Suicide en prison
Il est légitime, Nadia, vous voulez protéger votre fille. Mais je ne pense pas que votre silence protège. Au contraire. Les enfants, en fait, toujours tout savoir. Et surtout ce que nous aimerions à cacher. Comment savent-ils? Probablement par une sorte de communication inconsciente avec leurs proches. Le processus est mystérieux, mais il vérifie tous les jours. Ils ont donc, les choses, un savoir inconscient.
Mais ils ont besoin que les adultes leur donner, en leur racontant l’autorisation de rendre conscient. Et donc à penser et à parler. Si il n’est pas possible, l’enfant est hors d’équilibre. Parce qu’il sait quelque chose (inconsciemment). Sachant (nouveau inconsciemment) qu’il ne devrait pas savoir. Et c’est pour lui une source d’angoisse.
Il convient donc de dire à votre fille de la vérité. Et je suis sûr qu’elle ne sera pas, comme vous le craignez, traumatisés. Son père, en effet, n’est pas devenu délinquant par hasard, mais à cause de ce qu’il experienced.If il était enfant, entouré par des adultes qui se respectent, le respect de la loi, et lui apprendre à lui enseigner le respect, il ne serait pas en prison aujourd’hui . Ce n’est pas un méchant, mais une victime de son histoire.
Votre fille devrait savoir. Elle peut continuer à l’amour et l’estime.Et maintiendra donc une meilleure image d’elle-même, et la confiance en vous qui vous aidera, au cours des années à construire en dépit de ces difficultés. Et il est important qu’il continue à communiquer avec lui parce qu’elle a besoin d’un père. Et un homme, même en prison, peut toujours, si vous utilisez, d’être un père. Et donner à ses enfants ce que ses parents ne l’avez pas en lui, étant donné.
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Résumé de la visite
Une étude révèle que les Français sont les champions de pessimism.And comment abordez-vous l’année 2011? Avec optimisme ou de pessimisme?
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Résumé de la visite
les prisons françaises (191 établissements à partir du 1er Janvier 2010) sont des lieux de détention géré par l’administration pénitentiaire au ministère de la Justice depuis 1911. Le rôle de la prison en France est de punir les auteurs, pour protéger la société contre les individus dangereux, et mettre en œuvre leur réinsertion.
Le maintien des liens familiaux
Les détenus peuvent recevoir des visites de leurs proches ou des amis dans «salons». Il est parfois difficile pour des parents ou amis pour obtenir un permis de visiteur ‘(de la tête de la prison ou le juge). Les temps d’attente peut être de plusieurs mois.
Les visites des familles sont surveillés par des superviseurs. Sur le renvoi, les salons de 30 à 60 dernières minutes et sont ouverts pour la plupart sur les lieux de détention et les pénitenciers weekdays.In, ils peuvent durer jusqu’à 3 heures et sont pour la plupart ouverts le week-end et les jours fériés.
Les relations sexuelles sont interdites entre les détenus et leurs proches. Depuis 2003, les «salons intimes’ (unités de vie familiale, UVF) ont été testés dans trois écoles (Poissy, Saint Martin de Ré et Rennes). Seules les personnes purgeant de longues peines (les institutions concernées sont les prisons centrales) ont accès. Certaines écoles dans le nouveau plan aura 13.000 UVF.
Depuis les années 1980, sous l’influence d’autres expériences en Europe (Eurochips association), en tenant compte des effets de l’incarcération des parents sur les enfants a contribué à l’émergence d’associations (Fédération des parents relais enfants) l’organisation de visites des enfants à leurs parents prison.
Les opérations sont menées pour favoriser le maintien des liens familiaux des détenus, l’un des meilleurs garants de la réinsertion: accueil et l’hébergement des enfants de moins de 18 mois avec leur mère incarcérée, salons et améliorer la gestion d’aire de jeux pour les enfants, pris rendez-vous animé par ordinateur terminaux, des abris et d’attente pour les familles d’accueil. Pendant ce temps, l’administration pénitentiaire prend en charge les activités des associations et autorités publiques impliquées dans l’espace relationnel.
