Handicap
Handicap
Né à Rome en 1960 aux Jeux Olympiques pour handicapés physiques. Plusieurs centaines d’athlètes se sont retrouvés comme un athlète olympique pour aller plus haut, plus vite, plus fort. Cette reconnaissance du droit au sport a ouvert les portes des centres de réadaptation pour introduire des méthodes de formation d’autres et, mieux encore, un regard neuf sur le potentiel et non sur le handicap.
Le sourire sur le visage d’Alexandre Jollien est un homme heureux. Pourtant, ce jeune philosophe suisse, handicapés de naissance, vit dans la douleur. Son deuxième livre, «La profession de l’homme, est une leçon de vie.
Alexander Jollien: Avec le premier livre, j’ai profité de l’incapacité comme une porte ouverte. Par définition, une porte est franchie derrière nous. Je voulais aller plus loin. Pour parler à tous, à l’adresse de la condition humaine dans son ensemble, je devais aller au-delà du statut de «personnes handicapées qui pense.’ En expliquant ce qui m’aide à tenir debout, livre quelques clés que je puisse aider mes lecteurs à poser des questions, si ce n’est pas de répondre.
Le livre est une quête de certains outils de sens existentiel du terme, «utile dans la vie.’ Il est également surprenant: J’ai lu moi-même régulièrement le chapitre sur la souffrance à trouver le réconfort. C’est comme si, à tout moment de la rédaction, j’avais touché quelque chose d’intime pour que je plus de mal dans la vie réelle … Dans un sens, je participe à la quête du lecteur.
Il est une force qui nécessite une lutte quotidienne. Elle doit être maintenue comme une flamme qui est à vous remercier pour le moindre souffle. Il vient de l’autre:il est construit avec d’autres – parfois contre mais le plus souvent – il a été fondé par un autre. Je vénère amitié sans bornes. Les amis d’abord dans le sens étymologique de «celui qui aime», sont les parents. Outre le psychiatre Boris Cyrulnik a été clairement démontré lorsque nous départ dans la vie en ayant des relations saines avec les parents, beaucoup de choses sont gagnées dans advance.Basically, pour moi, il y avait cette foi aveugle de mes parents qui ont reçu un enfant handicapé et je voulais faire leur vie. Ils ont fait confiance à la vie, ils m’ont donné confiance en moi. Rien ne me prédestinait à quitter mon institut spécialisé si mes parents et mes amis. Lorsque nous avons eu l’un des fondateurs de confiance, l’espoir devient un instinct de survie. Ce qui est paradoxal en moi est que l’insécurité extrême qui me semblait condamner mon handicap a appelé à une mobilisation générale et complète. Si je n’avais pas eu cette blessure, je n’aurais probablement pas mobiliser autant d’énergie.