Suicide 2007
Le suicide et la loi
États où il a été le suicide pourrait être condamné par la peine de mort. En France, le suicide n’est plus réprimé depuis le Code pénal de 1810 autre que, éventuellement, d’une hospitalisation d’office (HO) préfecture.
Le suicide assisté ou l’euthanasie
L’euthanasie (soft morts) et le suicide assisté (la décision d’exécuter un suicide ou de ne pas intervenir dans la situation où elle a commencé si elle a clairement exprimé sa volonté) ont aujourd’hui (2005) l’objet de débats et de controverses dans la plupart des pays d’Europe ou Amérique du Nord.
En France, il est maintenant condamné comme assassiner. La loi confirme la stigmatisation que le suicide est entaché: l’aide au suicide est interdite pour «refus délibéré de fournir une assistance à personne en danger» (article 223-6 du Code pénal, concept plus large appelé «non-assistance à personne en danger») . En 2007, Vincent Humbert cas a mis en évidence la particularité du droit français.
La Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire Pretty c. Royaume-Uni 29 avril 2002, ont déclaré unanimement que le suicide a diminué en dehors de ce temps dans le domaine des droits de l’homme, ou de l’article 2 de la Convention protège le droit à la vie:
Il est autorisé dans des pays comme les Pays-Bas, la Belgique, l’Oregon (États-Unis). En Suisse, le code pénal tolère depuis l’article 115 prévoit une peine d’aide au suicide si elle est causée par «des motifs égoïstes’. Deux associations suisses, Exit et Dignitas ont été créés pour aider les malades en phase terminale à mettre fin à leur vie ou éviter une intervention médicale pour les faire revivre.
Crime d’incitation au suicide (droit français)
Suite à la publication du livre Suicide mode d’emploi, a été créé en 1987, le crime d incitation au suicide‘ (art. 223-13 à 223-15-1 du Code pénal), ce qui entraîne l’interdiction de publication de la livre.
La jurisprudence
Origine du terme
L’origine du mot (évidemment formé après l’homicide) est nouveau: sa paternité est souvent attribuée à un abbé Desfontaines écrite en 1737 (Observations sur les écrits de moderne, t. XI, p. 299), mais en 1734, l’abbé Prévost parle de suicide dans son bulletin pour et le contre, le néologisme latine semble avoir été utilisé depuis le XVIe siècle par les casuistes pour contrebalancer l’homicide mot utilisé jusqu’à présent et j’ai essayé trop dur.Voltaire (qui a publié en 1739, le suicide ou homicide de soi-même) et encyclopédistes accepter ce néologisme et la diffusion. Il a été adopté par les juristes, que Daniel Jousse, qui sera désormais co-existent à la fois en termes juridiques.
l’épidémiologie du suicide contemporain
L’épidémiologie du suicide est une discipline de l’épidémiologie, qui vise à promouvoir l’étude de la distribution et des déterminants du suicide dans les populations. Dans le monde, 815.000 personnes se sont suicidées en 2000, soit 14,5 décès pour 100 000 habitants (un décès toutes les 40 secondes). L’épidémiologie du suicide varie encore selon les pays et parfois même entre communautés différentes au sein d’un pays.
Suivi de l’évolution de l’incidence des suicides en France est faite par le réseau sentinelle de l’Inserm.
Psychiatrie et suicide
Dans de nombreux cas, le suicide s’inscrit dans l’évolution d’un trouble psychiatrique, habituellement la dépression, la schizophrénie, trouble de la personnalité, troubles du sommeil, etc.
La prévention du suicide
Le suicide est généralement annoncé, beaucoup essaient de prévenir les suicides de leurs proches et en laissant une lettre d’adieu à expliquer leurs actions.Ces pensées sont prises au sérieux et si il ya un risque de tentative de suicide, nous devons parler ouvertement avec la personne afin de l’éviter. L’évocation de la mort avec une personne qui pose la question «Avez-vous pensé à la mort?’ N’est-ce pas suicidogène, mais permet au contraire montrer que vous comprenez la souffrance. Lorsque l’on parle, ne pas porter de jugement, nous pouvons essayer de lui faire souvenir de vieux problèmes et les stratégies qu’il a mis en œuvre pour les résoudre.
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