Entre 2003 et 2007, sept unités de visites familiales (UVF) ont vu le jour dans les établissements pour peine. Toute nouvelle installation aura ce type de petits appartements. Ils permettent aux personnes purgeant de longues peines, ne reçoivent pas de permis de sortie, de recevoir pour une période maximale de 72 heures dans une pièce de la taille d’un petit trois-pièces, plusieurs membres de la famille.
Réintégration
La réintégration est une façon pour la société de se protéger, ainsi que les étagères a été le séjour dans prison.Indeed liens entre la recherche, avec la société (par le travail ou la famille) est crucial pour la stabilisation de la société ex-prisonniers.
– Dans un environnement clos dans la prison et de probation de faciliter l’accès des détenus à l’organisation sociale, de soins, de formation ou de travail.Ils apportent une aide précieuse dans le maintien de liens familiaux. Ils prêtent une attention particulière aux problèmes de la pauvreté, l’analphabétisme et toxicomanie.Ils préparer la libération du détenu et de réinsertion par le biais, notamment, des mesures de gestion de la douleur.
– Dans les procédures ouvertes, à l’extérieur, ils sont également impliqués dans la nomination d’un magistrat et une autorité judiciaire d’apporter tous les éléments d’appréciation pertinents pour sa décision. Ils assurent le respect des obligations imposées aux personnes condamnées à une restriction de liberté ou tout simplement profiter de commodités. Ils les aident à comprendre la peine et ils sont à l’origine d’une rééducation dynamique.
Formation
Plus de la moitié des détenus sont au mieux un niveau d’achèvement des études primaires et n’ont pas de réelle qualification. Le taux d’analphabétisme de la population carcérale (environ 15%) est également plus élevé que la moyenne nationale.
Formation générale ou professionnelle, est donc un outil essentiel de la réadaptation. Une caractéristique importante est mise en œuvre à cet égard, en collaboration avec les partenaires institutionnels. L’ordinateur comme outil de formation individuelle et collective est un support pédagogique pour récompenser les prisonniers dans l’apprentissage.
Travail
Le droit au travail est consacré par les articles D.101 D.99 du Code de procédure pénale. le travail en prison sur une base volontaire de la personne détenue. Il offre la disponibilité à recevoir des revenus et surtout d’acquérir des réflexes et une qualification professionnelle qui rendront l’inclusion sociale moins aléatoire.
Le travail est exécuté soit pour le compte d’entreprises privées (concessions), ou au nom de la prison de service de l’emploi (PSE), qui opère principalement dans les établissements pour peine.
Les personnes détenues peuvent aussi offrir des emplois liés au fonctionnement des institutions et a appelé le «service général» fonction de maintenance ou à l’hôtel (restauration, blanchisserie, nettoyage). Ces activités sont encadrées par le personnel pénitentiaire.
Une partie de la rémunération mensuelle des personnes détenues est perçue pour dédommager les victimes, et un autre est réservé à la construction d’un pécule disponible au moment de la décharge.
Organismes de formation professionnelle pour les détenus en 2008 sont les associations (46%), le GRETA (27%), des groupes privés (15%), l’AFPA (7%) et autres (5%).
Commentaires
Les relations institutionnelles et les associations
Périodiquement, les prisons françaises sont l’objet de critiques, tant au niveau national (rapport d’enquête parlementaire de 2000, la Commission nationale de déontologie des associations de sécurité telles que l’Observatoire international des prisons) ou international tels rapports à l’ONU, le Comité européen pour la prévention de la torture (CPT) | Le Comité européen pour la prévention de la torture (CPT) a dénoncé depuis 1991 et plus récemment dans un rapport 2007 à la suite des visites effectuées de 2006 de ‘traitements inhumains et dégradants», en particulier sur les questions de la santé, l’isolement et la surpopulation. Législation sur la ségrégation administrative renforcée par décret en Juin 2006 est très mal appliquée. La ségrégation administrative est considérée comme inhumain et dégradant en raison de sa longueur excessive. Le CPT reconnaît les efforts déployés par la France à développer les peines alternatives.
