateurs ne manquent pas souvent, ils font remarquer), mais par choix narcissique, en vertu du principe de plaisir et / ou plus de facilité et de la rentabilité. Les points de vue les plus extrêmes (qui se répètent régulièrement, malgré un tollé de la communauté scientifique) même dire que ces comportements seraient enregistrées et génétiquement inherited.Other spécialistes de l’éthologie humaine, tels que Boris Cyrulnik et cognitive, est admissible à ces points de vue et à rejeter toute génétiques héritage de la violence.Plusieurs experts en psychologie du développement tels que Richard Smith et Daniel Schechter a souligné l’importance des facteurs de risque multiples pour le développement de la violence, en particulier les interactions entre la biologie y compris les gènes et l’environnement familial.
Partie des prescriptions religieuses visant à maintenir la paix intérieure, de la cohésion dans la communauté par la prévention ou ritualisation sa violence. Les prêtres entrent en scène lorsque la violence ou de troubles menacent soit en interne (guerre civile) ou externe (menace extérieure ou d’agression). Pour apaiser la ‘colère de dieu», la réponse sera la mise en œuvre d’un rituel violent: le sacrifice, humain ou animal, ou le recours à la guerre extérieure. Dans les deux cas, l’utilisation de la violence est considérée comme défensive, comme un moyen de se protéger contre de nouvelles violences pourraient détruire la community.René Girard a montré que le changement culturel menant à un religions universelles monothéistes, a été accompagnée par une évolution des rites sacrificiels des du concret à l’abstrait, qui deviennent de plus en plus symboliques, sans disparaître. Le christianisme, dans certains de ses textes originaux, n’abolit pas le sacrifice, mais qu’il appelle le «sacrifice de soi» comme alternative au sacrifice de l’autre.
La violence interpersonnelle
violence dans les relations interpersonnelles (. Patron / employé, parent / enfant, amis, collègues, etc) est un phénomène qui se manifeste sous de nombreuses formes: abus de pouvoir, agression physique, l’intimidation verbale, les menaces voilées, les insultes et les injures, les humiliations, etc. . Cette violence est liée à l’inférence avec violence dans le monde (institutionnel, structurel, systémique …), il est donc parfois plus ou moins liées directement, et parfois des échos réels ou feedback / retour de violence.In mondiale tous les cas, en fonction de l’enfant psychiatre et psychanalyste Daniel Schechter, violence dans les relations a des conséquences importantes pour les victimes et pour leurs enfants.
Références
Bibliographie