Extraversion
simple exigence ou la tyrannie? Transitoire ou chronique possessivité jalousie? Goût de la vie privée ou de tentative d’intrusion? Avec ses enfants, conjoint, amis, il n’est pas toujours facile à repérer contrôler le comportement. Isabel Korolitski, psychanalyste, nous éclaire.
Flavia Mazelin Salvi-
Le contrôleur parent veut tout savoir sur son enfant, il veut être clair: dans ses actions, les émotions, les sentiments. Le but inconscient? tout garder pour lui-même (elle-même?), et la forme en fonction de leurs besoins et leurs attentes personnelles. Par peur de la séparation et vide existentiel qui en résulteraient, mais aussi par l’incapacité inconsciente à penser que l’enfant autrement que comme une extension de self.He exprime ce fantasme par une autorité rigide et froid, ou l’extraversion émotionnelle et le comportement émotionnel conditionnement et / ou trop intrusives (fusionnelle) l’éducation ultrasécurisée, l’utilisation de chantage affectif, le déni des générations de différence, une autorité hyper est le Dieu de l’enfant du parent (il est sa référence seulement, que sa loi l’emporte).
L’enfant qui souffre de cette façon n’est pas en mesure d’accéder à leur désir personnel. Le plaisir, le réconfort, d’être «but commun» de ses parents est la condition de survie psychique.Sa culpabilité est à la hauteur de leur vulnérabilité narcissique. Toujours à l’affût (est ce que je fais la bonne chose?), Il investit toute son énergie dans autoformatage et de la répression de ses pulsions agressives.
Résultats: Avec les autres enfants et plus tard avec ses pairs, il est souvent soit dans l’inhibition ou à l’autoritarisme.
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