Les rapports parlementaires sur les prisons sont très critiques de la surpopulation, l’insalubrité et l’insuffisance chronique de la politique pénitentiaire personnel.The des différents gouvernements successifs a été critiquée à la fois pour leur inaction, ou pour toute politique de répression.
Vivre
Ces dernières années, les conditions de vie sont au cœur de la critique du système pénitentiaire français.D’autant plus que le livre a été publié dans le Surgeon General Prison de la Santé et Véronique Vasseur les travaux d’Eric Péchillon sécurité et l’administration pénitentiaire de droit public.
Depuis lors, de nombreux rapports mettent le doigt sur la surpopulation chronique et le manque de moyens (manque de supervision, le manque de psychologues, etc) .. Tous ces problèmes demeurent pour le moment présent. Seule la construction de nouvelles prisons a été convenu. En ce qui concerne le manque de personnel, pas de recrutement de masse des superviseurs et des psychologues ont été jusqu’à présent obtenus en dépit des campagnes visant à recruter du personnel dans la prison.
En Juillet 2009, l’État a été condamné par le tribunal administratif de Nantes ‘pour réparer les dommages causés à trois détenus aux conditions de détention indignes» et «onze demandes similaires sont en cours.’
Surpeuplement
La surpopulation est de notoriété publique en France et touche massivement phrases courtes et les prisonniers en attente de jugement. En 2003, un rapport par le Comité européen pour la prévention de la torture, un membre du Conseil de l’Europe, a parlé de «traitement inhumain et dégradant’ dans les prisons françaises, les conséquences de la surpopulation.
Dix écoles ou districts ont une densité supérieure à 200%, 42 ont une densité comprise entre 150 et 200%, 51 entre 120 et 150%, 36% entre 100 et 120 et 87 ont une densité inférieure à 100%. La construction de 13.000 places supplémentaires, décidée en 2002 devrait être achevé en 2011: près de 63 500 «espace opérationnel» sera disponible.
Santé
Commission européenne pour la prévention de la torture (CPT) a noté que les soins médicaux des détenus particulièrement surveillés, les détenus souffrant de maladie mentale et le traitement de la douleur aiguë sont que ‘le traitement médical est de plus pervers et dégradant». DPS sont constamment menotté à un lit d’hôpital et ne peuvent pas consulter un médecin sans présence policière. Le CPT note également que lors de ses visites en 2006: «Les patients avec des douleurs aiguës ont été placés dans l’une des cellules d’isolement, traités sous contrainte si nécessaire, et obligés de rester nus dans leurs cellules, soumis à une inspection visuelle régulière du personnel pénitentiaire. Il ne fait aucun doute aux yeux du CPT une telle situation s’apparente à un traitement inhumain et dégradant pour le patient (et est également dégradante pour le personnel concerné). ‘
Comme dans toutes les prisons dans le monde du VIH / SIDA est particulièrement forte, en partie en raison d’une sur-représentation des personnes qui s’injectent des drogues users.Homosexual, ou pas fait, favorisent également la contamination par contact sexuel. En France, la propagation du VIH / SIDA est régulièrement mesurée et une diminution de la proportion du VIH dans les prisons a été présente depuis 1990. Le fait demeure que le taux de prévalence est sept fois plus élevé que la normale et que les installations médicales sont insuffisantes, notamment pour traiter les cas de sida au stade clinique 2 ou plus qui sont eux-mêmes en augmentation. Note le témoignage de Laurent Jacqua rare, longue peine de prison, à la condition du VIH en prison (la prison guillotine).
Les conditions de vie sont particulièrement difficiles pour la prison augmentation de la sévérité de la maladie mentale et causant de nombreuses dépressions.
Prisons contiennent une très grande population de personnes atteintes de troubles mentaux. En 2004, 80% des détenus de sexe masculin et 70% des détenues avaient au moins un trouble psychiatrique, le plus souvent multiples:
En outre, 20% des détenus ont déjà été achevés ou en hôpitaux psychiatriques avant leur incarcération.
L’importance de la présence de troubles psychotiques est particulièrement préoccupante, car leur nombre augmente suggère un traitement grande prison de la maladie mentale à concilier avec la diminution des ressources de la psychiatrie. Ainsi, la capacité des unités pour malades difficiles (UMD) est à peine 200 sièges alors qu’ils ont augmenté entre 1987 et 2000, 83 000 à 40 000 lits disponibles en psychiatrie. Cette baisse est due à l’utilisation accrue de médicaments psychotropes.
Dans le même temps, l’irresponsabilité pénale a diminué sensiblement depuis les années 1970, où il s’agissait d’environ 5% des condamnations pour crime, puis se sont stabilisées à environ 0,5% dans le milieu des années 1980 (0,46% des cas en 1987 à 0,45% en 1998) , ce qui représente un nombre assez stable de 250 à 300 sujets irresponsables signalés chaque année entre 1998 et 2002. Le phénomène est encore plus aigu dans les tribunaux de juridiction criminelle, où l’irresponsabilité ont représenté 16% des cas dans le début des années 1980 et seulement 0,17% en 1997.
automutilation en plus à des centaines de suicides par an (deux fois plus qu’il ya vingt ans), ou un taux de suicide de cinq à six fois la moyenne nationale (un phénomène appelé «trop fort taux de suicide dans les prisons) et un des plus élevés en Europe.Dans la nuit du 23 au 24 mai 2009, le maire UMP de Saint-Cyprien, Jacques Bouille, s’est suicidé en détention. C’est le cinquantième suicide en prison depuis le début de l’année.
Sexualité
Les relations sexuelles sont interdites en prison: ils sont les mêmes pour faute détenu dans le second degré, un mouvement susceptible de tribunal et une peine de quartier disciplinaire de 30 jours. Toutefois, les préservatifs sont disponibles gratuitement (dans la détention des hommes), en particulier parce qu’il existe, même si elles sont souvent l’objet de mépris de la population carcérale, les relations homosexuelles.
Le mélange des prisonniers
Jusqu’en 2006, les jeunes femmes ne sont pas séparées des femmes adultes, parce qu’il n’y a pas d’équivalent de quartiers pour mineurs women.In l’EPM, les quartiers des femmes ont été établis. En dehors de l’EPM, les femmes mineures continuent à être mélangé avec de grandes femmes détenues.
En résidence surveillée, tous les délits et crimes sont mélangés. En préparation de la peine (dans les prisons centrales et centres de détention), il ya aussi un mélange de types d’actes. Les délinquants sexuels ne sont pas toujours isolés, en raison de difficultés pratiques en raison de la forte proportion qu’ils représentent 21,4%.
En prison, il ya souvent une séparation par ethniques et / ou national. Ces séparations, souvent critiqué (SOS Racisme avait porté plainte il ya quelques années contre la prison de la Santé) sont mis en place en raison des difficultés de cohabitation et les modes de vie différents des prisonniers.
Détenu particulièrement signalé
Environ deux cents prisonniers ont le statut de «prisonnier particulièrement pointu (DPS). Quand ils le font, leurs mouvements au sein de la prison sont limités, leur plus surveillance.Finally, il leur est interdit de travailler (mais peut participer) changent souvent et en prison .
Ce statut est appliqué soit en raison de la personnalité (banditisme fichier, qui peut être aidé dans sa fuite, les actes politiques), ou parce que la conduite en détention (des personnes violentes, qui ont participé à des émeutes ou des mouvements collectifs). Ces prisonniers peuvent être détenus accouchement normal ou solitaires. L’unité d’isolement (QI) est soumis à un régime strict. Certains peuvent être attribués à la zone connue comme «personnes» dans la prison de la Santé (Paris), appelés aussi «VIP».
Ce statut a été critiqué par de nombreuses familles de détenus par certains avocats et organisations comme l’Observatoire international des prisons (OIP) et le Comité européen pour la prévention de la torture (CPT).Les psychiatres décrit le fardeau psychologique et physique sur le long term.For toutes ces raisons, ils veulent avoir ce statut pour certains purement et simplement supprimé pour les autres réformes visant à prévenir les abus.
Certains avocats ont même comparé certaines applications du statut de DPS sont similaires à ceux pratiqués dans la haute sécurité (QHS) qui ont été abolies en 1981, parce que les détenus est devenu ‘bêtes sauvages’.
En Khider c. France (Juillet 9, 2009), la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France pour violation de l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme sur le traitement inhumain et dégradant. M. Khider, considéré comme «une attention spéciale a tenu’ à cause de l’aide dans la tentative d’évasion de son frère en 2001, a changé 14 fois de prisons entre 2001 et 2008, a subi plusieurs séjours en isolement et les fouilles corporelles systématiques. La CEDH, sans restaurer le principe de l’isolement, a accepté Ramirez Sanchez c.France (2006), estime que dans ce cas, cette procédure a été victime de violence, même si la santé du prisonnier n’a pas été pris en compte.
Bibliothèque
Accès à la culture est un élément d’une intégration de chemin ou de réinsertion d’une personne. Chaque prison dispose d’une bibliothèque ouverte à tous les détenus.Les services pénitentiaires et de probation (SPIP), en collaboration avec les directeurs d’école, des structures culturelles des villes et des comtés, les activités de programme approprié pour le public: diffusion des œuvres, des ateliers artistiques dans différents domaines (arts visuels, écriture, théâtre, musique, audiovisuel) .
Selon un rapport de 2005 de Janvier ministère de la Culture et de la Communication, «la tendance actuelle à une prolifération de petits sites dans la même prison est inquiétant.’ Ainsi, «amélioration de l’auto-suffisance des différentes zones accentue le sentiment de« prison dans la prison ‘.’
L’assignation à résidence de Reims a 15 m² pour 190 détenus, la prison de Villefranche-sur-Saône à partir de 60 m² à 600 détenus. ‘Les chiffres sont extrêmement pauvres.’
En effet, ‘L’IFLA appelle 100 m² pour 100 détenus» et «les conventions établies en 1990-1991 entre la Direction de l’administration pénitentiaire et le ministère de document recommande une superficie minimale de 80 m²» ci-dessous d’un seuil de 80 à 100 m², un rationnel gestion de l’espace devient difficile. ‘On ne peut pas être le meilleur, alors que maintenant les bibliothèques de 80 m² ou plus, loin de la norme sont considérés comme un homme généreux, une aubaine rare.’
Un troisième problème est le mobilier:’Le serre-livres – un petit détail qui est important – une denrée rare semblent Le mobilier pour la lecture de loisirs -. Chauffeuse, table basse -. Ce n’est pas suffisant’
Enfin, le rapport, après avoir souligné l’importance de la bibliothèque, a du mal à cacher son pessimisme: ‘il n’est pas certain que le volume total des bibliothèques de prison peut et doit trouver une extension radicale Il n’est en aucun cas le changement se profile..’
La politique pénitentiaire
Sous l’autorité du ministre de la Justice depuis 1911, la prison est l’une des cinq directions du ministère de la Justice. Son directeur est nommé par décret du Président de la République sur proposition du ministre de la Justice. Il se compose d’une administration centrale, des services déconcentrés (directions inter, prisons, services pénitentiaires et de probation), un service national (MS) et un établissement public administratif, l’ENAP.
Construction de nouvelles installations
En 2002, un programme de 13 200 places nouvelles a été lancé par le ministère de la Justice dans la politique de répression et de programmation pour justice.Thirty nouvelles écoles sont prévues, qui offrira près de 5.000 places au centre de détention, 8000 en résidence surveillée et 420 adaptés des mineurs détenus.La nouvelle carte une fois le programme pénitentiaire assure la modernisation du parc de logements en France et une meilleure répartition des condamnés et des prévenus à travers le pays.
Le programme prévoit également la construction de nouvelles dans les départements et territoires d’outre-mer ainsi que des places réservées pour créer des espaces spécifiques pour les courtes peines et le traitement adéquat des mineurs.
Réflexion sur les concepts architecturaux et des progrès techniques et de l’immobilier, créé en vertu des programmes précédents, se poursuit: les conditions de travail des personnels de sécurité adaptées à la personnalité des détenus que ces établissements reçoivent, de l’hygiène de la prison, la sécurité incendie.
Le 19 Janvier 2009, la détention de Roanne est inaugurée par le ministre de la Justice Rachida Dati et 1 ministre François Fillon.It est la prison la première fois dans le mode de partenariat public-privé (PPP) avec le groupe Eiffage.
En 2009, sept écoles et deux districts pour les grandes phrases courtes (QCP) seront livrés, ou 4.588 places supplémentaires nets (livraison – Fermeture anciens sièges). – 7 grandes institutions: l’Béziers CP Bourg-en-Bresse, Nancy, Poitiers, Rennes et l’assignation à résidence du Mans. – 2 QCP Fleury-Merogis et Seysses.Puis rouvrez la MC d’Arles, et la livraison de 445 sièges (le renforcement des capacités), le dernier Secure Inter Unité hospitalière (UHSI), et le premier centre hospitalier installée (UHSA).
La détention préventive
La loi du 25 Février 2008 sur la rétention de sûreté et la déclaration de la responsabilité pénale en raison de troubles mentaux prévoit la détention des personnes condamnées à plus de 15 ans qui sont considérés comme dangereux ‘criminologie» (non «psychiatrique»), Après l’exécution de leur peine . Le centre de détention premier à ouvrir à Fresno la fin de 2008.
De nombreuses critiques ont été faites sur ce projet, spécialement formulé par Robert Badinter dans un article intitulé ‘La prison après la peine», paru dans Le Monde sur Novembre 27, 2007. Une association d’opposants à ce projet (l’Union syndicale des magistrats, Genepi, ANVP, etc.) A signé une pétition.
Le projet de loi a été adopté un appel au Conseil constitutionnel, qui a été validé, en ajoutant toutefois que le maintien de la sécurité peut être appliquée que si elle est expressément prévue par la cour d’assises au moment de la condamnation. Cette réserve s’élève à reporter les quinze premières années dans les décisions de développement dans la rétention de sûreté. La loi est entrée en vigueur Février 25, 2008.
Loi sur les prisons
En Juillet 2008, un projet de loi a été présenté par le ministre de la Justice Prison Dati.After Rachida le gouvernement a déclaré l’urgence sur le projet de loi le 20 février 2009, un affrontement a eu lieu entre le gouvernement et le Parlement, en particulier autour de la question des cellules individuelles: Jean- René Lecerf, rapporteur du projet de loi au Sénat, est soutenue dans le maintien de ce principe par les sénateurs de la commission des lois du Sénat, qui vote à l’unanimité d’adopter les amendements du rapporteur. Après passage à travers commission mixte, des cellules individuelles est finalement maintenu dans la loi adoptée en Octobre 2009.
Le musée national des prisons
Le musée a été construit en 1995 dans l’assignation à résidence de Fontainebleau, fermée cinq ans plus tôt. Les collections racontent l’histoire de l’établissement pénitentiaire dans le dix-septième siècle à aujourd’hui. Depuis Février 2003, le Musée national des prisons est ouvert au public uniquement sur rendez-vous, dans le cadre des visites de groupe dirigée par un haut-parleur.
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